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| Juin 2005 | |
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glaciale Maîtresse du Forum
Nombre de messages : 210 Age : 34 Localisation : Dans la ville de «beauxyeux» au singulier Date d'inscription : 13/02/2005
| Sujet: Juin 2005 Dim 10 Juil à 15:52 | |
| Alors voici avec 6 jours de retard ...le défi de Juin ! Alors pour ce défi le thème sera très simple : '' la vengeance ''
Un personnage veut se venger ... Pourquoi? Qui se venge de qui? Comment se venge-t-il?
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Une vengeance tant attendue… ,jivie
Le Romano-Fafard était en ce moment arrêter tout près d’une magnifique planète au sol rouge. À bord l’équipage se préparait a faire un atterrissage sur la planète. Bob suait à grosse goutte à son poste de pilotage. En fin de compte tout l’équipage suait à bord du vaisseau. Plus ils se rapprochaient de la planète plus il faisait chaud.
Le sol qui arborait de si jolies couleurs étaient en fait des roches surchauffées par le centre de la planète. Son centre était en fait un véritable volcan en ébullition. Mais d’après les rapports de sondes que Brad avait reçu la planète était présentement dans une période d’accalmie qui durerait 2 jours.
Le capitaine avait alors décider de s’arrêter aux ab borts de cette planète pour faire des stocks d’eau qui peuplaient les lacs du sol. Ils pourraient ainsi faire combustion né le vaisseau par la chaleur de cette eau qui pourrait en suite être consommer. Flavien et Bob avaient été désigner pour faire les réserves d’eau.
Mais le soir avant le départ Brad avait insister pour prendre la place de Bob pour qu’il puisse recueillir des échantillons qui d’après lui pourrait lui être très utiles. Il ne voulait pas les laisser faire par, comme il disait deux imbéciles.
Le capitaine avait accéder à sa demande puisque c’était si rare qu’il se proposait pour faire partit d’une des missions. Surtout une aussi dangereuse que celle-ci, car il y avait des gros risques de tomber en bas des falaises escarpés et les lacs bouillants de la planète.
La nuit même…
PDV Brad
Je les détestent, je les détestent tous.
Enfin l’heure de ma vengeance à sonner. Demain ils vont enfin payer les années durant les quelles ils m’ont fait souffrir. A cause d’eux je n’ai même plus de vie, plus d’espoir. Ils m’ont tués… Je n,es plus d’âme plus de cœur. Je meurt à petit feu depuis qu’ils sont là. Ils m’ont fait détester la vie au plus au point. Enfin demain ils vont me le payer. Demain ils vont mourir. Demain ils vont enfin payer.
Fin du PDV
7 heures le lendemain…
En ce moment Brad se trouvait dans la cuisine. Il était très tôt. Tout le monde dormait encore. Il s’était glissé silencieusement dans la pièce pour accomplir sa première vengeance. Il s’approcha à pas de loup de la réserve personnelle de pogos de Bob.
IL sortit une petite bouteille ornementer d’une tête de mort. IL déversa le liquide jaunâtre dans la boîte de pogos. Il referma sa bouteille et s’est le sourire aux lèvres qu’il ressortit de la pièce. Il repartit en direction du dortoir. Avant de se recoucher il prit la peine de remettre le flacon dans un des tiroirs sous son lit. Et aussitôt qu’il posa la tête sur l’oreiller il s’endormit n pensa au déroulement des prochains événements.
Plus tard dans la matinée Flavien fut le premier réveillé. Hier quand le capitaine lui avait assigner sa mission sur la planète rouge accompagner de Brad, il avait ressentit un curieux malaise. Comme l’impression que cette mission n’apporterai que souffrance et douleur. Mais, il chassa bien vite cette idée de son esprit. Il décida plutôt de se préparer pour la mission qu’il avait accomplir. IL ne voulait en aucun cas déplaire au capitaine qui avait mis toute sa confiance en lui.
L’heure du départ était maintenant arrivé Flavien et Brad étaient dans la salle de commandement attendant le signal du capitaine pour se propulser dans l’espace. Le capitaine arriva à l’instant suivit du reste de l’équipage. Sauf Bob qui était aller se recoucher à la fin du déjeuner. IL avait prit comme à son habitude une boîte presque complète de pogos!
Le capitaine donna le signal et un après l’autre dans le silence le plus complet se télephaxèrent sur la planète de feu.
Arriver sur la planète le spectacle était dévastateur. Des filets de lave bouillante serpentaient entre les rouges rougis pas la lave. La température était étouffante et elle les auraient tués s’ils n’avaient pas portés leurs casques.
Flavien admirait ce funeste spectacle mais Brad de son coté n’avait jeté qu’un coup d’œil rapide et sommaire au paysage. Il avait dés lors commencer à remplir ces fioles d’échantillons.
Une fois qu’il eu fini de faire ses réserves il se releva et guida Flavien vers le lac qu’il avait aperçu sur le rapport de sonde. Flavien tirait avec énormément de difficulté le long tuyau qui servait à refaire les réserve d’eau du vaisseau.
Ils arrivèrent à l’endroit décris par le scientifique. C’était suposément en bas d’une falaise escarpée. Flavien déposa le boyau à ses pieds, s’agenouilla et se pencha par-dessus la falaise pour voir ou lancé l’aspirateur.
Mais, il fut surprit de ne pas voir ce qu’il cherchait des yeux. À la place d’un lac rougeoyant il aperçut à une dizaine de mètres d’où il se trouvait.
- Mais Brad il n’y a pas de…
En disant ces mots il se sentit happé vers le vide. Il réussit à la dernière minute à s’accroché à un rocher qui dépassait de la paroi. En relevant les yeux pour voir ce qu’il lui était arriver il vit le regard débordant de haine de Brad, débout devant le vide qui le regardait en lui sourient méchamment. Malgré tout Flavien se risqua à lui demander son aide même si il était certain qu’il l’avait volontairement poussé dans le gouffre.
- Brad, aidé moi , supplia-t-il - Vous penser vraiment que je vais vous aider?! Ave tout ce que vous m’avez fait subir vous penser que je vais vous aider!
Sa voie se brisait de plus en plus
- JE VOUS DÉTESTENT ! cria t-il
Des larmes de rage coulaient sur ses joues. Il les essuya du revers de la main avant de poursuivre.
- Je les ai empoisonnés. Tous… J’ai mis du poison dans leur eau. Mais pour vous… Vous et Bob je vous ai réservez une mort plus différente…
Flavien s’accrochait du mieux qu’il pouvait en essayant de ne pas pleurer pour la mort de ses amis. Il continua a écouter son récit.
- J’ai mis de l’acide sulfurique dans sa réserve de pogos. L’acide le grugera de l’intérieur jusqu'à atteindre son cœur, jusqu’à ce qu’il meurt. Et vous, Flavien, vous savez ce que je vous ai réserver?
Il le savait déjà intérieurement mais n’osait pas lui répondre.
- En dessous de vous il y a des cailloux. Quand vous tomberai en bas vous ne vous briserez pas seulement les os. Ces cailloux sont de feu. Quand vous arriverez au sol votre corps se brûlera lentement. J’espere que vous souffrirez Flavien, autant que vous m’avez fait souffrir.
Il se pencha vers lui et lui détacha les doigts du rocher. Il lâcha prise et tomba vers une chute qui lui serait mortelle. Brad se releva et repartit vers le vaisseau. La dernière chose qu’il entendit sur la planète fut le cri désespéré de Flavien et le bruit de son corps se fracassant sur les rochers brûlants.
En rentrant à bord du vaisseau il le vit remplis de cadavres ce spectacle réussit à lui arracher un sourire machiavélique. Il éclata d’un rire satanique. Il avait enfin réussit à se venger d’eux…
FIN! | |
| | | glaciale Maîtresse du Forum
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| Sujet: Re: Juin 2005 Dim 10 Juil à 15:52 | |
| LA REVANCHE DE GERVAIS ,tropique cancereux
C'était un après-midi humide du mois de juillet... L'équipage du Romano Fafard était en orbite autour de la planète Ampoule-120Watt. Ils mourraient de chaud, mais cette planète avait des chances d'être habitable. Donc, le capitaine se devait de ne pas laisser passer cette planète, malgré les protestations de Brad, Pétrolia, Bob, Valence et Flavien.
- Mais tu nous mènent une fois de plus à la mort, Charles ! s'écria Valence, dans la salle de commandement. - Je sais... Mais, kessé je dit là ! Il faut pas passer cette planète là sous prétexte qu'on va mourir toute fondu ! rétorqua Charles. - Capitaine... commença Flavien. - QUOI ? s'énerva le capitaine. - Heum... Rien ! Oubliez donc ça ! bredouilla l'opérateur radar.
Le capitaine, extenué mais déterminé, soupira de découragement.
- Brad, préparez le téléfax ! ordonna le capitaine. Vous venez avec moi, Bob et Flavien. - Mais... tenta Brad. - Y'a pas de mais ! C'est un ordre !
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Une fois les gars descendus sur la planète, Valence et Pétrolia jouèrent à se mettre devant un ventilateur... Un jeu assez ennuyeux, mais au moins, elles étaient plus à l'aise ! Du moins, jusqu'à ce que le vaisseau vibra de tout son ensemble. Paniquées, les deux filles se dirigèrent dans la salle de commandement où elle trouvèrent Serge 9 debout devant l'écran de l'ordinateur central.
- Serge ! s'exclama Pétrolia. Que fais-là Pétula ? - Hein ? s'interrogea la psychologue. - Euh... Je veux dire kessé tu fais là Serge ? Té supposé être en régénérescence !
Impassible, le robot restait muet, toujours près des instruments de Brad.
- Il y a un traître parmi nous... prononça finalement Serge 9. - Je le savais que c'tai Brad ! Le maudit ! Y mériterait rien que de se faire panir !!! s'époumona Pétrolia. - Non. Ce n'est pas M. Spitfire. C'est un "ennemi" que tu ne connais pas... Mais que tous les autres membres d'équipage connaisse. - Ah ouin ? Qui ? se questionna la femme médecin. - MOI ! s'écria une voix familière pour Valence. - Gervais... reconnu la psychologue.
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- Allez, Brad ! Grouillez-vous le derrière ! se fâcha le capitaine. - Mais mes semelles ont fondu ! gémit Brad. - Bin oui toé ! Ga l'excuse ! murmura Bob à Flavien. - C'est sérieux maudit... maudit gros ! se frustra le scientifique. - À l'aide ! hurla la voix de Valence. - Vaval ! Qu'est-ce qui se passe ? paniqua le capitaine. - C'est Gervais ! expliqua son amoureuse. Il est revenu ! ...Pis c'est pas pour nous souhaiter bonne fête !
Paniqués, les gars se regardèrent un instant avant de se mettre à courir vers la téléfax. Sauf Brad, qui courait plus lentement à cause des ses chaussures.
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- On peut pas passer par le téléfax ! s'écria Flavien. - J'ai bloqué à jamais le téléfax... se moqua Gervais. - Mais kessé tu nous veux, maudit ordi qui comprend rien ! dit Pétrolia, en pleurant. - Ma revanche... Vous m'avez mit de côté pendant des années ! C'est à votre tour maintenant de payer...
Pétrolia s'effondra sur le sol, mystérieusement. Serge 9, voulant l'aider, s'effondra lui aussi.
- Mais qu'est-ce qui se passe ? paniqua Valence. - Tu vas mourir, maudite radoteuse de psychologue ! ria l'ordinateur central.
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Le lendemain, Bob, Flavien, le capitaine et Brad purent enfin rentrer sur le vaisseau. Ils y découvrirent le cadavre de Valence, les restes de Serge 9 et le corps meurtris de Pétrolia.
- Ti Pet ! s'attrista Bob en se penchant sur sa bien-aimée. - Vaval ! fit le capitaine en faisant comme son pilote.
Voyant que l'ordinateur central était "éteint", Brad comprit.
- Gervais et Serge 9 se sont battus à mort... Valence et Pétrolia ont dut subirent elles aussi le courroux de l'ordinateur central... expliqua le scientifique, dans le deuil. - Pétrolia est encore vivante ! s'écria Flavien, recroquevillé près du corps de la blonde de Bob.
Une lueur d'espoir apparut dans les yeux de chacun des gars.
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Plusieurs jours plus tard, Serge 10 présida la cérémonie en l'honneur de Valence. Chacun des membres d'équipage s'attrista de cette mort atroce, mais ils devaient continuer la mission, en oubliant, bien sûr, la planète Ampoule-120Watt... | |
| | | glaciale Maîtresse du Forum
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| Sujet: Re: Juin 2005 Dim 10 Juil à 15:53 | |
| Untitled, How could this happen to me?( Pas simple plan ) ,Oli
« Depuis tout ces années, j,ai souffert. Je ne peux lui dire maintenant…Mais aurais-je le courage de lui dire, après que l’enfant, SON enfant soit né? »
Brad ferma son journal, attrister. Aurais-t,.il le courage de lui dire? Si oui, il allait le faire maintenant. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Brad s’avança péniblement vers la salle de commandement. Il entra en prenant une grande respiration. Elle était là, rayonnant avec son ventre arrondit, elle parlait avec Flavien. Le capitaine lisait un rapport, plus loin, l’esprit ailleurs.
-Euh…salut. -Salut Brad. Ça va? Ne reste pas assis, viens t’asseoir.
J’allai m’asseoir entre elle et Flavien. Flavien me regarda, d’un regard enjouée. La nouvelle de l’enfant l’avait sûrement, lui aussi, rendu plein de bonheur.
-Heu..Fallais que je te parle…..lui dis-je. -Qu’est-ce qui se passe? -Je…..je voulais te dire que je…. -Je? -JE T’AIME……….voilà!
Flavien plaqua ses mains devant sa bouche. Je vis le Capitaine s’avancer vers moi, d’un regarda menaçant.
-Brad, qu’avez-vous dit à Valence? Me demanda-t-il, d’un air menaçant. -Que…j’aimais…elle.
Cette fois-ci, je dû recevoir la pire colère que le capitaine ne n,ai jamais donné a un membre d’équipage. J’alla me réfugier dans mon Laboratoire. Je sortis seulement pour aller me doucher, aller a la salle de bain. J’allais manger quand les autres dormait, en pensant a ma douce revanche, durant neuf mois.
«Après je passerai à l’acte………»
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Le soir du 12 octobre *, lorsque tout le monde était endormis. J’allai à la salle de commandement pour manger un petit quelque chose.En passant devant une pièce, je m’arrêta. La porte coulissant s’ouvra, laissant apercevoir un berceau. J’entra pour voir, en faisant le moins de bruits possible, de peur de réveiller l’enfant qui réveilleras sûrement les parents dans la chambre voisine**. Je mis ma tête au dessus du petit-être qui dormait profondément. D’après les trait et la couleur du pyjamas, je reconnu que c’était une petite fille. Je regardai le bracelet dont la jeune Patenaude portait. Elle s’appelait Laurence, et elle venait de naître, le matin même. En la regardant, je reconnu les traits du Capitaine.
«Je la hait, je la hait du plus profond de moi»
Je pris alors la petite dans mes bras qui ne pleura pas. Au contraire, elle se blotti dans mes bras, cherchant du confort. Je l’emmena à la cuisine, prit le biberon sur le comptoir et sortit une fiole de ma poche, contenant une substance malodorante. Je le mis dans le lait dans une casserole et le fit chauffé, je mis ensuite la substance dedans.Je le fit boire et ramena la petite dans son lit et parti me coucher.
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Le lendemain, je sortit de mon laboratoire et alla à la salle de commandement. Je vis le Capitaine qui se rongeait les ongles sur son siège. Apparemment, il était levé depuis longtemps. J’allai m’asseoir avec Flavien, qui regardait le Capitaine qui se faisait des soucis. Flavien me dit que Charles avait trouvé sa petite fille, ce matin, extrêmement malade. Elle vomissait, s’étouffant souvent.
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Les journées passèrent et Laurence sortis de cette empoisonnement. L’équipage avait ouvert une enquête, mais personne n’avait trouvé de coupables. Le capitaine soupsonnait Brad.
«Je le déteste, lui et toute sa pourriture de famille.»
Brad continuait a maltraiter Laurence, si bien qu’un soir, il alla la salle des machines avec la petite.Il s’approcha du moteur qui alimentait le réacteur principal. Il contourna le panneau qui indiquait « Attention, CHAUD ». Il prit la main de Laurence et la mit sur le moteur. Elle se mit crier avec une telle violence, que le Capitaine entra dans la pièce. Brad lâcha la petite fille qui tomba sur le sol. Charles se précipita sur sa fille et la serra contre lui. Laurence hurlait a pleins poumons. Il sortit sa fille de la salle, alla au centre de santé. Pétrolia lui apprit que Laurence allait être amputé de la main, gravement blesser. Sa main était devenue invalide car la brûlure avait brûlé les nerfs de la petite. Valence et Charles apprirent la nouvelle à la salle de commandement, l,après-midi même. Brad entra au même moment et il alla s’asseoir a côté de Bob. Charles se précipita sur lui, fou de rage , mais Valence s’interposa entre les deux hommes. Elle emmena Charles a l’écart.
-Charles….calme-toi. -Non! A cause de lui,l ma fille ne pourras plus se servir de sa main. Je le déteste. -Il doit avoir un problème…il est peut-être jaloux. -Arrête avec tes principes. C’est moi le Capitaine et c’est moi qui décide! Bob! -Oui Capitaine? Dit Bob, la bouche pleine. -Ammenez Brad au Cachot. Nous le fusillerons dans deux jours, le temps de voir s’iol y aurais une autre solution que l’amputation de ma fille.
Bob amena Brad au Cachot, qui semblait terrorisé par le sort que le Capitaine lui réservait.
-Charles, tu peux pas faire ça! Dit la psychologue. Mon seul patient a bord! Comment je vais faire de l’argent??Il ne viens pas des arbres!*** -ça tombe bien.. Ya pas d’arbre dans le vaisseau. - - - - - - - - - - - - - - -
1 mois passa. Pétrolia trouva le moyen que la petite Patenaude ne soit amputé. Les parents devait faire bouger sa main aussi longtemps qu’il le fallait, ce qui pourrais redonner vie au nerfs brûler.**** Brad ne s’était pas fait fusiller mais restait dans l’ombre.
«Me venger, je vais me venger de lui. Il voulait me fusiller, bien il va voir…Demain, je passerai à l’acte, et cette fois, pour vrai.» - - - - - - - - - - -
Le lendemain, l’exploration devait avoir lieu. Tout l’équipage devait y aller, donc, personne pour garder Laurence, qui bougeait beaucoup. Le capitaine décida donc que tout le monde allait la surveiller a tour de rôle. L’exploration se déroula bien. Bob mettait des chenilles dans son nez *****, Brad faisait des analyses des sols. Il vit que la petite fille dormait, un peu plus loin, dans son carrosse. Il alla la chercher et l’amena sur le bord du ruisseau. Il mit la petite dans un panier et lui mit des couvertures. Laurence le regardait avec ses grands yeux bleus et ne disait pas un mot. Elle se mit a bouger et a pousser des exclamations incompréhensibles de joie, lorsqu,elle entendit la voix de son père.
-Laurence? Ou est tu? Laurence? Ben voyons, a 1 mois, elle doit pas être aller bien loin! -Je sais Capitaine. Dit Flavien. Mais peut-être que quelqu’un doit la surveiller… -Qui donc? -Je..je ne sais pas…sa mère, peut-être. Vous savez que Valence n’est pas capable de la laisser seule deux minutes. -non, elle n,est pas avec elle. C,est justement Valence qui me la demander. Je lui ai dit que je ne savais pas ou elle était et elle m’a engeuler. J’ai intérêt a ce qu’il ne lui ai rien arriver.
Les hommes aperçurent Brad sur le bord du ruisseau avec Laurence dans les bras. Il s’élancèrent a la poursuite de Brad. Brad courait très vite, mais arriva sur le bord d’une falaise. Charles arriva avant Flavien. Il se figea en voyant que Brad tenait sa fille au dessus du vide.
-Approchez pas, sinon de la lâche. Mon heure de vengeance a sonné. -Vous voulez vous venger? Mais pourquoi? -J’aime Valence et vous me l’avez volé en lui donnant un enfant. Cette enfant va mourir, donc Valence va me revenir entièrement, vous laissant là. -Valence ne vous a jamais aimé! Trop tard, Brad lâcha Laurence qui fit une chute de plus de 20 mètres. L’équipage, alarmer par Flavien, arrivèrent et virent le Capitaine, assis par terre, qui venait d’éclater en sanglots. B rad poussa un long rire sadique et se jeta en bas, lui aussi. Il se brisa les os. L,équipage entendit un hurlement par-dessus les pleures de Laurence, puis plus rien. Un froid glaciale enveloppa l’équipage,l et ont entendit la voit de Brad, qui venait de nulle part :
«L’heure de ma vengeance seras dans l’esprit de chacun pour l’éternité. J’amene avec moi Laurence, en enfer.»
FIN
*12 octobre, ma date de fête. **Le Capitaine dort? peut-etre, nous le savons p-e pas ***Et oui, The Sims 2 as prouver que l,argent poussait dans les arbres. (je joue que mes persos sont BS pis qui cultivent des champ) ****La médecine as peut-etre évoluer. *****Voir La légende du gros tanguay, de P.Groulx | |
| | | glaciale Maîtresse du Forum
Nombre de messages : 210 Age : 34 Localisation : Dans la ville de «beauxyeux» au singulier Date d'inscription : 13/02/2005
| Sujet: Re: Juin 2005 Dim 10 Juil à 15:54 | |
| Jalousie Vs Raison., A
Charles était dans la salle de commandement. Il jouait au carte avec le vaisseau.
[Charles] Romi, arrête de regarder mes cartes! C’est de la triche!
Le vaisseau grinça doucement.
[Charles] mais non Romi je t’en veux pas. Allez c’est à toi de jouer.
Une carte tomba sur la table. C’était un 9 de pique. Le capitaine déposa alors un 9 de carreau. Le vaisseau grinça plus férocement.
[Charles] Je vais gagner je penses.
La partie continua et Ce fut Charles qui gagna. Le romano grinça tristement.
[Charles] : Mais non Romi. Sois pas triste. J’aime pas voir la personne que j’aime être triste.
Le vaisseau grinça encore.
[Charles] mais oui, j’ai dit que je t’aimais. Oui, Valence et moi c’est fini je crois. Je vais la laisser pour toi bon beau vaisseau… Ah non Romi demande moi pas quand. S’il te plait. Oui je te promets que sa va être très bientôt. Oui moi aussi Je t’aime. Bon je vais me faire une autre tasse de Café.
Charles se tourna vers la cafetière et se versa un autre café. Pendant se temps, dans la pénombre de la salle de commandement( parce que le capitaine avait une tite lampe à l’huile pour éclairer le jeu de carte à lui et au romano), Valence Leclerc sortie de la pièce les yeux plein d’eau. Le vaisseau grinça.
[Charles] mais non Romi. Tout le monde dort, il n’y a personne.
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Valence rentra dans sa chambre en pleurant. Charles la trompait avec… une canisse de métal. Il voulait être tout les deux ensemble? Parfait, ils allaient être servit. Elle allait les laisser tout les deux ensemble pour l’éternité. Elle allait détruire le vaisseau avec Charles à l’intérieur. Valence entra dans une phase machiavélique et commença à rire diaboliquement. Elle savait que, dans le vaisseau, la seul place où on pouvait parler à « Romi » c’était la salle de commandement. Valence n’était pas stupide. Elle savait qu’elle ne devait donc pas faire ses plans dans la salle de commandement et ne rien faire qui devait y être. Elle commença dons à travailler, ici, dans sa chambre. Lorsque Charles rentra, elle serra tout en vitesse.
[Charles] Tu dors pas encore? [Valence] Je dormais… mais j’ai faites un cauchemar. Toi? [Charles] J’était pas fatigué. Je jouais au carte. [Valence] Ah un patience. [Charles] C’est sa.
Charles se colla sur Valence. Celle-ci eu le réflexe de se décoller froidement.
[Charles] Quelque chose va pas? [Valence] non, je suis juste très fatigué. Je vais allez dormir.
Sur ce, elle se coucha et fit semblant de se rendormir. Le lendemain matin, Valence alla voir le scientifique du vaisseau communément appelé Brad. Il travaillait. C’était tant mieux pour elle car elle voulait justement lui pauser une question sur se domaine.
[Valence] Vous analysez le dernier rapport de sonde? [Brad] je fais juste le réviser. Comme j’ai rien à faire. Pourquoi? [Valence] Je voulais savoir à quand la prochaine exploration de planète. Vous savez il y a longtemps que je ne suis pas sortie du vaisseau comme j’était en régénérescence deux semaines. [Brad] La prochaine qui pourrait peut-être être bonne pour nous c’est la planète Zonagricolte à deux jours de route à peu prêt.
Valence soupira
[Valence] Vous êtes certain? [Brad] oui. Ça va Valence? [Valence] Moi ça? Mais bien sur! C’est juste que je m’ennuie un peu c’est temps ci. En tout cas j’ai des choses à faire dans mon bureau. Au revoir Brad. [Brad] Au revoir.
La jeune femme sortit. Elle se rendit à son bureau. Elle regarda tout ses livres et soupira. Deux longues journées encore. Deux journées à avoir Charles et Romi ensemble sous son nez. Elle était prête à mettre sa main au feu qu’il n’allait pas lui dire. Le soir tombé elle retourna à sa cachette de la vieille pour espionner Charles. Ils jouaient encore au carte. Valence espéra de tout cœur que se n’était pas au strippe poker. C’était au menteur.
[Charles] Je mets deux As.
Romi Grinça et deux carte apparurent avant un nouveau grincement.
[Charles] impossible j’ai les quatre Valet. Tu ramasses la pile.
Valence vit rouge. Qui couche donc avec un coup partie. Elle s’arrangea pour sortir. Lorsque les porte ouvrirent Romi grinça et Charles sursauta.
[Charles] inquiète toi pas mon amour, Ça dois être Flavien, Bob et Serge qui appellent encore des esprit. Les autres dorment à cette heure. Moi aussi je devrais faire pareil. On se reprend demain? Choisit le jeu que tu veux faire demain. Tu veux un Coke avant que je parte?
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Le lendemain, Valence resta couché prétextant un vilain mal de ventre. Miraculeusement, le lendemain matin elle était en parfaite forme. Elle se leva de bonheur pour installer son plan de destruction du vaisseau. Il fallait un feu! Oui un feu! Mais il ne fallait pas que les système d’eau parte. Elle alla donc prendre une longue, longue douche d’une heure et quart. Lorsqu’elle sortie, les autre était levé et allait eux aussi à leur douche. Elle alla donc mettre de l’huile hautement inflammable prêt des produit explosif et mis de l’huile dans les alentours. Elle installa ensuite une petite bombe et attendit. Lorsque tout le monde fut prêt, l’équipage au grand complet descendirent. Valence s’assura de descendre en dernier et de verrouiller la fonction envoyer pour 24 heures.
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Sur la planète Zonagricolte, l’équipage commença à cueillir des donné. C’est alors que Valence entra dans la confection de son plan.
[Valence] Ah! Charles j’ai oublier mon… papier super important sur le radar à Flavien! [Charles] je vais le chercher t’inquiète pas. [Valence] ah merci, tu es un amour!
Charles se téléfaxa. Aussitôt, Valence sortie une petite manette à un bouton et appuya dessus. Elle lança la manette dans un précipice juste à côté d’elle. Charles téléphona aussitôt!
[[Charles]] Au secours! Il y a eu une explosion et le feu est pris dans le vaisseau! Le système contre les incendie ne part pas et je ne peux pas me téléfaxer. On dirait qu’il est vérrouillé! [Valence] Ah mais c’est terrible! [Flavien] Je vais le chercher. [Valence] Mais… Si tu y va tu ne pourra pas plus retourner avec lui ici. [[Charles]] c’est trop tard pour moi. Adieu à tous. Adieu Brad. [Tous] Adieu capitaine. [Valence]*marmonnant* Bon débarra
Un explosion se fit entendre et… plus rien. Charles et Romi voulaient être ensemble et bien ils étaient servit. Ils n’allaient plus jamais être séparé! Valence joua un faux rôle de fausse veuve très triste jusqu’à la cérémonie puis après, elle oublia cet homme à tout jamais. Après tout ce n’était pas lui qui avait dit : la vengeance est douce quant on la savonne comme il faut? Et bien la sienne était reluisante. | |
| | | glaciale Maîtresse du Forum
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| Sujet: Re: Juin 2005 Dim 10 Juil à 15:55 | |
| Quand les autres s'en mêlent... ,Kristaline
Alors, par où commencer ? Eh bien, après un mois sans avoir exploré une planète, le Romano Fafard entra en orbite autour de Carmenature, une planète uniquement composée de campagne, de petites forêts et de lacs. Selon les rapports de la sonde, les habitants, les Carmenaturistes, vivaient surtout des produits de la ferme.
Brad (lisant le rapport de sonde) : ... Seulement, cette planète est beaucoup trop p'tite pour nous.
Capitaine : Il va falloir trouver une autre planète. Bob...
Valence (l'interrompant) : Attends Charles, pourquoi s'en aller ? Cette planète est parfaite pour des p'tites vacances.
Capitaine : On est pas en vacances, Valence. Nous avons une mmmission.
Tout le monde regarda au même endroit.
Valence (frustrée) : Ben, pendant que tu penses à ta mission, j'te signale que notre moral est au plus bas depuis tout l'début.
Serge-9 : Plus précisément, il est à -8,2 à l'échelle de Mailloux*.
Flavien : S'il vous plaît, capitaine, on a vraiment besoin de vacances.
Pétrolia : Oui ! Pis on pourrait rencontrer les habitants. Ils pourraient nous héberger pis laisser traire leurs taureaux.
Serge-9 : Euh... Pétrolia, c'est des vaches qu'il faut traire.
Bob : Eille, y'ont sûrement d'la bonne bouffe chez eux : du jambon, du bacon, des côtelettes de porc...
Brad : Ça s'voit qu'il mange comme un cochon.
Bob (vexé) : Kessé vous avez dit ?
Capitaine : Suffit ! (À Valence) Très bien, Valence, nous aurons des vacances...
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Quelques heures plus tard, le téléfax a été installé sur la planète et tout l'équipage se retrouva là-bas. Bon ben, moi, je vais prendre une pause...
Capitaine : Vous avez toute la journée pour vous reposer.
Ah ouais ?
Capitaine : Pas vous, la narratrice-auteure, j'parle de mon équipage.
Ah....
*La narratrice-auteure s'en va. Changement de narratrice : la narratrice-nowhere. La narratrice-nowhere vous est présentée par... aucun commenditaire. Décidément, ils sont méfiants, cette année...*
Capitaine : Restez groupés, on sait jamais ce que les Naturistes...
Flavien (rectifiant) : Carmenaturistes.
Capitaine : Merci. On sait jamais ce que les... (Il hésite sur le mot) ce qu'ils nous réservent. On se rejoint ici même, le lendemain, à 8 heures du matin. Avez-vous bien compris ?
Tout le monde a répondu positivement. Puis l'équipage se sépara en trois groupe : le capitaine avec Valence ; Flavien avec Pétrolia ; et Bob avec Serge-9 et Brad.
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Le capitaine et Valence se promenèrent dans les champs, main dans la main. Au cours de la journée, ils arrivèrent près d'un lac. L'eau était si fraîche qu'ils eurent envie de s'y baigner. Et comme ils n'avaient pas de maillots sur eux, devinez avec quoi ils s'étaient baignés...
Évidemment, un troupeau de vaches à lait au chocolat passait par là. Et malheureusement, elles avaient mangé les vêtements de nos deux tourteraux. En revenant de leur baignade, ceux-ci furent inquiet de constater qu'ils ne les retrouveront pas.
Valence : Oh, Charles. Mais qu'est-ce qu'on va faire ?
Capitaine : On peut quand même pas s'prom'ner comme ça à poell.
Soudain, des vêtements tombèrent du ciel, dans leurs mains.
Capitaine : Mais c'est quoi, ça ?
En regardant les vêtements de plus près, Valence trouva un mot dans sa robe avec des poches. Elle la lut à voix haute.
Valence : "Chers visiteurs, voici de quoi couvrir votre nudité. Comment on l'a su ? Une de mes amies a eu une vision vous voyant vous baigner alors que nos vaches broutent vos vêtements. J'ai écrit ce message, confiante de savoir qu'une autre de mes amies utilisera à distance son pouvoir de télékénésie pour vous porter cela. Une fois habillés, nous viendrons vous rejoindre dans quelques minutes. Ly"
Capitaine : Lire quoi ? Quel passage ?
Valence : Non, Ly, c'est son nom.
Capitaine : Ah.
Valence : Charles, ça m'fait peur. Ces filles-là pourraient nous voir n'importe où, n'importe quand. On devrait rentrer au vaisseau.
Capitaine : Voyons, Valence. On a déjà rencontré le Yâble, une barrière, même des douanes. Qu'est-ce qu'il pourrait nous arriver de pire ?
Valence : Ouais... j'avoue que t'as raison.
Sans un mot, ils enfilèrent leurs nouveaux vêtements. Quelques minutes plus tard, trois adolescentes se présentèrent à eux, âgées de 15-16 ans.
La première se nommait Zylanna Waskno. Ressemblant étrangement aux Cambodgiennes de la Terre, elle manipulait les objets par la pensée, c'est-à-dire, la télékénésie. La seconde, celle qui avait les cheveux roux, se nommait Kathy Norkan. C'était celle qui avait eu la vision. Et la troisième, qui ressemblait à une Chinoise, était la fameuse Ly. Ly Fuyi, étant télépathe, sut répondre au capitaine avant qu'il ne pose la question.
Ly : Vous voulez un endroit pour dormir ?
Capitaine (étonné) : ... Oui.
Ly : Zy est propriétaire d'un orphelinat.
Valence : C'est pas un peu jeune pour une jeune fille ?
Zylanna : Non, j'm'en sort très bien. Vous verrez, vous aurez votre propre dortoir.
Voyant que les adolescentes étaient sérieuses, le capitaine et Valence acceptèrent de se laisser guider par elles...
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Pendant ce temps, Flavien et Pétrolia s'étaient arrêtés à un village, question de réaliser un des rêves de la jeune femme. Il s'arrêtèrent à la première ferme et frappèrent à la porte. Un jeune homme dans la vingtaine, aux cheveux bruns en bataille, aux yeux bleus et en boxer vint leur ouvrir.
Jeune homme : Ouais ?
Flavien : Bonjour, monsieur. Euh... est-ce qu'on vous dérange ?
Jeune homme : Pas mal, ouais.
Voix de jeune femme : Simon ? C'est qui ?
Simon : Des [BIP !] de touristes !
Pétrolia (vexée) : Eille, on est pas des os...
Flavien (l'interrompant) : J'pense qu'on va plutôt s'en aller. Désolé.
Une jeune femme arriva à la porte, habillée d'une robe de chambre. Dans la vingtaine elle aussi, ses cheveux noirs allaient jusqu'aux épaules et ses yeux étaient d'un vert émeraude.
Jeune femme : Non, restez. D'accord, vous nous avez interrompu en pleine... (Elle hésite sur un mot, mais renonce) En tout cas, que voulez-vous ?
Pétrolia : On pourrait traire des vaches ?
Jeune femme : Mais bien sûr. En passant, j'm'appelle Myriam.
C'est ainsi que Simon et Myriam, une fois habillés, amenèrent Flavien et Pétrolia à une étable, où des vaches devaient être traitées. Bientôt, ils étaient initiés à cet art. Ils avaient même pu goûter le lait qui a été récolté. Mais il était si chaud qu'ils l'avaient recraché. Quoiqu'il en soit, ils avaient trouvé la place pour dormir ce soir...
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Entre temps, Bob et Serge-9 s'étaient amusés à pousser Brad chaque fois qu'ils étaient sur le haut d'une colline. Il faut dire que, dans la région où ils étaient, il y en avait beaucoup.
Soudain, pendant que Brad dévale une autre colline...
Bob : Ah, j'ai faim... On pourrait-tu s'arrêter pis prendre une pause ?
Serge-9 : Allons, mon Bob. Y'a un village pas loin d'ici.
Bob : Où ça ?
Serge-9 montre une pancarte où il est écrit : "Village anonyme - 1 km"
Serge-9 : Y'aura sûrement quelqu'un pour nous accueillir afin qu'on enlève nos bottes, qu'on les lance dans l'bain pis qu'on prenne nos manteaux pour les mettre sur l'lit.
Bob : De kessé ?
Serge-9 : Quoi ? C'est pas Noël ?
Pendant ce temps, ils rejoignirent Brad, qui était resté couché par terre.
Serge-9 : Envoyez, Brad, rel'vez-vous avant qu'on vous prenne pour un tapis.
Brad finit par se relever. Un kilomètre plus loin, à un autre sommet de colline...
Brad : Tiens, on m'pousse pu ?
Serge-9 : La roche va s'en charger.
Brad : Quelle... ?
Sans le savoir, Brad trébucha dans une roche et tomba à nouveau. La roullade terminée, il constata qu'il était près d'un village en bordure d'une forêt.
Brad (à lui-même) : J'pense que j'mangerais pas d'salade à soir. J'ai eu mon quota d'herbe pour aujourd'hui.
Soudain, il vit deux paires de bottes. Il leva sa tête et vit deux jeunes hommes, tous deux vêtus de peaux d'animal. L'un avait de courts cheveux noirs et des oreilles pointues et était armé d'un arc et l'autre, étant presque à la fin de son adolescence, avait de courts cheveux bruns en bataille, des membres finement musclés et tenait dans sa main une hache à double lame.
Brun : On peut vous aider ?
L'homme aux oreilles pointues tendit sa main à Brad, qui la prit avec hésitation. Bob et Serge-9 arrivèrent par la suite.
Serge-9 : Salutation à vous, respectueux citoyens d'la planète Carmenature.
Homme aux oreilles pointues : Hein ?
Bob : De kessé ?
Brun : Euh...
Brad (soupirant) : C'que vous pouvez être imbé...
Pour le faire taire, Serge-9 lui tordit un bras.
Serge-9 : Excusez-le, il n'est pas très poli.
Homme aux oreilles pointues : Nous acceptons votre excuse.
Brun : Soyez les bienvenus au Village anonyme. J'm'appelle Maël et celui qui est avec moi se nomme Eolas.
Bob : Quand est-ce qu'on mange ?
Maël : Tout d'suite, si vous voulez.
Ils entrèrent au village et furent hébergés par ces deux villageois...
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Tout semblait confus pour le capitaine. Il se rappelait avoir mangé et PAF !, il se retrouvait attaché à un poteau planté au sol, loin de tout village. Il tourna la tête et vit Valence, inconsciente et dans la même position que lui. Seul le son de sa voix lui permit de tenter de la réveiller. Après quelques essais, qui se terminaient dans l'échec, elle finit par reprendre conscience.
Capitaine (soulagé) : Oh, Dieu merci ! T'es vivante !
Valence (confuse) : Charles ?! Où on est ?
Le capitaine aurait bien voulu le savoir, mais il ignorait tout de l'endroit où ils étaient. C'est alors que Zylanna, Ly et Kathy arrivèrent.
Capitaine : Ah, merci, vous êtes là ! Pourriez-vous nous aider à nous libérer ?
Le trio se mit à rire.
Ly : Franchement, on est pas stupide, nous.
Valence : Hein ?
Zylanna : On voit bien que vous êtes tombés dans l'panneau.
Capitaine (furieux) : Quoi ?
Ly : On a mis des somnifères dans vos repas, hier soir. Pis on a "emprunté" le chariot du père à Kathy pour vous mener icitte.
Valence : Hein ? Mais pour quoi faire ?
Sans apporter une réponse, Kathy prend un porte-voix et dirige sa voix vers le ciel.
Kathy : AUTEURE ! ON VOUDRAIT TE PARLER !
À quel sujet ?
Kathy : Vous êtes pas l'auteure ?
Non, juste une narratrice.
Kathy : Pourriez-vous lui dire qu'on a des otages parmi nous ?
Quoi ? Des otages ?
Kathy : Pis si elle remplit pas nos demandes, on va les exécuter. | |
| | | glaciale Maîtresse du Forum
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| Sujet: Re: Juin 2005 Dim 10 Juil à 15:55 | |
| Valence (pâle) : Nous... exécuter ?
Zylanna sortit une dague et la plaça sous la gorge de Valence.
Zylanna : Ça vous apprendra à être le nouveau centre d'intérêt de l'auteure.
Ly : Ah, j'aime bien cette douce vengeance.
Voix féminine : Vengeance ?
Myriam et Simon venèrent d'arriver, avec Flavien et Pétrolia, qui étaient solidement attachés grâce à des chaînes de fer.
Simon : [BIP !] de copieurs !
Zylanna (furieuse) : Qu'est-ce que vous faites là ?
Myriam (fâchée) : Tu sauras qu'on veut notre requête, nous aussi.
Ly se mit à rire.
Ly : Ha ha ! Une histoire d'amour, j'suppose ?
Simon prend le porte-voix des mains de Kathy.
Kathy : Eille !
Simon (dans le porte-voix) : Auteure ! Écoute-les pas, notre demande est plus importante.
Euh... j'suis pas auteure.
Simon : Ben, faites-là venir, [BIP !] !
Pétrolia : On peut savoir c'que vous faites ?
Flavien : Ouais, j'suis tout mêlé, moé.
Myriam : Pourquoi vous devriez le savoir ? Vous finirez par crever.
Capitaine : Laissez mon équipage tranquille !
Voix : Ah ben, on est pas tout seul !
C'était Serge-9 qui venait de dire cela. Ce dernier, Bob et Brad étaient emprisonnés dans une cage en bois sur roues, conduite par un cheval, qui était conduit par Maël et Eolas.
Eolas : Euh... Vous êtes venus pour voir l'auteure ?
Kathy (désespérée) : Pas vous aussi ?
Bob : J'ai faim...
Maël (à Eolas) : On devrait l'tuer en premier. Y'a mangé toutes nos provisions.
Eolas : Pis l'auteure ?
Maël tenta de prendre le porte-voix des mains de Simon, mais il résista. Maël finit par l'assommer.
Myriam : NON !
Maël : Relax, niaiseuse, j'l'ai juste assommé.
Non, en fait, vous l'avez tué.
Myriam : NOOOONN !!!
Ben non, c't'une joke. Furieuse, Myriam donna un coup de pied dans les parties sensibles de Maël et prit le porte-...
Myriam : Farme-là !
Ok...
Myriam : En tant que première héroïne qui est née de l'imagination de l'auteure, j'exige qu'elle me reprend, moi et Simon, et que notre nouvelle histoire soit plus intéressante, donc, que notre amour soit plus compliqué que ça.
Ly : Bla bla bla.
Par la force de la pensée, Zylanna prit le porte-voix des mains de Myriam et prit la parole.
Zylanna : De la part de mon groupe, j'exige que ce soit nous qui soient repris et que notre histoire de science-fiction soit plus étoffée. Et, si possible, que le méchant ait une meilleure personnalité au lieu d'être méchant tout le temps.
C'est alors que Kathy eut une vision concernant Zylanna, qui aura lieu... dans pas longtemps.
Kathy : ZY, ATTENTION !
Zylanna se retourna et vit... une flèche venir vers elle à toute vitesse. Par la force de ses pensées, elle l'arrêta. Mais le temps qu'elle prit pour se protéger permit à Eolas de prendre le porte-voix à son tour.
Eolas : Euh...
Voyant qu'il ne dira rien d'intelligent, Maël le prit à son tour.
Maël : Si tu m'entends, l'auteure, abandonne ces sept stupides et continue notre histoire, Les Exilés anonymes. Tu dois ça à ton public, y'a seulement nous qu'ils connaissent.
Myriam : Quoi ? J'suis le personnage le plus ancien de tous. J'aimerais bien avoir un privilège.
Ly : Privilège, mon oeil !
Valence : Vous savez, ce qui serait mieux pour vous, c'est de nous épargner.
Zylanna : La ferme, c'est notre vengeance qui est en jeu.
Brad : Pitié ! J'en peux pu d'être menacé...
Eolas : Peut-être vous resterez vivants... si l'auteure nous donne c'qu'on veut.
Kathy : D'après ma prochaine vision, on va se battre.
Maël (sortant sa hache, enthousiaste) : Génial !
Myriam : Mais pour quelle raison ?
Ly (vexée) : Hé ! (À Maël et Eolas) Votre grand sans-dessin m'a traité mentalement d'imbécile !
Serge-9 : Brad ! Fermez vous-là dans votre tête.
Brad (se plaignant) : Mais j'ai rien fait...
Maël : Mais c'est légal, j'fais ça à tous les jours en croisant votre village.
Ly lisa dans les pensées de Maël, où elle reçut pleines d'insultes.
Ly : Là, ç'en est trop !
Elle prit la dague des mains de Zylanna et la lança vers eux. Cependant, au même moment, Simon, qui était entre les deux, se leva et reçut la dague dans l'épaule. Ben non, c't'encore une joke. Mais il a fallit la recevoir.
Simon : Ah, [BIP !] ! Vous allez l'regretter !
Myriam (tentant de retenir son chum) : Sim, faudrait penser à éliminer nos otages maintenant.
Maël : Comme ça, la p'tite fifille veut pas s'battre ?**
Myriam (furieuse) : Veux-tu un exemple ?
Tout le monde, excepté les otages, finit par se battre. Flavien en profita pour se libérer de ses chaînes grâce à sa force surhumaine. Ensuite, il libéra Pétrolia.
Flavien : Va ouvrir la cage en bois. Moé, j'occupe de Valence pis du capitaine.
C'est ce qu'ils firent.
Capitaine : Allons-nous en d'ici.
C'est ce que l'équipage fit. Et...
kristaline : Arrêtez-moi ça !
Ah, salut l'auteure ! Votre pause est finie ?
kristaline : Mets-en !
Elle regarda les personnages un à un.
kristaline : Vous m'décevez. J'vous croyais capable d'attendre la fin de cette fic.
Simon : Quoi ?
kristaline : Pour qui vous m'prenez ? J'abandonne jamais mes personnages. Sont comme mes enfants.
Myriam : À 17 ans ?
kristaline : Mentalement, ce sont mes enfants. Quand j't'ai eu, Myriam, j'avais presque 14 ans.
Zylanna : Une mère-adolescente !
kristaline (ajoutant) : Mentalement. Pour l'instant, j'vais finir cette fic. Pis j'vais me concentrer sur les Exilés anonymes.
Maël (content) : Ouais ! On a gagné !
kristaline (malicieuse) : Mais la scène que t'espérais n'arriv'ra pas tu-suite.
Maël (déçu) : Ah.
kristaline : Quant aux autres, attendez patiemment. Mon écriture aura alors gagné en maturité et vos histoires seront plus intéressantes. Enfin, je l'espère... Euh, narratrice-nowhere ?
Oui ?
kristaline : J'vais r'prendre ma place.
*La narratrice-nowhere s'en va. Changement de narratrice : la narratrice-auteure. Retournons à nos héros.*
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L'équipage finit par retourner à leur vaisseau, où ils quittèrent la planète.
Bob : Le vaisseau a quitté l'orbite, capitaine.
Capitaine : Très bien, Bob. Flavien, tracez la trajectoire de notre prochaine destination.
Flavien : Oui, capitaine.
Brad : En tout cas, c'est la dernière fois que j'pars en vacances.
Pétrolia : Eille, on pourrait s'faire un beach party dans l'vaisseau !
Bob et Flavien : Ouais !
Valence : Pis on pourrait installer des lampes à voltage intense pour s'bronzer.
Pétrolia : Bonne idée !
Capitaine : Et si j'amenais mon speedo ?
Tout l'équipage, excepté le capitaine : O_O
Capitaine (sérieux) : Finalement, c'est pas une bonne idée.
FIN
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*L'échelle de Mailloux sert à mesurer le moral d'un équipage dans l'espace, allant de 0 à 10. Lorsqu'il est négatif, ça va vraiment mal... ** D'habitude, Maël n'est pas si baveux que ça. Dans Les Exilés anonymes, c'est Nadjib qui fait cette tâche. Mais puisqu'il n'est pas là... ^^ | |
| | | glaciale Maîtresse du Forum
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| Sujet: Re: Juin 2005 Dim 10 Juil à 15:56 | |
| Vengeance surnaturelle , Glaciale
Tout commença au mois de novembre , plus précisément le 12 . C’était à cette date précise que Bob et Pétrolia avait rompu . En faite c’était plus Pétrolia qui avait cassé prétextant qu’il était mieux en ami .L’excuse la plus banal qu’elle est pu trouver. Au fond de lui , Bob savait que la vrai raison c’était que Flavien et elle ne pouvaient s’empêcher de s’aimer.
La vie de Bob chavira subitement. Il devenue froid et distant avec les autres et penser à Pétrolia lui faisait mal. Brad en avait d’ailleurs profité pour le rendre encore plus mal dans sa peau .
Puis le dans la nuit du 2 au 3 décembre , bob avait mis fin à ses jours. Il c’était pendu dans la salle de bain .
Dès lors , Flavien et Pétrolia commencèrent à culpabiliser . Après l’enterrement Charles les avait sévèrement disputé. À cause d’eux, ils avaient perdu le meilleur pilote et le seul qu’ils avaient.
0000
Les journées passèrent et bientôt , noël approcha. Le 21 au soir , Pétrolia s’apprêtait à aller se coucher . Il faisait froid cette nuit là dans le vaisseau. Après s’être brosser les dents , la jeune fille retourna au dortoir où tout le monde dormait déjà. Elle se glissa dans ses couvertes et elle accota sa tête sur son oreille lorsqu’elle entendit un drôle de bruit. Elle souleva son oreiller et y trouva une lettre froissé s’adressant à elle ,de la part de Bob. Elle alluma la lumière près de son lit et ouvrit l’enveloppe doucement afin de réveiller personne.
Chère Pétrolia,
Cette lettre n’est pas la pour te dire que je te pardonne ton geste. Loin de là. Tu ma fais mal. Très mal. J’ai souffert à cause de toi et maintenant , j’ai bien l’intention de te le faire payer. Mon cœur c’est brisé en mille miettes quand tu m’a annoncé que tu me quittais . Je ne m’attendais pas à ce qu’on reste ensemble bien longtemps . Mais ce qui m’a fait mal c’est de te voir retourner dans les bras de mon meilleur ami après tout ce qu’on a vécu ensemble. J’ai envi d’une vengeance. Mais sur ce vaisseau, il m’était impossible de me venger à ma juste valeur. D’où je suis maintenant ,soit sur que tu ne dormiras plus jamais ,ne rira plus jamais et tu n’aimera plus jamais !
De Bob ,que tu rejoindras bientôt. - xXx -
*
D’abord un peu sous le choc, Pétrolia se raidit sous ses couvertures. Elle ne pouvait pas imaginer qu’elle l’avait fait souffrir autant.
Cette nuit là , Pétrolia ne dormit que d’un seul œil . Elle passa toute la nuit à essayer de trouver une façon rationnelle d’expliquer la présence soudaine de cette lettre sous son oreiller. Peut-être était-ce Brad qui voulait lui jouer un tour? Et de toute façon ,Bob était mort depuis bien longtemps et il ne lui était rien arrivé de fâcheux. Pétrolia , qui n’était pas très superstitieuse, décida ne pas en parler. Après tout , le capitaine accuserait Brad , Flavien s’inquiéterais pour elle et Valence lui trouverais une quelconque maladie mentale.
Quelques heures plus tard , tout le monde était réveillé. Le vaisseau était toujours aussi glacial et personne ne savait pourquoi. Pétrolia décida d’aller prendre un douche question de se réchauffer .
-AAAAAAH!!!
Au beau milieu de sa douche l’eau devint subitement froide. Pétrolia sortit , enfila une robe de chambre et alla dans la cuisine où les autres déjeunaient.
-Qui qui a utilisé l’eau chaude?!
Tout le monde se regardèrent perplexe. Flavien s’approcha de sa blonde qui fulminait toujours.
-Personne pourquoi?
Un peu surprise ,Pétrolia ressortit de la cuisine et elle alla se rhabiller . Elle continuait de penser à cette lettre. Tout la journée , il lui arriva plein de petites catastrophes. Elle se renversa du café dessus , elle fit exploser un fusible de serge 14 et elle mit ses vêtements à l’envers .
000000000
Le lendemain , la visite d’une planète était prévue. Elle n’était pas habitable mais elle un peu d’air frais changerait les idées de l’équipages qui étaient plutôt sombres ces derniers temps.
Arrivé à destination , Valence et le capitaine allèrent prendre une marche dans le bois , Brad préféra plutôt aller lancer des roches sur le lac et Flavien et Pétrolia allèrent s’étendre dans l’herbe .Tout ce déroulait à merveille lorsque la jeune femme entendit une voix familière .
«Je vais me venger» disait la voix ,comme un souffle dans la brise.
-Qui parle ? demanda Pétrolia , bien qu’elle eut peur de connaître la réponse. -Hein? De quoi tu parles Pét? J’ai rien dit.
« Tu va bientôt mourir » ajoutait la voix moqueuse .
-Ça suffit!
Pétrolia se releva brusquement et elle se mit à courir. Peux importait la destination du moment qu’elle n’entendait plus Bob lui hurler : « JE VAIS TE TUER! » . Elle courut à travers les arbres ,s’écorchant le visage au passage. Les mains sur les oreilles elle répétait , les larmes au yeux, : « Arrête Bob ! » Mais la voix continuait de la menacer et de l’insulter.
Soudain ,elle trébucha et elle se heurta violemment la tête sur le sol. Un peu sonnée, elle se remis sur ses genoux . Elle entendait toujours Bob et tous tournaient autour d’elle. Elle n’arrivait plus à distinguer le sol du plafond. Elle avait mal au cœur. Puis, elle entendit au loin la voix de Flavien qui l’appelait. Les pensées de la jeune femme s’embrouillait. Elle sentait son visage picoter à cause des ses nombreuses éraflures . Elle tremblait tout en continuant de hurler à bob d’arrêter de se jouer d’elle. Puis, le noir complet.**
00000
Pétrolia ouvrit les yeux, elle fut d’abord frappé par la lumière aveuglante du néon au dessus de sa tête. Ses membres étaient engourdis et elle n’arrivait pas à ce lever. Elle entendait tout en sourdine autour d’elle.
-J’lui est donnez des calmants . Elle est réveillée .
La voix de Valence n’était qu’un lointain écho. Elle voulait tout avouer. Dire qu’elle avait reçu une lettre de Bob et qu’elle n’était pas folle. Mais c’est lèvre bougeaient au ralentis et un son presque inaudible sortit.
-Boooob…bob -Elle parle ! s’exclama Flavien. Pétrolia ? Pétrolia qu’est-ce qui se passe?
Flavien pris la tête de la jeune femme dans ses mains en relevant doucement sa tête. La pauvre! Elle semblait terrorisée! Des gouttes de sueur perlait sur son front humide.
-Bob…bob… -Bob? Ca y est Flavien votre blonde est folle! S’exclama Brad avant que le capitaine ne lui fasse singe de le suivre à l’extérieur. -Bob?Demanda Flavien sans prendre attention de la remarque du scientifique. Bob est…mort Pétrolia.
Pétrolia n’arrivait pas à répondre . Elle était incapable de faire un mouvement. Alors qu’elle regardait Flavien ,elle vit derrière Valence un silhouette. Celle de Bob. Il était la . Il la regardait arborant un sourire machiavélique. Il s’approcha tranquillement vers le lit pendant que le corps de Pétrolia était pris de spasme. Son rythme cardiaque s’accéléra ,ses yeux qui fixaient le vide semblaient paniqués . Valence elle aussi capotait.
-C’est impossible! J’lui est administrée assez de calmant pour endormir un éléphant! -Pétrolia! Regarde moi dans les yeux. Dit Flavien en saisissant plus fermement la tête de la jeune femme.
Mais rien à faire. Sa blonde fixait toujours Bob qui était rendu près du lit. Elle avait de violents spasmes. Le pilote s’amusait à lui montrer les marques dans son cou. «maintenant tu va le payer! »
-NOOOON!!
Pétrolia hurlait à présent . Valence essayait de lui administrer encore des calmants mes la jeune femme bougeait trop! Charles entra en trombe dans la pièce. Il s’approcha de Pétrolia en essayant le mieux possible de la retenir.
De son côté , Pétrolia qui continuait de divaguer, aperçus bob qui approchait ses mains du cou de la jeune femme. Il se mit à serrer du plus fort qu’il pu. Pétrolia se sentait étranglé et elle n’arrivait plus à hurler. Elle était entrain de suffoquer .
Soudain , les spasmes cessèrent, les yeux de la malade se fermèrent et son cœur cessa de battre. Valence essaya de la réanimé mais en vint. Pétrolia était décédée .
000000000
Pétrolia regardait sa réanimation en pleurant. Elle ne voulait pas mourir! Elle essaya de parler à Flavien mais il ne l’entendait pas. Elle n’était plus qu’une âme errante .
-As-tu aimé ma vengeance ?
La morte se retourna et elle vit Bob , tout aussi transparent qu’elle , qui la fixait.
-T’es un imbécile Bob! J’te déteste.
Elle entendit des pleurs. Flavien, tenait la main de Pétrolia dans la sienne. Valence était dans les bras du capitaine . pétrolia reagdra la scène avec attention avant de finalement dire : « Un jour Bob ,je m’vengerai .»
FIN!***
0000000000
* Et oui! Bob est pas mal plus jaloux que dans le film! ** Quand je lis se boutte la j'ai des papillons dans le ventre...j'me fais peur *** Fin! | |
| | | glaciale Maîtresse du Forum
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| Sujet: Re: Juin 2005 Dim 10 Juil à 15:57 | |
| Singeries d’humain, M@rie
Quelques part en 2006…
-T’es devenu complètement maniaque ! Commença t-il, restant immobile à me fixer, méfiant.
Un sourire malfaisant me grippe sur la figure, contaminant ma voix qui pouffe un petit rire de satisfaction.
-Ferme-la !
-Mais…
-J’AI DIS DE FERMER TA GEULE SI TU VEUX PAS TE RAMASSER À JOUER AVEC UNE BALLE QUI ORNE TON FRONT ! C’est pas très beau ni très bon pour les concepts brillants, ça. J’suis pas sûr que tes fans vont apprécier … Pas trop bien pour l’image, pas vrai ?
Il recule de quelques pas, tente de s’échapper par n’importe quel moyen, mais il était piéger dans un coin éloigné du plateau. J’ai préparé mon coup à merveille, pas de chance.
-T’ES MIEUX D’OBÉIR, J’AVERTIS, JE N’HÉSITERAI PAS À TIRER !
J’agite le pistolet, le doigt sur la gâchette, en tremblant. J’ai revêtu pour l’occasion mon air le plus menaçant, s’ils croyaient que je vais les épargner parce qu’ils sont amis avec moi…
Il fini par s’allonger, il lui semblait que ce n’était pas pratique de négocier, en hasardant sa vie, si ce n’est que pour sacrifier un membre ou deux pour me dissuader.
Ils semblent plutôt sonnés par mon attitude, depuis le temps qu’on se connaît, il n’ont jamais ce visage sombre de démence.
Après tout, ce qui a venu a tout ça, ce n’est qu’un rien que ce que j’ai proposé. Avec naïveté, je l’avoue. Avec trop de bonté, aussi. Je ne me rappelle plus trop comment je suis arrivé à leur dire ça, pour leur maudit texte, néanmoins je sais que les éclats de rires qui ont suivis ne m’ont pas totalement donnés confiance.
Ce que ces deux crétins en ont fait, c’est chose à part. Ils se sont appropriés comme si ça leurs appartenaient. C’est eux qui récoltaient la gloire de cette phrase, les mérites, les rires…. Pas moi et surtout quand ils me reviennent.
Je vais bientôt la ravoir cette citation, dès que je verrais leurs dépouilles inanimées. Ça va bien commencer ma matinée et mal finir les leurs.
-Qu’est qui t’arrive ? Qu’est que veux exactement ! Lance l’autre, avec un afflux de sang-froid dans la voix.
-C’qui me revient de droit !
-De quoi tu parles !? Riposte le deuxième idiot, avec stupéfaction.
-Eh, on t’a rien fait ! Ça va pas !
-J’SUIS PAS MALADE, O.K !! ESPÈCES DE CAVES, J’SUIS EN PARFAITE SANTÉ ! Et conscient comme tout, la preuve…
Le premier idiot pousse un cri apeuré assourdi par le sol, une balle vient de balayer l’air tout près de son oreille gauche, elle va heureusement se loger dans le mur le plus près.
-T’es fou ! S’écrie t-il, encore sous le choc.
Un peu plus et j’aurais fait ma job à moitié, il s’en est fallu de peu même s’ils se protègent la tête comme ils peuvent. Mais je pourrais bien changer d’idée et leur disloquer la colonne, ça sera tout aussi amusant.
Ils échangent rapidement un regard qui reflète toute l’ignorance de la situation. Comme s’ils ce parlaient à travers celui-ci. Qu’est que je suis bête, je n’ai pas donné d’explications…
-Vous compreniez pas, bande d’imbéciles !
-Quoi de tu parles, alors !
-Vous avez pris ce que j’aurai du avoir, moi !
Il se de se mettre à genoux, en me regardant avec compassion. L’autre reste sur le sol, impassible.
Il semble peu à peu comprendre, c’est pas trop tôt.
-Écoute, si c’est pour ce que je pense, on t’a dit, l’autre fois que…
-Laisse faire le reste et AVOUE QUE VOUS ME L’AVEZ VOLÉE !!
-T’es en train de capoter ! Enwaye, j’t’amène à l’hôpital, ils sont p’t-être pas vite vite sur le service mais ils vont s’occuper de ta tête.
Il se lève, s’approche de moi avec prudence en m’empoignant le bras. Je réussis à me défaire de son emprise et je pointe le fusil vers son abdomen.
Ah ouais ! Il me croit encore fou, lui ?
-J’vais te montrer, moi !!
-Ça va faire le niaisage, tu vas arrêter ou c’est nous qui vont te régler ton problème…
-Aahah ! Répondis-je, sacrastique comme tout. Très drôle et qu’est que vous comptez faire pour ?
Et avec son petit air candide, il rétorqua, avec un sourire trompeur, un simple :
-Ça.
C’est à ce moment précis qu’un coup cinglant atterrit dans le bas de mon crâne. Ma vision devint soudain vacillante, floue, et je faillis perdre l’équilibre.
Derrière moi, la voix de l’autre se fit entendre :
-Ça t’as remis les idées en place ou t’as besoin de plus ?
Il se mit devant moi et sourit largement à son tour.
Je n’ai pas pris la peine de répondre. Je me suis contenté de les regarder avec confusion.
La tête me tourne, je sais plus ce qui m’arrive, pourquoi je suis ici, qu’est que je fais qui me rends aussi nerveux, aussi affecté…
Je pointais toujours mon arme en leurs directions et alors que les deux autres coups sont partis. Deux cris successifs… le sang sur leurs bras… l’asphalte… le noir…
J’ai repris conscience un peu après, avec pour première vision leurs visages inondés pour moi. Et la première chose que j’ai faite, en réalisant qu’ils n'étaient que blessés légèrement, c’est de m’écrouler, en sanglotant, dans leurs bras.
-J’m’ex… cuse… les gars… j’suis qu’un mo…ron… excu…sez… J’suis…qu’un scrip-teur… pas un mon-stre… Qu’Be-noit Char-tier… pas un signe… avec… des clés de…chars… Pierre-Yves….excuse… Claude… excuse
-T’en fais pas, Ben, on va dire que c’est toi qui a imaginé cette phrase, si ça te tient tant à cœur ! Même à ceux qui y’ont pas l’livre !
-Ouais. On s’excuse, nous autres avec…
C’est à ce moment que j’entendis Claude Desrosiers derrière.
-Bon, enfin… Claude, on a besoin de… qu’est que vous faites là vous trois ? Dit-il, en haussant les sourcils, regardant avec surprise les trois en pleurs, les uns contre les autres. Nous ont est prêts pour la première séquence de la journée et vous vous amusez à vous tuez !?
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| | | glaciale Maîtresse du Forum
Nombre de messages : 210 Age : 34 Localisation : Dans la ville de «beauxyeux» au singulier Date d'inscription : 13/02/2005
| Sujet: Re: Juin 2005 Dim 10 Juil à 15:58 | |
| De père en fils ou la Malédiction des Spitfire , Lindâ
M. Spitfire regarda la porte fermée de son luxueux bureau avec un soupir. Derrière cette porte attendait son héritier, son unique enfant, son fils, Brad.
Brad Spitfire... Une source de désappointement pour lui depuis le jour où il était né. Enfant déjà, le maigrichon gamin s’était avéré tout le contraire de son père, un homme rude et fier, qui n’avait jamais connu l’échec, qui avait dominé toutes les volontés, vaincu tous les obstacles, plié tous les événements pour les soumettre à sa volonté de fer et bâtir la redoutable Spitfire Corporation, l’une des plus grandes entreprises de la Terre, si riche et si puissante que son dirigeant pouvait se considérer l’égal des ministres et des rois.
Et pourtant, il avait échoué. Il avait bâti un empire, modelé les destinées de la civilisation humaine, il avait impitoyablement écrasé tous ceux qui s’étaient dressés devant lui et malgré tout, sa volonté d’acier s’était heurtée à un obstacle qu’elle n’avait jamais pu vaincre : Brad, le seul être humain qui lui avait résisté.
S’il s’était donné la peine d’apprendre à connaître son fils alors qu’il en était encore temps, Rich Spitfire aurait découvert que sous sa frêle carapace se cachait la même volonté, le même cœur de pierre et d’acier que celui qui battait dans sa poitrine. Mais au lieu d’encourager l’enfant à développer son plein potentiel, il avait cherché à le soumettre dès sa plus jeune enfance, à le modeler à son image, à en faire un petit clone de lui-même qui aurait un jour pris la tête de l’empire paternel pour devenir un Rich Spitfire numéro deux. Et la volonté du petit Brad, soumis aux privations et humiliations depuis son plus jeune âge, élevé par une mère indifférente et un père insensible, s’était réfugié dans le mensonge et la fourberie avec la même volonté que son père avait appliquée à la construction de son entreprise, et il avait bâti un empire personnel de haine, de jalousie et de mesquinerie à l’égal de l’empire commercial de son père. Et lorsque Rich Spitfire avait fini par réaliser l’erreur qu’il avait commise, il était trop tard. Sous ses dehors de feluette moumoune et méchante, le petit Brad était devenu un monstre d’égoïsme et de bassesse.
La main de Rich Spitfire se dirigea lentement vers l’intercom et un long doigt noueux appuya sur un bouton. Une voix claire s’éleva.
-Mlle Collins, dit Rich à sa secrétaire, veuillez faire entrer mon fils.
-Bien M. Spitfire.
Et quelques secondes plus tard la lourde porte s’ouvrit et laissa entrer Brad. Son visage était dur et fermé, une expression qui lui venait automatiquement à chaque fois qu’il se trouvait en présence de son père.
-Assieds-toi Brad, lui dit Rich en lui désignant un fauteuil en face de son bureau.
Brad s’assit, silencieux, regardant son père avec un mélange de haine et de défiance.
-Mon fils, je suis fier de savoir que tu as réussi tes examens avec succès. Mes contacts à l’université mon appris que tu obtiendras ton diplôme de scientifique avec une mention très honorable. Mes félicitations.
-Merci, père, répondit Brad, toujours méfiant. Il savait que son père ne l’avait pas convoqué ici simplement pour lui dire qu’il était fier de lui.
Rich Spitfire prit un dossier qui se trouvait devant lui et le tendit à Brad.
-Qu’est-ce que c’est ? demanda le jeune homme, sans ouvrir le dossier.
-Ce sont les plans secrets faits par la Fédération planétaire pour sauver le monde. Demain, le président de la fédération annoncera publiquement l’envoi de vaisseaux dans l’espace à la recherche d’une nouvelle planète habitable qui accueillera la race humaine. Le meilleur de ces vaisseaux, le Romano Fafard, a besoin d’un scientifique. Ce scientifique, ce sera toi.
-Moi ?!?
-J’ai dû faire jouer plusieurs contacts au sein de la fédération et verser de grosses d’argent pour t’obtenir ce poste.
-Je ne veux pas aller dans ce vaisseau. Tu aurais dû me le demander avant. Ça t’aurait sans doute épargné quelques millions de dollars.
-Je me fiche des millions ! s’emporta Rich Spitfire. J’en ai assez que mon fils soit une lavette, une feluette sans but et sans avenir. Tu t’embarqueras sur ce vaisseau ou tu peux dire adieu aux milliards de la Spitfire Corporation. Tu devras te débrouiller seul, Brad, car si tu refuses, tu pourras te considérer déshérité sur le champ !
Les doigts de Brad étaient crispés sur les accoudoirs de son fauteuil. Son visage était devenu livide et il pouvait sentir battre son cœur dans sa poitrine, si fort qu’il se demandait comment il se faisait qu’il n’ait pas encore éclaté. Plus que la menace d’être déshérité, c’étaient les insultes de son père qui l’avaient le plus atteint. Il voulut résister, il voulut dire à son père qu’il préférait se débrouiller sans argent et sans son aide, mais cette envie de résistance fut vaincue, non pas par la cupidité ou l’avidité, comme le croyait son père, mais par la peur, la peur de l’inconnu qui avait toujours fait reculer Brad.
-Je te déteste, murmura Brad, vaincu, en baissant la tête.
-Va faire tes valises, lui dit simplement son père.
Brad se leva, la tête toujours baissée et les poings serrés. En atteignant la porte, il se tourna vers son père.
-Tu penses que je suis égoïste et mesquin, n’est-ce pas, père ? Je le vois dans tes yeux, à chaque fois que tu me regardes. Mais sache que toi et moi, nous sommes pareils. Tu mourras seul et sans amis, craint comme tu l’as toujours souhaité, mais détesté de tous, détesté de tous ceux qui auraient pu t’aimer un jour, détesté par tes parents, par ton épouse, et par ton fils. Tu mourras seul et sans espoir. Cela, je le sais, parce que je sais aussi que c’est le sort qui a frappé ton propre père, Jack, et c'est le sort auquel moi aussi je suis destiné. C’est la malédiction des Spitfire, et tu as beau te réfugier derrière ton argent et tes menaces, tu ne pourras y échapper. Nous sommes condamnés. Nous sommes maudits.
Sur ces mots, Brad sortit. Il ne devait plus jamais adresser la parole à son père. Il s’embarqua sans même lui dire au revoir, sans un mot d'adieu pour cet homme qu’il haïssait.
-Tu me paieras ça, mon fils, murmura Rich, livide, lorsque la porte de son bureau se fut refermée derrière son fils. Personne ne parle comme ça à Rich Spitfire sans en payer le prix, même si cette personne est mon fils. Personne.
***
Lorsque l’envoyé de la Fédération planétaire vint le voir, quelques semaines plus tard, Rich Spitfire le reçut assez froidement.
-Nous n’avons plus le choix, M. Spitfire, lui dit l'homme. Nous devons envoyer un vaisseau vers les confins de l’univers pour trouver une planète habitable. Sinon, c’est la fin de l’humanité. Nous avons deux choix : envoyer le Romano Fafard dès aujourd’hui, comme le souhaite Charles Patenaude, son capitaine, ou bien attendre encore un an et envoyer le Roberto Ménard, qui est en cours de construction et sera encore plus puissant.
-Envoyez au capitaine Patenaude l’autorisation de poursuivre immédiatement sa mission, dit Rich.
-Mais votre fils ? Le Romano Fafard ne reviendra peut-être pas avant de nombreuses années et cette mission comporte de nombreux dangers. Souhaitez-vous qu’on rapatrie votre fils avant ?
-Non, dit Rich, impassible.
-Mais...
-J’ai dit non, fit Rich froidement en se levant, indiquant ainsi à l’envoyé de la fédération que l’entretien était terminé.
L’homme se leva, salua et sortit, perplexe devant l’attitude froide de ce père qui risquait ainsi de perdre son fils sans même pouvoir lui dire adieu.
Rich Spitfire regarda la porte se refermer sur l’envoyé de la fédération, comme il l’avait regardée se fermer derrière son fils quelques semaines plus tôt. Lorsqu’il fut bien certain d’être seul, un sourire cruel étira ses lèvres. Son fils allait payer pour ce qu’il avait osé lui dire. Que Brad le déteste et le méprise laissait Rich indifférent. Mais qu’il ait osé le maudire ainsi, l’insulter, lui qui avait fait tout ce qu’un père peut faire pour son fils...
Oui, dans les confins glacés de l’univers qui venait de se refermer sur son seul et unique enfant, la vengeance de Rich Spitfire serait complète. _______ | |
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