Décembre 2005

UN NOWELLE DANS L'VAISSEAU


Angie :

Souvenir de Noel de ...
Brad Spitfire





Une étrange sensation envahis tout mon corps. Cela ce passa le 24 décembre 2038. J’était assit sur mon siège habituelle et c’est à ce moment là que tout à changer. Sûrement un nouveau rapport de sonde était entrer dans les donner du vaisseau, Gervais l’imprima. Je me suis lever et j’y suis aller. Je pris la lettre et la lis quatre ou trois fois. Mots par mots. Mes yeux s’agrandit comme cela ne se pouvait pas. Je relu une fois encore la lettre pour en être sur. Mes yeux n’avaient pas de défaut. Ce rapport était bien réel, devant moi. Je resta figer sans dire aucun mot. La bouche grande ouverte et les yeux qui regardait la lettre avec un regard de surprise. Soudain les portes de la salle de commandement s’ouvrit. Une personne entra et se dirigea vers le réfrigérateur. Cette personne était une femme. Elle tourna les talons et me vit. Elle s’avança vers moi et commença à me parler mais je ne parlait pas. Comme si j’était mort sur le coup. La jeune femme, prit de panique, accourue vers l’intercome central et avertis tout l’équipage de la rejoindre. Après quelques secondes, tout l’équipage arriva. La femme leur expliqua la situation et ont pu entendre quelque réplique comme «Il bluff ou y’é mourru?» Ou bien «Vous ne comprenez rien! Son subconscient est plus là!». Le capitaine s’avance vers moi et me dit:
- Hum... Vous allez bien? Es-ce que sa vas bien entre vos deux bescuit?
Je ne répondit pas. Le second officier vint près de moi. Il pris la feuille qui était entre mes mains et la lu a haute voix.
- Notre système nous permet de vous souhaite d’avance un Joyeux noël et un joyeux temps des fête! Car Noël est dans une journée seulement!
Tout se regarda puis me regarda par la suite. Ils se demandaient tous pourquoi, après avoir lu cette lettre j’était dans cette état. Enfin je sortie d’un “coma” qui fut de courte durée. Je les regardait a mon tour puis leur dit sur un ton glacial:
- Quoi?
Le capitaine me répondit et la psychologue s’avança à son tour. Elle s’avança vers moi et me demande ce qui avais provoquer ma réaction en rapport avec cette lettre.
- C’est simple! Les cadeaux sa coûte du cash? Pis du cash j’veux pas vous en donner? Noël est pas la fête la plus joyeuse que j’ai connût dans son genre!, leur expliquai-je sur un ton comme si cela était évidant. C’est a ce moment précis que je me suis évanouie... après avoir subis quelques coups à la nuque et des insultes salées. Enfin je me réveilla un peu perdu. J’ouvrit les yeux et regarda autour de moi. J’était dans le bureau de la psychologue. Encore une fois. Je pense qu’ont s’attache stupidement au habitude... Puis elle vint me rejoindre, avec un calepin et un stylo.
- Qu’est-ce qui vous a déçus dans vos noël précédant?, demanda-t-elle sur un ton complètement adorable et très calme à la fois. Je soupira puis lui raconta un peu mon enfance. Je lui expliqua que mes parents ne m’offrait jamais de cadeau extra seulement des veillerai et que les jeunes me battait à l’entrer de l’école. Elle nota tout ce que je lui racontait. Un moment plus tard, elle me tendis un verre d’eau. Je le bu d’une gorger. Tout ce que je me souvient c’est que par la suite je me suis endormie. Une nouvelle fois. J’ouvrit enfin les yeux. Je regarda l’horloge, j’avais dormit pendant maintenant trois longues heures. Je me leva et regarda autour de moi. Je ne pu sortir aucun mot à part cette seul et unique phrase:
- Où es-ce que je suis tomber?
Je regardait tout le décor qui s’ouvrait à mes yeux. Je m’était retrouver dans un paysage ressemblant à noël. Un sapin était merveilleusement décorer, de jolies lumières était posées entrecroisant les guirlandes rouges et argents. Même un jolie village reposait au pied du sapin. Tout semblais a un noël traditionnel qui avait des les familles au temps des fêtes... à quelque exception près! Sous la branche de gui il y avais Guy Lafleur en habit de hockey... c’est à ce moment que je me suis rendit compte que j’était toujours sur le vaisseau.
- Mais où est tout le monde?, me demandais-je à voix basse. Soudain j’entendit des clochettes retentirent du couloir. Je ne vis rien, car les portes étaient fermer. La seul sensations et émotions qui est venue en moi était l’angoisse et la peur. J’alla me cacher derrière le sapin. La porte s’ouvrit et laissa entrer des personnes. Je ferma les yeux et me pinça une fraction de seconde et cria, car je m’avais pincé trop fort. Soudain je réalisa que je n’étais plus cacher derrière le sapin. Mes yeux regardaient le sol. Je les leva vers le ciel et je vit une chose assez bizarre. Le Père-Noël et la fée des étoiles se tenait devant lui. Suivit de près par quatre de ses lutins. Je découvris quelque chose de louche dans ces personnages. Bien que je croyais plus au Père-Noël quelque chose me tracassait royalement. Le Père-Noël n’était pas aussi gros qu’il l’avait vue lorsqu’il lisait des livres sur la magie de Noël. La fée des étoiles n’était pas, elle non plus, comme dans les contes pour enfant. Elle était rousse et non blonde! Et les lutins... Les lutins! Je resta un moment sur place sans pouvoir bouger...
- Vous... Vous... Vous..., bégayais-je. Je ne pu sortir aucun mot. Seul se mot sortait de ma bouche. Le Père-Noël s’avança vers lui et lui sourit. Il me prit le bras puis m’emmena en face du sapin. Les lutins avaient placer des bûches en rond, devant le sapin, en guise de siège. Je m’assit puis le Père-Noël partie, en compagnie de la fée des étoiles. Je restais là sans bouger en compagnie des lutins.
- Vous êtes pas trop grand pour des lutins?, dis-je enfin. Les lutins me regarda... L’un d’eux, avec les cheveux brun friser, il me regardait à présent d’un regard agacer et furieux!
- C’est un peu agressant comme question! Nous sommes des lutins... de grande... croissance magique!
Je sentait qu’il me mentait mais je ne pu résister et je me mis a rire. Enfin le Père-Noël arriva avec une poche blanche pendante au par dessus son épaule. Elle semblait lourde... La fée des étoile rousse arriva quelque instant après. Le Père-Noël s’assit sur le siège du Capitaine et ouvrit son sac juste devant lui.
- Bon! Qu’avons nous dans ce magistrale sac!, commença-t-il. Il me regarda et sourit. Tien toi! Vient par ici!, me demanda-t-il. Je regardait partout en me demandant a qui il parlait. Le lutin de couleur noir se mis a rire. Le Père-Noël lui demanda d’arrêter sur le champs et il obéis. Il me pointa en me demanda de venir le voir... Je m’approchait du Père-Noël puis ils me dit de venir m’asseoir entre lui et la fée des étoiles. J’exécuta son ordre.
- Commençons par le cadeau de ce jeune homme!, s’exclama un lutin, féminin, aux cheveux boucler roux. Le Père-Noël affirma la sage décision de son lutin. Il sorti quelques cadeaux, pour ne pas dit plus que dix, de son gros sac. Le Père-Noël me tendis un de ses cadeaux. Je le pris délicatement et le regarda un moment. Ce cadeau était pour moi? Es-ce que je rêvais? En voyant cette magnifique ambiance un océan de larme commença a se construire dans mes yeux.
- Aille gang... Vous êtes trop... sympathique avec moi..., en disant cette minuscule phrase les larmes se mirent a couler sur mes joues. Le lutin robot se leva et aller mettre de la musique d’ambiance. Des musique de Noël. Le lutin au cheveux friser se leva et alla chercher la dinde. Ils commencèrent a manger la dinde, tous ensembles dans le calme et l’harmonie. Je continuais d’ouvrir les cadeaux qu’il me donnait. J’était si heureux en cette veille de Noël, c’était mon premier Noël traditionnel! Le Père-Noël donna même des cadeaux à ses lutins et à la fée des étoiles. Les douze coups de minuit sonna enfin. La fée des étoiles pris un paquet emballer soyeusement q’elle avait ranger sous le sapin très loin de tout les regard. Elle le pris puis me le tendis, elle me chuchota quelques mots a l’oreille puis me sourit. Je me leva et alla en face du Père-Noël.
- De la part de nous tous, Capitaine! Hum... je veux dire Père-Noël!, lui dis-je. Et bien quoi le Père-Noël aussi a le droit a des récompense non? Je me retourna pour voir tout le monde présent et je leur dit:
- Merci d’avoir faite sa pour moi gang! C’est vraiment génial de votre part!, leur dis-je sincèrement avec un sourit calme et doux!


Fin!

Fic écrit par Angelica Spitfire
Idée d’Angelica Spitfire
Inspirer de: L’épisode - Mal de terre!

Dino

Qui croit au Père-Noël?

Ils étaient sept. Sept humains isolés dans l’espace. Enfin, plutôt six, étant donné que Serge-2 n’était pas un humain. Mais ces six humains ne croyaient pas plus l’un que l’autre en lui. St-Nicholas était légèrement outré de cette attitude. Mais, il ne pouvait pas faire grand chose. Seulement regarder de plus en plus d’enfants cesser de croire en lui.

Il avait prit un sac qui contenait six enveloppes. C’était des lettres des membres d’équipages du Romano-Fafard. En soupirant, St-Nicholas en prit une. Elle venait de Valence Leclerc. En regardant la lettre qu’il avait sortis de son enveloppe, il pu voir le moment tragique ou la psychologue cessa de croire en lui.

Il voyait un grand centre d’achat. Une fillette et sa maman faisaient la file pour aller voir le Père-Noël. Le petite fille se tourna vers sa maman.
-Maman? Comment y fait le Père-Noël pour être dans tous les centres d’achats du monde en même temps?
-Heu… Ben, je suppose qu’il doit demander à ses frères de le remplacer pendant que lui, il vérifie ses choses au pôle nord pour la nuit ou il va donner ses cadeaux.
-Comment ça se fait qu’il a autant de frères?
-Ben, tsé, la maman du Père-Noël savait qui faudrait que son garçon soit à beaucoup d’endroits en même temps. Elle a donc eut beaucoup de bébés pour ça.
-Comment y font pour être touts pareils?
-Heu… C’est des jumeaux.
-Ça se peut pas. Milène* a eu trois bébés dans son ventre pis ils disaient que c’était beaucoup. Faque une maman peut pas avoir beaucoup, beaucoup de bébés dans son ventre en même temps.
-Heu… Ben, fit la mère, visiblement mal à l’aise.
-Laisse faire, maman. Ça va. J’ai comprit.

St-Nicholas soupira de nouveau. Cette chère Valence. Elle avait le don de poser des drôles de questions et de déduire vite à partir de ça, elle! Il prit une nouvelle lettre. Cette fois, elle venait de Bob Dieudonné-Marcelin. Tout comme pour Valence, St-Nicholas pu voir le moment tragique ou Bob avait cessé de soupçonner son existence.

Un grand salon. Un père et son fils regardaient un match de hockey qui venait de se terminer.
-NON!!! C’est pas juste! Moi je voulais que ce soit les canadiens qui gagnent!
-L’équipe de Baltimore peut pas toujours gagner, Bob, répondit le père.
-Oui, mais moi, j’avais demandé qui gagnent toutes leurs games au Père-Noël cette année! Ils peuvent pas perdre!!!
Bob semblait atterré.
-Non! Ça se peut pas! Ça voudrait dire que le Père-Noël aurait pas réalisé mon vœux, même si j’ai été sage cette année.
-Bob, t’as pas pensé que ça se pourrait que ta lettre se soit juste pas rendue? Tsé, avec la mauvaise qualité de la poste de nos jours…
-Non, j’ai reçu tous mes autres cadeaux. Pis en plus, les lettres du Père-Noël, ça doit passer par un genre d’affaire magique pour se rendre au pôle-Nord. Non, c’est pas la poste.
Bob prit un air grave.
-Papa? Penses-tu que les Canadiens ont perdus parce que le Père-Noël existe pas?
-Heu… Admettons?

St-Nicholas prit un air triste. Ah, ce cher Bob. Sympathique, quoique un peu lent d’esprit. Cette situation était l’exception qui confirmait la règle de la difficulté à comprendre du pilote. Le Père-Noël prit une troisième lettre, qui venait de Brad Spitfire, cette fois. Lui, il devait comprendre les paroles de la chanson « J’ai vu maman embrasser le Père-Noël »!

La lettre montra aux yeux de St-Nicholas le party de Noël fatal. Un petit garçon déboucha dans un salon. Vu la noirceur des lieux, ils étaient sur un étage. Et dans ce salon, un homme déguisé en père-noël (chapeau et barbe en moins) et une femme qui se décapaient les gencives se séparèrent en vitesse en voyant le petit arriver.
-Maman? Papa?
-Ah, heu… Salut, Brad. Hum… heu… Tu vois, ton père doit te parler, fit la mère, mal à l’aise avant de quitter la pièce en vitesse.
-Pourquoi t’es déguisé, papa?
-Ben, heu, fit le père en s’asseyant sur un sofa, c’est que heu… le Père-Noël pouvait pas venir ce soir, donc, il m’a demandé de le remplacer.
-Prend-moi pas pour un cave, dit Brad en s’installant sur les genoux de son père. T’es trop maigre pour remplacer le Père-Noël. Pis t’as les cheveux trop foncés, ça fite pas avec le rouge du south.
-Ouen. Ben, heu… Je pense que t’es assez vieux pour entendre un secret sur le Père-Noël. Si tu promets de pas le dire aux autres enfants, je te le dit.
-Juré, craché!

St-Nicholas regarda le lettre. Trois ans… C’était un peu jeune pour apprendre ce secret. Quatre serait peut-être plus approprié. Mais il était vrai qu’il avait toujours été difficile de cacher quoi que ce soit à un Brad soupçonneux. C’est avec un air triste que le Père-Noël prit une quatrième lettre. Elle venait cette fois de Flavien Bouchard. Pauvre petit. Lui, il avait raison de ne pas croire au Père-Noël et à la magie des fêtes…

Sur la lettre, on pouvait désormais voir un hôpital. Un petit garçon suivait une infirmière dans un couloir désert. L’infirmière se tourna alors vers le garçon, s’agenouilla pour que leurs visages soient à la même hauteur et mit ses mains sur ses épaules.
-Mon grand, j’ai quelque chose de difficile à t’annoncer.
-Quoi? Qu’est-ce qui a? C’est Boston qui a gagné la coupe Stanley cette année?
-Non, pire.
-C’est Toronto?
-Non, Flavien, ça pas rapport avec le hockey. Ta maman adoptive, elle a pas survécu à ses blessures dues à votre accident de voiture. Elle est morte, Flavien. Partie au ciel.
-Quoi? Mais.. Ça se peut pas. Non… Pas le jour de Noël en plus… Pourquoi il a fallu que l’auto pogne un spot de glace aujourd’hui, han? Pourquoi?
-Je sais que c’est difficile, Flavien. Mais c’est des choses qui arrivent. On peut pas les prévoir. Le Père-Noël a pas été généreux avec toi cette année, si on peut dire. Je suis vraiment désolée pour toi.
-Si le Père-Noël existerait vraiment, il m’aurait jamais laissé perdre ma maman que j’ai le plus préféré! Surtout pas un 25 décembre!

Pauvre garçon. Aucun enfant ne méritait ça. C’était désolant. St-Nicholas regrettait de ne pas avoir pu empêcher cet accident. Il n’en avait malheureusement pas le pouvoir. Il prit une nouvelle lettre. Celle-là venait de Pétrolia Parenteau-Stanislavski. Elle, elle n’avait pas eu besoin de deviner grand chose. Seulement d’utiliser ses oreilles.

Au travers de la lettre, on pouvait voir les murs gris d’une station orbitale. Une fillette bouclée parlait avec sa mère. Elles étaient réunies devant un sapin de Noël.
-Maman? Le Père-Noël, là, son traîneau, il bouge grâce à des rennes, han?
-Oui, Pétrolia. Pourquoi?
-Ben, comment y fait pour venir aussi loin dans l’espace?
-Il met des scaphandres à ses rennes.
-Pis comment il fait pour s’éclairer?
-D’après toi, il sert à quoi le p’tit renne au nez rouge?
-Ah, fit Pétrolia. Ben oui, han. Mais comment il fait pour que ses cadeaux partent pas à cause de l’apesanteur?
-Il a un traîneau avec une capote dessus, répondit la mère, assez fière de son talent d’improvisatrice.
-Comment il sais que j’habite dans l’espace?
-Avec les lettres que tu lui envoie, Pétrolia.
-Pis comment ça que toi pis papa vous parliez de cadeau à acheter, hier?
-Hum… Là, j’avoue, j’ai rien à répondre qui pourrait me sauver la mise…

St-Nicholas était impressionné par les réponses que la mère de Pétrolia avait donné. Premièrement, elle avait sorti ça spontanément sans avoir le temps de réfléchir et deuxièmement, ses réponses étaient exactes. Il sorti sa dernière lettre de son sac. Celle de Charles Patenaude. Lui, c’était un peu plus drôle son affaire.

Un garçon blond était assis sur les genoux d’un Père-Noël de centre d’achat.
-Ho! Ho! Ho! Bonjour! Comment vas-tu?
-Bien.
-Dis-moi, petit, comment t’appels-tu?
-Je m’appel Charles.
-Eh, bien, Charles, as-tu été sage cet année?
-Oui!
-Tu es bien certain? N’oublie pas que le Père-Noël sais tout.
-Si vous savez tout, pourquoi vous me posez des questions?
-Hum… Juste pour être certain de ne pas me tromper. Bon, que veux-tu pour Noël?
-Je voudrait le vaisseau en modèle réduit comme dans l’annonce. Pis de toutes manières, vous devriez le savoir. Vous savez tout.
-Oui, mais…
Sans avertissement, Charles tira sur la barbe du Père-Noël pour s’apercevoir que c’était une fausse.
-Je le savais! s’exclama-t-il.

St-Nicholas soupira de nouveau. Il était dommage de voir que ces jeunes avaient crus un mensonge si grand. Comment pouvaient-ils croire qu’il n’existait pas? St-Nicholas prit alors une décision : Il allait leur prouver, même s’ils étaient adultes, que le Père-Noël existait vraiment!

**********
-Tout le monde debout!!!
Brad ouvrit les yeux en sursautant. Il regarda sa montre. Maudit capitaine! C’était quoi l’idée de les réveiller à sept heures du matin un jour de Noël?!?
-On peut pas dormir encore un peu? demanda le scientifique.
-Non. Je reviens de la salle de commandement. Devinez dans quel état je l’ai trouvé.
-Oui, mais, capitaine, pour une fois que Brad à raison, intervint Flavien. C’est Noël! Ça serait un beau cadeau quelques heures de repos.
Les autre membres d’équipage approuvèrent. Le capitaine avait toujours l’air catastrophé.
-Venez voir! Au pire, restez en pyjamas, mais venez voir!

Nos sept héros pénétrèrent dans la salle de commandement quelques minutes plus tard. Quelle ne fut pas leur surprise. Elle était magnifiquement décoré. Même Brad semblait trouver ça beau.
-Vous avez fait un beau travail, capitaine, félicita Bob.
-C’est pas moi qui a fait ça, répondit Charles. Je vous ai emmenés ici pour que vous me disiez qui c’est!
Silence. Personne n’avait fait cela.

Valence remarqua un magnifique sapin. Sous le sapin, il y avait six cadeaux. Un pour chacun des membres d’équipage, sauf Serge-2.
-Venez voir!
C’est avec surprise que chacun développa son cadeau. Et avec prudence, aussi. Après tout, ils ne savaient pas d’ou cela venait.

-Oh!!! firent chacun leur tour les membres d’équipage en voyant leur présent.
Valence venait de trouver le petite poupée en porcelaine qu’elle avait toujours voulu avoir quand elle était adolescente. C’était une édition limitée et elle n’avait pas eu le temps de se la procurer. Bob, lui, venait d’ouvrir une boîte de gâteaux identiques à ceux de sa mère. Il en prit une bouché. Ils étaient aussi bons! Ainsi, chacun trouva un objet qui lui avait tenu à cœur. Flavien vit un authentique stock de goaleur. Pétrolia eut un set d’outils précis et délicats. Charles trouva son fameux modèle réduit et Brad, la petite mercedès miniature dont il avait toujours rêvé.

Avec chaque cadeau, il y avait une note : Crois-tu au Père-Noël, maintenant?



*Nom au hasard

Fin

Spooky

Comment Brad essaya de voler Noël...

Très très loin, quelque part dans l'univers,
Là où on ne connaissait même pas l'hiver,
Se trouvait sur un vaisseau un équipage valeureux,
En mission pour sauver leurs semblables malheureux.

Une belle journée étoilée de décembre
Alors que le cœur de tous se faisait tendre,
Tout le monde se promenaient main dans la main,
Sauf Brad, qui était seul dans son coin.

Chaque année, lorsque arrivait Noël,
Quand tout le monde se réjouit,
Brad regarde au loin dans le ciel,
Et ne peut dormir la nuit.

Son petit cœur noir, à chaque jour,
Dans le creux de sa poitrine fait deux tour,
Lorsqu'il entend partout dans le vaisseau
Les cris de joie de l'équipage du Romano.

Ce matin, lorsqu'il vit en entrant
Toutes les décorations de la salle de commandement
Sa rage atteint un point tel,
Qu'il décida de ruiner Noël.

"Si je ne peux en profiter parce que personne ne m'aime,
Je gâcherai votre plaisir et son stupide thème.
La nuit de Noël, vous serez tous déçu
Car aucun de vous ne recevra ce qui leur est dû!"

<Capitaine>: Pardon Brad, est-ce que vous avez dit quelque chose?

<Brad>: Non non, j'me racontais une joke...

<Capitaine>: Bien sûr... Bon, venez donc nous aider à faire le sapin au lieu de rester planté là!

<Bob>: On peut tu décorer Brad, capitaine?

<Flavien>: Oui, ça lui ferait tellement bien une boucle rouge dans le cou!

<Brad>: Vous êtes malade...


Il entendit les rires au loin,
Ceux de Bob, du capitaine et de Flavien.
Brad ressorti aussitôt de la place,
Et son cœur, en un instant, se rempli de glace.

Plus décidé que jamais il était,
À faire de cette fête un navet.
Et enfin il pourrait profiter
D'une fin d'année en toute tranquillité.

Déjà, il voyait dans sa tête,
L'ampleur des dégâts contre la petite fête.
Car quand sonneront les douze coups de minuit
L'équipage au complet sera bien surpris!

C'est alors que le vilain Brad entreprit
Quand tout le monde dormait la nuit,
D'échanger, sous l'arbre, les cadeaux
Pour des présent plus... rigolos!

<Flavien>: Brad, qu'est-ce que vous faites là?!

<Brad>: Euh... rien du tout! Je ...euh... Je vérifiais que les cadeaux étaient bien emballés? Ouin, pis vous, qu'est-ce que vous faites là?

<Flavien>: J'm'endors pas, j'venais me chercher un verre de lait...

<Brad>: Ah bon... ben c'est une meilleure raison que moi han?

<Flavien>: Ben oui... Allez donc vous recoucher Brad, sont bien emballés, les cadeaux!

Le vilain Brad a bien eu chaud,
Que Flavien découvre sa surprise.
Il retourna alors au repos,
Et demain, il réparera sa bêtise.

À la même heure, le lendemain soir,
Brad se releva, marcha sans bruit dans le corridor,
En prenant, cette fois, bien soin,
De vérifier l'absence de Flavien.

Ainsi, pour la seconde occasion
Brad revint commettre son infraction
De nouveaux cadeaux il avait préparé
Pour chacun de ses amis bien détestés

Sous l'arbre, il vola les cadeaux
Et il en mis de tout nouveaux.
Des roches blanches, rouge et vertes il emballa,
Et au pied du sapin il les déposa.

Sur le téléfax il déposa las vrais présents
Et d'un seul doigt les envoya dans le néant.
Fier de son coup, il quitta la salle de commandement
Retourna au dortoir et s'endormi paisiblement.

Le 24 au soir, quand minuit sonna,
Tout l'équipage, au pied du sapin se retrouva.
Quand vint le temps de tout ouvrir,
Brad, intérieurement, se mit a rire.

Il avait hâte de voir la réaction
Dans la figure de ses compagnons.
Mais à sa grande surprise, évidemment,
C'est lui qui reçu le premier présent.

<Petrolia>: Tenez Brad, c'est de la part de nous tous!

<Brad>: Un cadeau? Pour moi?

<Capitaine>: Mais oui! Pensiez-vous qu'on vous aurait oublié?

<Brad>: Euh... Non, j'avais...euh...

Le cœur de Brad fit trois bonds
De saboter Noël, avait-il eu raison?
Lentement, il ouvrit son cadeau,
Et dans la boite, trouva une cassette vidéo...

<Brad>: C'est quoi ça?

<Flavien>: Ben c'est une cassette... Vous voulez l'écouter peut-être?

<Brad>: Mais oui, pourquoi pas?

Le film commença à jouer,
De se voir à l'écran, Brad fut étonné.
On le voyait, la nuit d'avant,
Sous l'arbre, subtiliser les présents.

Quelqu'un l'a prit en flagrant délit
Alors qu'il croyait tout le monde au lit
Sur vidéo, son crime a été capté
Et tous, sans pitié, du doigt l'ont pointé.

Blanc le visage de Brad devint
Et les autres ouvrirent leurs présents, enfin!
Ils furent tous heureux de trouver,
Dans les paquets, des roches bien colorées.

Car Brad ferait une bonne cible,
Et pour lui lancer les roches, il firent la file,
Quel bonheur ce fut quand Brad parti,
Enfin pourrait commencer le vrai party!

Le capitaine ressorti du radar
Les vrais cadeaux cachés là hier soir
Sous le gui, tous s'embrassèrent,
Sauf Brad, dans son coin, loin de la lumière...

<Valence>: Me semble que ça fini pas bien cette histoire là...

<Capitaine>: Ouais, il manque quelque chose...

<Flavien>: On pourrait dire que Brad est devenu gentil?

<Bob>: C'est un peu gros comme mensonge, personne va nous croire...

<Flavien>: Bon, ben c'est Noël, on peut ben lui pardonner? D'habitude, on a pas le choix de lui pardonner pis c'est même pas Noël...

<Capitaine>: J'imagine que c'est la bonne chose à faire...

Tous marchèrent vers Brad d'un pas décidé
Malgré son geste, ils allaient le pardonner
Brad, un peu méfiant, pris quand même leur main,
Et c'est à ce moment qu'il devint moins vilain.

Ce jour là, le cœur de Brad devint trois fois plus grand
Il aime bien cette fête rempli de joie, maintenant.
C'est ainsi que se termine l'histoire très belle,
De Brad qui voulait gâcher Noël.

<Capitaine>: De la pa...

<Bob>: Euh, j'voulais vous dire...On a pardonné à Brad juste pour que l'histoire finisse bien, c'est pas parce qu'on l'aime!

<Capitaine>: De la part...

<Flavien>: J'pense qu'ils avaient compris Bob...

<Capitaine>: Heille, j'essaye de dire quelque chose ici!

<Flavien et Bob>: Excusez...

<Capitaine>: Merci... De la part de l'équipage du Romano Fafard, Joyeux Noël!

<Tous>: Joyeux Noël!

Glaciale

L'art d'un beau Noël

24 Décembre 2040

C’était un soir d’hiver. Valence finissait de rédiger une lettre lorsque le capitaine convoqua l’équipage dans la salle de briefing pour une dernière réunion avant un congé bien mérité. Elle laissa sa lettre sur son bureau, se leva et se dirigea vers le lieu de rencontre.

Dans la salle de briefing , Flavien et Pétrolia étaient déjà assis et ils discutaient de leur petite fin de semaine de ski qu’ils avaient prévu pour la fin de semaine suivante. Brad quant à lui, essayait de faire une jambette à Bob qui rentrait dans la pièce ,les bras chargé de nourriture (Au cas ou il aurait faim, avait-il spécifié).Lorsque le pilote tomba , un pot de peanuts au BBQ se renversa sur le sol . Le nez contre le sol ,Bob ramassa chaque noix avec sa langue ,sous le regard dégoûté de Brad.
Il était tard, presque 10 heure , lorsque Charles Patenaude entra enfin dans la pièce , Il s’excusa devant l’impatience de son équipage ,prétextant un problème de digestion(c’était Valence qui avait préparé le souper aujourd’hui).

Le capitaine fit son discours habituel. Il parla des tâches à faire durant les vacances (car il y a toujours des trucs à réparer quand votre vaisseau est un Spitfire Corporation ), de la future galaxie à visiter et d’autres petites choses sans importance.

Soudain, une panne de courant louche se produisit et le vaisseau fut plongé dans la noirceur totale avant que les lumières de secours ne s’allume. Cependant ,aucune alerte pour dire où se situait la panne.

Tandis que Bob dégustait son fromage fondu , Brad prit de panique se dirigea en courant pour sortir de cette pièce . Le pauvre était claustrophobe et il avait l’impression que les murs du vaisseau se refermait sur lui comme la main de Bob faisait de même avec une poignée de chips. Quelle ne fut pas la surprise de l’équipage lorsqu’au lieu de sortir , Brad se frappa violemment sur la porte qui ne c’était pas ouverte à son passage. Il s’écroula sur le sol , recouvert d’une couche de bave collante (à saveur épicé) que le gros avait laissé là plus tôt.

-Seigneûr! S’exclama le capitaine. On est enfermé à l’intérieur.

Il essaya avec sa montre, avec les technique que Pétrolia avait autrefois appliquées* ( au cas ou y’aurait eu un bug) ,mais rien ne fit. La porte resta hermétiquement fermée sous le regard effrayé de l’équipage.

-On a juste à appeler Serge! Yé encore sur le chargeur …maudite batteries poches aussi…! Commença Pétrolia.
-Ça sert à rien ,lui répondit Charles ,c’t’une panne donc pas de rallonge électrique jusqu’ici.
-Ben la qu’est-ce qu’on fait? Demanda Valence tandis que Brad reprenait conscience.
-On le passe par la bouche d’aération! Dit Brad en pointant Bob qui allait s’ouvrir un sac de chips.

Tout l’équipage semblèrent approuvé car après tout, Bob était peut-être le plus gros,mais c’était le seul qui pouvait perdre du poid en ne faisant qu’une tite jeûne de 20 minutes.

Les 20 minutes s’écoulèrent dans le silence le plus complet. Flavien retenait Bob qui transpirait abondamment à la vue de son sac de chips ,resté sur le comptoir.

Ensuite , Charles monta sur une chaise pour retirer le grillage devant le tuyau puis , il aida Bob à monter . Le pilote passa sans problème jusqu’à ce que son postérieur reste pris dans l’entrée la bouche d’aération!

-Capitaine? J’ai comme un p’tit problème…
-Quoi?
-J’suis priiiiiiiiis!!!!!! Hurla Bob en frappant avec ses pieds contre le mur.

Le capitaine se mit à sacrer ,pendant que Brad forçait la porte avec un bâton de pogo . Pétrolia et Flavien commencèrent même à s’engueuler.

-Une fin de semaine de ski!
-Non! On s’loue un chalet pi on reste en amoureux! Flavien!
-Non c’est plate pi y’on même pas le câble les chalets que tu me parle! Comment j’vas écouter mon hockey?
-J’pensais plus à …toi, moi pi une peau d’ourse devant un foyer en pierres des champs… Mais bon si monsieur veux écouter son hockey…bin qu’il le fasse tout seul!

Pétrolia se leva enragé et elle se dirigea vers la porte avant de s’arrêter net.

-AH!!! Pi J’peux même pas sortir! ******!
-Pétrolia! S’exclama Valence ,c’est quoi ce langage là!?
-Vous savez très bien Valence que Pétrolia n’a pas de langage ,répondit Brad .
-Pi vous Brad vous êtes pas très intelligent pour essayer d’ouvrir une porte avec un bâton de pogo, rétorqua la patenteuse au scientifique.
-Le plus important pour le moment c’est de sortir Bob du trou avant qu’il suffoque!

Sur ces sages paroles du capitaine , Flavien et Brad prirent la jambe gauche et Valence et Pétrolia celle de droite. Il commencèrent à tirer doucement.

L’opérateur radar et Pétrolia se foudroyaient du regard.

-J’en connais un qui va s’ennuyer en fin de semaine…
-Tu parles de moi toi là?
-Si on veut…

Sans s’en rendre compte, Flavien et Pétrolia tiraient de plus en plus fort et bientôt on entendit Bob gémir sous la douleur.

-Arrêtez! S’exclama Valence , vous lui faite mal.
-Continuez à tirer! Dit Brad pendant que lui aussi tiraient sur les jambes du pilote avec plus de vigueur.

Soudain , un bruit de succion se fit entendre et Bob fut éjecté du tuyau avec la force d’un moteur T¦tañus . Tout le monde se retrouva sur le derrière ,écrasé sous le poids insurmontable de Bob. L’équipage éclata de rire alors que Pétrolia et Flavien s’excusèrent d’avoir été bête l’un envers l’autre et Brad n’insulta même pas le pilote qui lui écrasait le bras.

- Hey gang...Yé minuit!

Quelques instants plus tard, l’électricité revint , et la porte s’ouvrit mystérieusement par elle même. De l’autre côté , un verre vide et une assiette pleine de miette de biscuits étaient sur le sol . tout près, une lettre de Valence s’adressant au Père-Noël demandait à ce dernier , que la paix reviennent sur le vaisseau (même si au fond elle n’y avait jamais réellement été) .

…Et ils passèrent le plus beau des Noël.

* Voir l'épisode ... Croûte que croûte

LES GAGNANTS

#1 ----> DINO!
#2 ----> GLACIALE!
#3 ----> ANGELICA!