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 Février 2005

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glaciale
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MessageSujet: Février 2005   Février 2005 EmptyMar 5 Avr à 19:37

Note:
Alors voilà vous devrez ,pour ce deuxième défi , composé un one-shot qui se déroulera entièrement autour de Serge! Pauvre Serge presque toujours ignoré dans la plupart des fics ... alors mettez le en valeur!!
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MessageSujet: Re: Février 2005   Février 2005 EmptyMar 5 Avr à 19:37

Terminator, la revanche de Serge l’androïde. (lol c pas la même chose..tk), PAR OLI

Je me leva ce matin, non pas avec le réveil, mais avec la voix autoritaire du Capitaine. Nullement le goût de me lever, j’obéis quand même puisque je ne suis qu’un simple robot. C’était la journée où mon changement d’huile devait se faire...

-------------------------------------------------------------------------------------

Serge arriva. Il s’installa sur la table et il ouvrit lui-même son bouchon. Je lui fit un changement, sans trop de problèmes… Sauf que Serge pêta sa coche. À vrai dire il se leva et prit le flacon rempli d’huile et me le lança dessus.

Pétrolia : Arrête, Serge! T'es pu drôle, donne moi c'flacon!

Serge : Destruction, destruction.

Ce mot me fit frissonner. Pourquoi Serge voulait-il me détruire? J'appela Flavien en hurlant.

Pétrolia : Flavien, mon nounours. Viens ici, Serge veut me détruire.

Flavien(voix off) : J’arrive.

Flavien arriva, arme à la main et tira un coup sur Serge. Serge s’effondra..

Flavien : Viens, Pétrolia, on va aller voir le Capitaine..

-------------------------------------------------------------------------------------

À la salle de commandement, Valence y était, mais pas le Capitaine. Je lui demanda :

Flavien : Le Capitaine, il est où??

Valence : Il est malade… Il a perdu connaissance ce matin en donnant des ordres à moi, Bob et Brad. Il était tout pâle. Pourquoi le cherches-tu?

Flavien : Serge a voulu tuer Pétrolia.

Valence : Serge? Il est sensé nous protéger, non? Mettez-le dans le cachot, en attendant que le Capitaine soit en état de prendre une décision.

Je partis avec Pétrolia, voir Serge. En arrivant, j'ai pu constater que Serge n’y était plus! Je me dirigea vers le laboratoire, là je pourrais retrouver Brad. Il pourrait peut-être m’aider...

-----------------------------------------------------------------------------------

Brad : Non… c'est votre problème.

Flavien : Mais il veut tous nous tuer! Il est comme Terminator!

Pétrolia : Ben oui, vous savez, le film! J’ai créé un monstre…

Brad : Si je meurre à cause de vous, je vais vous actionner parce que votre Serge va m’avoir tué! Moi si je serais le capitaine, je le pitcherais dans l’espace aussi vite que possible.

Flavien : Le capitaine feel pas..

Serge entra, pas de bon humeur.

Brad : Pitttiéé! M’a faire tout ce que vous voudrez!

Serge : Asta la vista Baby!

Serge paralysa Brad et l’ammena, par les cheveux, dans le cachot et l’attacha. Il se retourna ensuite vers moi et Flavien. Bob passait par là.

Bob : De quessé? Vous vous pratiquez pour une pièce de théatre, je veux faire un arbre!

Pétrolia : Serge veut nous tuer..

Bob : Quelle belle mise en scène! Félicitations, en route vers l’Oscar!

Flavien : Bob c'pas une joke, il faut nous croire..

Serge m’attacha, et Flavien aussi. Puis il sortit.

Bob : Attaboy!

Serge se retourna et lui tira dessus. Ensuite il l’attacha avec Brad

Brad : (venant de se réveiller) Pitié… faites pas ça! Je l’aime pas! Il va me donner le syndrôme de l’enfant malformé!

Serge ferma la porte du cachot et la barra hermétiquement.

Pétrolia : On est fait…

----------------------------------------------------------------------------------------

Je me dirigea vers la salle de commandement, en entrant je vis Valence. En me voyant entrer, elle recula, appeurée.

Serge : Valence, aide-moi.

Valence : Qu’est ce que tu me veux? Va-t-en et ne fait de mal à personne. On est tes amis Serge.

Je tomba à genou, prit mon arme. On aurait dit que ma volonté n’était pas là. Je ne voulais pas lui faire de mal, les autres non plus. Je lui tira dessus, elle s’effondra. Je la prit et l’ammena, sans le vouloir, avec les autres, dans le cachot

----------------------------------------------------------------------------------------

Pétrolia : Valence, t'es correct?

Elle ne répondait plus. Serge n’ayant plus de charge paralysante, avait tiré sur elle avec une charge endormante. Il l’attacha sur l’autre bord du mur. Serge sortit. 3 minutes plus tard, elle se réveilla.

Valence : J'suis où moi là?

Pétrolia : Dans le cachot. Serge nous a enfermé là. Son but, je crois, serait de tuer tous les membres d’équipage, mais de les faire souffir avant.

Valence : Charles pourra pas se défendre, il est au lit à moitié pas là.

Bob : C’est la fin.

Brad : Arrêtez donc de pleurnicher! J'suis sûr que Serge va finir par se tanner…

Pétrolia : (allumant) C'est de ma faute!

Flavien : Ben non Pétrolia…

Pétrolia : Oui, au lieu de mettre de l’huile, j’ai mis la substance toxique qui était dans l’autre… bocal…. C’est pour ça que Serge me pitchait de l’huile! Mais, elle s’évapore, cette substance. Après au moins… 2 heures.

Brad : Il va avoir eu le temps de nous tuer, 2 heures!

Je me mis à pleurer. Flavien, puisque j’étais attachée avec lui, me prit la main en signe de réconfort. À cause de moi, la mission était terminée…

-------------------------------------------------------------------------------

Je me dirigea vers le radar interne de la salle de commandement avec des difficultés. Mon amour n’était plus à la salle des commandes comme elle me l’avais promis. Je regarda sur le radar, j’apperçus qu’ils étaient tous dans le cachot, sauf Serge… Que faisaient-ils tous dans le cachot? Je décida d'aller rejoindre Valence à cause que mon état s’était empiré. J’étais aussi blanc qu’une pinte de lait et ma vision était embrouillée, même avec mes verres de contacts. Je m’accrochais pour ne pas tomber à tout ce que je voyais. J’avais la tête qui tournait. Arrivé au cachot, 35 minutes plus tard, j'essaya d’ouvrir la porte. On aurait pu dire que mes forces m’avaient laissé, j’étais rendu comme un échalotte. Je regarda à travers la fenêtre.

Valence : Charles! Té là!

Charles (faiblement) : Qu’est ce que vous faites là au juste?

Pétrolia : Serge veut tous nous tuer, il vous cherche, Capitaine. Attention!

Je vis, sur les murs, une lueur rouge. Je me retourna et vit Serge. Il me prit par la gorge. N’ayant plus de force, je me laissais abattre. Valence en arrière, se mit à pleurer, ne sachant trop quoi faire…

------------------------------------------------------------------------------------

Apeuré, je regardais la scène. Pour une fois dans ma vie, j’avais un peu de pitié pour Valence, le capitaine et tous les autres. On allait tous mourir dans d’affreuses douleurs…

Brad : Non! Faut pas qu’on meure! (à Serge) Ya du monde qui nous attendent sur Terre! Lâchez le Capitaine!

Tous me regardèrent, surpris. Également Serge qui lâcha le Capitaine. Charles s’effondra. Valence pleurait 3 fois plus fort qu’au début. Serge entra avec le capitaine et l’attacha aux côtés de Valence.

---------------------------------------------------------------

Je m’assura que Charles était encore vivant. Heureusement oui! Sa respiration était par contre très faible, il était pâle et on pouvait apercevoir des marques rouges autour de son cou. Je fis signe aux membres d’équipages qu’il était vivant. L’équipage, soulagé, regardait Serge qui barrait la porte derrière lui. Il se retourna vers nous.

------------------------------------------------------------------------------------------

Serge : Qui veux mourir en premier??

Je me retourna vers l'équipage.

Serge : D’habitude, on élimine le Capitaine en premier, je vais donc attendre qu’il se réveille. Je veux qu’il meure avec la conscience et sous les yeux de son équipage.

(Voix off) T'es rien qu’un sadique!

Je regarda l’équipage, perplexe.

Serge : (frustré) Qui a dit ça???

Valence : Moi.

Serge : Valence, tu veux mourir en premier.

Valence : Tu n’es plus toi même, Serge. Tu est sensé nous protéger, pas nous faire du mal.

Je m’effondra. Valence avait trouvé mon point faible. Ses paroles venaient toucher mon cœur de robot en acier.

Valence : Brad avait raison tantôt. Ya des humains qui nous attendent. 4 milliards Serge! Je suis sûre que toi aussi, autant que tout le monde, que tu as hâte de la trouver la planète. Maintenant, tu nous as fait tous très mal. Pétrolia, ta meilleure amie, s’est trompée et as mis une substance en toi qui t’as rendu aggressif. Ensuite tu nous as tous attaqués. Tu t’en aies pris à des gens plus faibles que toi, Serge. Le capitaine n’était pas dans un état convenable et toi tu l’as achevé. Serge, redevient toi-même.

Je me sentis profondément touché, dans ma demie conscience. J'ouvris le bouchon, qui contenait d’habitude l’huile. Je versa le contenu qui s’évapora au contact de l’air. J’étais redevenu le bon vieux Serge que j’étais avant.

Fin.
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MessageSujet: Re: Février 2005   Février 2005 EmptyMar 5 Avr à 19:38

Entre humains et objets, PAR KRISTALINE

Voilà 2 jours que Serge 8 était dans le coma. En robotique, on dit qu'il est hors-fonction. Mais qu'est-ce qui lui est arrivé ?

-----------------------------------------------------------------------

2 jours plus tôt, dans la salle de commandement...

Capitaine (à Brad) : Alors ?

Brad (lisant un rapport) : Les champs magnétiques du champ d'astéroïdes qu'on vient de traverser ont dérèglé la plupart de nos instruments.

Capitaine : Et Pétrolia est en régénérescence...

Brad : Tant mieux.

Capitaine (n'ayant pas entendu Brad) : Il faudrait réparer tout ça avant d'arriver sur la planète Maurice... Serge 8 ?

Serge 8 : Oui capitaine ?

-----------------------------------------------------------------------

Quelques heures plus tard, toujours dans la salle de commandement...

Voix : [Alerte guimauves en feu ! Alerte guimauves en feu !]

Bob : Hum... des guimauves en feu... Euh, ça veut dire quoi, ça ?

Évidemment, personne n'en connait la signification. Flavien consulte un livre pour la connaître.

Flavien (lisant) : "Un scientifique a la diarhée."

Brad : QUOI ?

Flavien : Ah non ! Ça, c'est l'alerte gui mauve et jaune. (Rire nerveuse, puis retourne à son livre) AH NON !

Capitaine, Bob et Brad : Quoi ?

Flavien : Serge a été électrocuté !

Brad (soulagé) : Ah ! Juste ça ?

-----------------------------------------------------------------------

En peu de temps, après avoir frappé Brad, bien sûr, Flavien et Bob transportèrent Serge 8 au centre de santé. L'androïde n'a toujours pas repris conscience.

C'était à ce moment qu'arriva Pétrolia, qui, dès sa sortie en régénérescence, a été avertie par le capitaine. Mais comme elle n'était pas réveillée complètement, elle fonça dans le dos de Bob.

Bob (se retournant) : Eille ! Salut Pet !

Pétrolia : Salut... (Baîlle) Bob !

Flavien : Pétrolia, ça va ?

Pétrolia : J'suis juste un... (Baîlle) peu fatiguée. (Se tournant vers Serge 8, qui est étendu sur la table) Examinons-le.

Elle prit un stéthoscope et le posa sur Serge 8.

Flavien : Euh... c'est parce que tu dois le mettre sur toi.

Pétrolia : Ah oui... (Baîlle) Désolée !

Cette fois-ci, elle s'en servit. Puis, elle paniqua, ce qui la réveilla un peu plus.

Pétrolia : J'entends pas son pouls !

Bob : Hein ? Serge a un pouls ?

Pétrolia constata qu'elle examinait Serge 8.

Pétrolia : Serge ? Mais... j'croyais que c'était le capitaine.

Flavien : Non, j'crois qu'il devait te réveiller.

Pétrolia : C'était pas Brad ?

Capitaine (furieux) : PÉTROLIA !

Le capitaine venait d'arriver, saignant du nez.

-----------------------------------------------------------------------

Heureusement, le capitaine a pardonné Pétrolia pour cette gaffe. Quant à Serge 8, Pétrolia a découvert qu'il était hors-fonction. Il pouvait soit se réveiller, soit mourrir... Le capitaine fait alors appel à Valence, qui saura dire les bons mots à ce moment-là.

Voilà 2 jours que Serge 8 est dans... Ah oui ! Je l'ai dit, cette phrase-là. Euh... Serge 8 ne s'est toujours pas réveillé. Entre temps, tous les membres de l'équipage ont rendu visite au robot, y comprit Brad (mais lui, c'était plus parce qu'il voulait éviter Flavien et Bob, mais bon).

Puis, alors que Pétrolia rendit visite à son ami pour la 382ème fois...

Pétrolia : R'garde ! J't'ai apporté des fleurs...

Elle regarda autour d'elle afin de voir où elle pourrait mettre ces fleurs... Quelqu'un lui offrit un verre d'eau et elle déposa ses fleurs dedans.

Pétrolia : Attend une minute ! J'suis toute seule, moi...

Elle constata que c'était nul autre que Serge 8 ! Folle de joie, elle sauta à son cou.

Serge 8 (vexé) : Eille, est pas amoureuse de moi !

Pétrolia (se dégageant de l'étreinte) : Quoi ?

Serge 8 : Excuse-moi, j'ai cru entendre des moqueries... (S'adressant au vide) Tu me parles ?... À moi ?...... (Encore plus vexé) Répète ça un peu pour voir !

Puis, il se leva, prit les fleurs et massacra le scanner à coups de fleurs !

Serge 8 (arrêtant) : T'as l'air fin, hein ? Hein ?

Croyant qu'il est devenu fou, Pétrolia se sauva du centre de santé.

-----------------------------------------------------------------------

Elle retrouva tout le monde à la salle de commandement et leur raconta tout à propos du réveil de Serge 8. Ensuite, tout le monde attendit les explications de Valence.

Valence : Ben... c'est possible qu'il a eu un traumatisme suite au choc électrique. Mais le mieux, c'est d'aller lui parler avant qu'il ait une crise de délire.

Capitaine : Tout le monde au centre de... (Voyant Brad grimper par l'échelle menant au poste de défense) Brad, qu'est-ce que vous faites ?

Brad (s'arrêtant) : Euh... vérifier le canon ?

Capitaine : Descendez immédiatement !

Brad : Pitié ! Je me suis foulé la p'tite orteille !

Malgré cette excuse, le capitaine réussit à amener Brad de force avec eux...

-----------------------------------------------------------------------

Au centre de santé, l'équipage retrouve Serge 8 assis sur la table.

Serge 8 : Mes amis... et Brad, je suis heureux de vous revoir.

Capitaine : Nous aussi.

Flavien : Euh... Qu'est-ce que tu fais avec ça ?

En effet, autour de Serge 8, il y avait un ordinateur, des disques (trois), le scanner (brisé) et un scanner portatif.

Serge 8 : Ah, ce sont mes nouveaux amis. (Montrant le scanner) Lui, c'est George. Depuis la raclée que je lui ai donné, on s'entend bien. (Montrant l'ordinateur) Lui, c'est Benoît. (Montrant les disques) Eux, ce sont Fred, Frédéric et Françine, des triplés. (Montrant le scanner portatif) Et elle, c'est Monique.

Valence (au capitaine) : Pas de doutes. Yé dev'nu fou.

Brad (ayant entendu) : Alors, on sait quoi faire... (Sortant un fusil) J'ai pas pris de risques !

Serge 8 : Brad, lâchez ce fusil !

Brad : Pourquoi j'devrais obéir à vous ?

Serge 8 : Jack me dit que vos doigts l'étouffe !

Brad : Jack ? (Regardant son fusil) Voyons, vous halluci...

Capitaine : Non Brad ! (Frappe Brad à la nuque, puis, à Serge Cool Pouvez-vous enfin m'expliquer tout ça ?

Serge 8 : Depuis que j'ai eu ce choc, j'entend les voix de ce que vous nommez objets. Parce qu'ils savent que je suis doté du même langage que le vôtre, ils m'ont nommé président du SOV.

Pétrolia : Du quoi ?

Serge 8 : Du SOV : syndicat des objets du vaisseau. Et, en tant que président, je voudrais imposer les demandes de mes collègues : réduction de travail à 35 heures par semaine, meilleures conditions de travail, ainsi que certaines demandes spéciales. Bob, à partir de maintenant, tu ne t'assoie plus sur Yolande, la chaise de la cuisine.

Bob : De kessé ?

Serge 8 : Elle devient fragile. Si ça continue, une de ses jambes va se casser. Flavien, Gabriel, le radar, veut que tu le nettoies après la fin de chaque journée. Pétrolia, en tant qu'inventrice, tu devras t'occuper plus de tes inventions.

Pétrolia : D'accord, mais qu'est-ce que j'dois faire ?

Serge 8 : Leur conter une histoire.

Pétrolia : Hein ?

Serge 8 : Capitaine, Valence, Rita ne veut plus que vous vous assoyez sur elle.

Valence : Rita ?

Serge 8 : La sécheuse.

Valence (vexée) : Wô minute, on s'assoyait pas sur elle. On était accotés.

Serge 8 : Et Brad... Bon, il ne s'est pas réveillé, mais je continue. Faites en sorte qu'aucun objet soit touché par lui.

Capitaine : Quoi ? Aucun ?

Serge 8 : Aucun. Même eux le détestent.

Capitaine : On peut pas faire ça.

Bob : Ouais, on peut pas. Je l'aime bien Yolande, je suis tellement confortable avec elle.

Pétrolia : Pis j'ai l'air de quoi, moi, à lire des histoires à mes inventions ?

Capitaine : Calmez-vous ! On trouvera une solution...

-----------------------------------------------------------------------

En effet, le lendemain, après de longues négociations, humains et objets ont trouvé un point d'entente et ont signé la convention collective pour 2 ans. Depuis, les objets ont de meilleurs conditions de vie et "pètent" moins souvent qu'avant. C'est ainsi que la vie reprend son cours dans le Romano Fafard, même si Serge 8 est devenu président de syndicat...
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MessageSujet: Re: Février 2005   Février 2005 EmptyMar 5 Avr à 19:39

Entre la réalité et la follie des émotions , PAR ANGELICA


Pétrolia [en larmes] : Non Serge.. chu désolée mais part pas..
Valence : Je suis désolée Pétrolia..
Brad : C’était une canisse.. mais une gentille canisse.. y va me manquer..
Serge : Mais je part po..
Flavien : Il avait une recharge en réserve en son dedans!

Serge était revenu parmi l’équipage.. Tout le monde fit une fête en l'honneur de son retour miraculeux

--------------------------24 heures plus tôt ---------------------------

Pétrolia et Serge étaient dans le centre de santé. Pétrolia était en train de «pententer une bidouille». Serge, lui, était debout devant elle.

Serge : Pétrolia peux tu me réparer ma tinque à émotion, s'il te plaît ?
Pétrolia : Pas le temps présentement
Serge : Pétrolia.. Qu’est-ce que tu fais?
Pétrolia : Un journal électronique de bord pour le capitaine.
Serge : J’ai besoin d’un autre chargeur, aussi.
Pétrolia : Tu as a déjà un!
Serge : Y’a explosé la semaine passée!
Pétrolia : Ah oui c’est vrai.. j’vais faire ça tantôt..
Serge : Pétrolia aussi..

Flavien entra dans le centre de santé.

Flavien : Salut Pet! Aille Pet t'as-tu réparé Serge?
Pétrolia : Salut.. Non tantôt.. sûrement.
Flavien : C’est que nous avons besoin de Serge! Et on aimerais l’avoir fonctionnel.
Pétrolia : Yé fonctionnel!
Serge : Non il faut me faire faire un «check up» avant que je parte..
Pétrolia : Moi je dis que tout est okay!

Flavien et Serge partirent dans la salle de commandement retrouver le Capitaine, Valence, Bob et Brad.

Brad : Pis y’é tu opérationnel?
Serge : Non!
Charles : Ben là..
Valence : Pas grave allons y comme ça..
Bob : C’est quoi qu’on fait au juste ?
Brad : Une simulation simulée, pauvre idiot
Charles : Ça suffit! Brad.. vous jouerez le méchant
Flavien : Y’aura pas de difficulté!
Brad : Aille!
Charles : Valence.. tu seras.. la demoiselle qui faut sauver..
Valence : Ok! Cool!
Charles : Zerge.. Verge.. Serge! Vous serez le héros de l’histoire
Serge : C’est ok capitaine..
Flavien : Et nous?
Charles : Flavien, Bob et moi nous empêcherons.. Ver.. Serge de secourir Valence!
Bob : Ah heu.. ok.. Pis Pétrolia?
Flavien : Laisse la faire est trop occupée!

Le spectacle commence. La simulation commença. Brad prit Valence et l’amena jusqu’au radar. Ils arrivèrent près de 3 hommes l’attendaient; Flavien, Bob et le Capitaine.

Brad : Que personne n’approche.. Je ne veux pas être dérangé durant le sacrifice!
Flavien : Oui.. maître..
Bob : Hirk..
Brad : Silence!

Valence et Brad s’assirent sur le télefaxe pour dire qu’ils n’étaient plus en scène. Et c’est là que Serge fit son apparition.
Charles : Que voulez-vous?
Serge : Je suis venu sauver la dame qui s’est faite kidnappée pas le méchant nommé Brad!
Flavien : Vous ne pouvez pas passer.. à moins que vous nous tuez!

Serge se programma avec sa tinque à émotion.. mais elle n’était plus très bien.. opérationnelle.. Une bataille simulée commença entre Serge, Flavien, Bob et le capitaine.. La bataille n’était pas si simulée que ça.. les coups étaient vrai..

Valence : Serge!!

Charles, Bob et Flavien étaient évacués à terre inconscients.. Serge leur avait donnés une vraie raclée..

Valence : Brad faites quelque chose!
Brad : Ben là.. Non vous faites de quoi!
Valence : Rholala!

Valence s’avança et Serge mais celui ci la mit K.O. en deux temps trois mouvements.. Serge s’avança vers Brad

Brad : Non pitié.. J’veut pas mourir pitié!

Mais à la place de le frapper.. Serge lui.. fit un câlin..

Serge : Pourquoi je vous tuerais! Vous êtes gentil vous!
Brad : Quoi?
Serge : C’est pas vous le fautif mais les autres!
Brad : C’est gentil.. mais heu.. Je suis quoi à vos yeux Serge?
Serge : Un dieu de la gentillesse!

Pétrolia entra dans la salle de commandement

Pétrolia : Pourquoi tout le monde est à terre?
Brad : Et chu content de voir quelqu’un!
Pétrolia : Quoi?
Brad : Votre canisse, Serge, me voit comme un espèce de dieu de la gentillesse..
Pétrolia : Hein?
Brad : Avec votre incompétence.. il voit tout croche.. pour lui le bien est le mal et le mal est le bien!
Pétrolia : Merde!

Serge s’approcha de Pétrolia. Il la prit par le collet et le leva du sol..

Pétrolia : Serge! Mon Serge.. je t’ai construit.. tu me reconnaît?
Serge : Non! Vous êtes juste une simple nuisance à la mission!
Pétrolia : J’osais jamais dire ça dans ma vie mais.. Brad faites quelque chose s'il vous plaît !!
Brad : Heu.. j’ai quoi en retour?
Pétrolia : Je dirais que c’est vous qui a sauvé toute l’équipage..

Serge s’apprêtait à frapper Pétrolia

Brad : Serge regardez moi et lâchez la!

Serge lâcha Pétrolia et se retourna vers Brad

Brad : Désolé à l’avance..

Brad électrocuta Serge.. celui-ci tomba hors-circuit..

Pétrolia : Serge..

Quinze minutes passèrent et tous les membres de l’équipage se réveillent

Charles : Qu’est-ce qui s’est passé?
Flavien : Serge!
Brad : Serge vous avait mis K.O.. et moi je l’ai mis K.O.
Bob : Vous l’avez tué?
Pétrolia : Oui mais.. il nous a tous sauvé!
Valence : Comment pouvons nous sauver Serge?
Pétrolia : Avec un miracle.. parce que y’a plus de chargeur..

Pétrolia commença à pleurer..

Pétrolia [en larmes] : Non Serge.. chu désolée mais part pas..
Valence : Je suis désolée Pétrolia..
Brad : C’était une canisse.. mais une gentille canisse.. y va me manquer..
Serge : Mais je part pas..
Flavien : Il avait une recharge en réserve en son dedans!

Serge était revenu parmi l’équipage.. Tout le monde fit une fête en l'honneur de son retour miraculeux


FIN
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MessageSujet: Re: Février 2005   Février 2005 EmptyMar 5 Avr à 19:40

Prisonniers de Hewlett , PAR SEB132


"Cela fait des heures que je suis dans cette prison attendant que peut-être quelqu’un viendrait me chercher” disait Serge aux autres prisonniers.

< Prisonnier > Comment es-tu arrivé ici?

Serge: Je vais commencer par le commencement...

Tout commença hier matin lorsque...

--------------------------------------

Brad: Serge!!! Serge!!! SERGE!!!
Serge:(se réveillant) Quoi?
Brad: Le capitaine a besoin de vous!
Serge: D’accord il est où?
Brad: Dans la salle de commandement.

Je me dirigea donc vers la salle de commandement où le capitaine m’attendait.

Capitaine: Bonjour Serge!
Serge: Bonjour! Brad m'a dit que vous vouliez me parler capitaine ?
Capitaine: Oui! C’est vrai! J’aimerais savoir si vous aviez vérifié tout l’équipement pour l’exploration de demain sur la planète Hewlett?
Serge: Oui j’ai tout fais ça hier Capitaine!
Capitaine: Bien.

J’allais pour partir mais le capitaine me retenu...

Capitaine: Serge j’aimerais vous remercier pour tout ce que vous faites.
Serge: D’accord capitaine... Merci à vous!

Ça me faisait du bien d’attendre quelqu’un me dire merci pour une des rares fois! Je partis de la pièce laissant le capitaine seul et je marcha à la salle des machines où se trouvait Pétrolia. Arrivé à destination je la vis embrasser Flavien. Ce qui me surprena parce que mon radar interne ne l’avait pas détecté. C’était sûrement un petit problème que Pétrolia pourra arranger me suis-je dit. J’entra donc interrompant leur séance de décapage d’amygdale.

Pétrolia: Ah! Bonjour Serge... Qu’est-ce que tu veux?
Serge: Je venais te voir pour mon changement d’huile et j’ai remarqué un autre problème avec mon radar interne!
Pétrolia: Couche toi ici là j’vas “checker” ça!

Serge s’installa sur une table à côté de lui et Pétrolia l’ouvrit, Flavien lui s’en alla.

Pétrolia: Ah!!! Je vois le probème... C’est juste deux fils qui sont mal branchés!

Pétrolia brancha les deux fils et tout rentra dans l’ordre.
Je retournais dans la salle de commandement lorsque j’apreçut Flavien...

Flavien : Pétrolia as-tu fini avec toi?
Serge: Oui.
Flavien: Et elle est seule?
Serge: Quand je suis parti... oui!
Flavien: Parfait!

Flavien partit, je crois, rejoindre Pétrolia à la salle des machines.

Le soir venu je me brancha pour me recharger ne doutant rien de cela qui allait se passer le lendemain.

-------------------------------------------------

Le lendemain...

Je me réveilla bien avant les autres et je rejoignis le capitaine qui se faisait un café à la salle de commandement.

Serge: Bonjour capitaine!
Capitaine: Ah bonjour Serge!
Serge: Avez-vous besoin de quelque chose capitaine?
Capitaine: Si justement... Voudriez vous aller réveiller Brad pour moi s’il vous plaît?
Serge: Oui bien sûr... Je lui dis de venir ici?
Capitaine: Oui... merci!

Je m’en alla donc vers le dortoir où Brad, Flavien, Bob et Pétrolia dormaient. Je me dirigea vers le lit à Brad...

Serge: Brad réveillez-vous! Braaad...

Voyant que Brad ne se réveillait pas je lui donna un petit choc électrique avec mon doigt.

dZzZZzzdZZZZ!!!

Brad: Ayoye!!! Maudit fou! Qu’est-ce que vous voulez?
Serge: Le capitaine veut vous voir.
Brad: Juste moi... C’est rare ça! Y'est où la?
Serge: Dans la salle de commandemant!

Je n’ai jamais su ce que le capitaine lui voulait.

------------------------------------------------------

L’heure du départ sur Hewlett...

Capitaine: Pétrolia et Bob vous irez au côté Sud de la planète. Valence et Flavien au côté Nord. Moi, Serge et Brad nous irons au côté Ouest.

J’écoutais les directives du capitaine avec attention... Arrivés sur la planète nous devions nous séparer en trois groupes et rammasser des échantillons de sol, d’air, d’eau et du reste.

Je suis le premier à me faire téléfaxer sur la planète. La planète a l’air paisible et est très belle.
Après quelques secondes Pétrolia arrive suivie de Bob, du capitaine, de Valence, de Brad et de Flavien. Ensuite nous nous dirigeons où le capitaine nous a dit d’aller et avec les groupes qu’il avait dit.

1 heure plus tard nous avions presque tout fini nos échantillons... Il me restait seulement ceux de l’eau. J’aperçus une rivière non loin de là et je m'y aventura. Je commença mes prélèvements lorsque j’entendis un bruit, je regarda autour de moi... rien! Je fis comme si de rien était et je continua à prélever. Puis le bruit se fit entendre plus proche et je sentis une main sur mon épaule... Je pris la main de... ben de lui là et je le lanca par dessus ma tête ensuite je saute dessus...

Flavien: Serge! C’est juste moi!
Serge: Flavien?

C’était effectivement Flavien.

Serge: Excuse moi!
Flavien: C’est rien!

Puis tout devint noir... Je ne parla guère mais j’entendis Flavien crier et des pas... puis je n’entendis plus Flavien crier et je me sentis soulevé de terre! Et ils me jetèrent dans cette cage.

Les prisonniers avait écouté l’histoire avec beaucoup d’attention.

Prisonnier: Et... Flavien il est où?
Serge: Je ne sais pas... pourvu qu’il ne lui est rien arrivé.

Puis trois hommes arrivèrent avec un homme inconscient et le jetèrent dans la prison où se trouvait Serge...

Serge: Flavien!!!

Quelques minutes passèrent et Flavien se réveilla. Serge lui expliqua ce qui s’était passé.

Flavien: Ouan ben là il faut trouver une façon de sortir d’icitte!

Serge: Oui je sais... Je crois que j’ai une idée!

Serge se tourna vers les prisonniers...

Serge: Vous voulez nous aider?

Les prisonniers acceptèrent et Serge leur expliqua le plan...

10 minutes plus tard...

Flavien: Monsieur le garde... ououuuu!
Garde: Qu’est-ce que vous voulez?
Flavien: Ben c’est parce que je voudrais sortir!
Garde: C”est impossible!
Flavien: Ah ok... Ben voulez vous juste venir ici une minute?

Le garde s’approcha et lorsqu’il fut assez proche Flavien lui prit la tête et l’assoma sur les barreaux de la cage. Lorsqu’il tomba Flavien mit une couverture par dessus pour que personne ne le voit*. Et Serge prit la hache que le garde transportait avec lui. Après 1 heure de tapage sur la cage elle s’ouvrit finalement.

Serge: Il faut trouver nos armes!

Par une chance incroyable leurs armes étaient seulement à quelques mètres de la cage dans un trou.

Serge: J’en ai deux... toi Flavien?
Flavien: Trois fusils!
Serge: Nous sommes 7 en tout donc Flavien donne 2 fusil à deux différentes personnes et prend quelqu’un avec toi qui n’a pas de fusil... je vais faire pareil!
Flavien: D’accord!

Ils traversèrent entre deux maisons et lorsqu’ils sortirent du village il y avait au moins 10 gardes qui les attendaient. Flavien et deux prisonniers en avait paralysé 3 et Serge 2. Il en restait 5! Un des prisonniers était un enfant de 7 ans. Il s’approcha des gardes, les gardes qui croyaient qu’il venait se rendre s’approchèrent et allèrent pour le prendre dans leurs bras, mais l’enfant frappa un des garde sur le tibia et s’en alla en courant. L’autre garde qui était au côté tira sur l’enfant! Mais Serge sauta devant l’enfant et la balle l’atteignit!

Flavien: Serge!

Fou de rage Flavien paralysa tous les gardes restant et partit avec Serge sur les épaules en compagnie des prisonniers!

Ils rencontrèrent l’équipage qui était parti à leur recherche.

Capitaine: Qu’est-il arrivé à Serge?
Flavien: Il s’est fait tiré!
Capitaine: Comment?
Flavien: Je vous expliquerai!

Tout l’équipage partait vers le vaisseau et les prisonniers s’éloignèrent... Flavien qui savait ce qui les arrivera demanda au capitaine...

Flavien: Est-ce qu’ils peuvent venir avec nous Capitaine? Tout de suite qu’on va trouver une planète habitable même si elle est trop petite pour nous ou quoi que ce soit on les déportera dessus.

Le capitaine finit par accepter!

Pétrolia remit Serge en vie, ils trouvèrent une planète qui n’avait pas assez de végétations, d’eau etc pour tous les humains mais qui était parfaite pour 5 personnes! Et tout redevint en ordre!
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MessageSujet: Re: Février 2005   Février 2005 EmptyMar 5 Avr à 19:41

ÉmÔtion , PAR GLACIALE

C’était par un beau matin de juillet… en fait… quelque part sûrement puisque sur le Romano il faisait toujours nuit. Les années avaient passé formant 2***** belles familles unies. Pétrolia était enceinte et Valence avait accouché 2 années plus tôt d’une belle petite fille qu’ils avaient nommé Almeria*. Bob et Brad étaient, quant à eux, de très heureux célibataires. Seul Serge semblait ne pas avoir trouvé le bonheur car il ressentait des émotions et qu’il n’était qu’un simple spectateur dans cette histoire.

Un jour, il sentit sa chance arrivée lorsque le capitaine annonça à l’équipage que la planète Hortense Puce de la galaxie Électronica, présentait une « forme de vie » semblable aux humains mais aussi aux robots. La planète HP était séparée par l’océan en 2 territoires : Windowiz et Macstof** . Les 2 peuples étaient prisonniers d’une guerre déclenchée des milliers d’années auparavant lorsque que le roi de l’époque avait déprogrammé son adversaire. Les vis et les boulons avaient alors commencé à être catapulté de toutes parts détruisant sur leur passage les disques durs des pauvres villageois. Ces peuples vivaient depuis dans la misère continuant de se battre. Serge écoutait attentivement Charles décrire dans les moindres détails cette guerre. C’était terrible. Tant d’innocents avaient dû être tués par simple erreur de programmation…

Capitaine : …Bon alors euh… Valence m'a suggéré qu’on aille arrêter le combat pour améliorer l’image des Terr…
Brad : Vous voulez plutôt dire qu’elle vous a obligé !
Capitaine : Pi si vous continuez j’pourrais peut-être vous obliger à prendre le plancher!
Valence : Hum hum!
Capitaine : Oui… euh alors bon… Flavien, Bob et Brad vous irez rencontrer les Macstof. Ils sont un peu moins performants que les Windowiziens, mais vous pourrez allez recueillir des informations. Quant à moi, Valence et Serge 22.2 nous irons rencontrer le roi actuel des Windowiziens afin de le convaincre de faire la paix. Des questions?
Bob : Euh oui… les euh… Macstoffeux… dans l’histoire c’est les gentils ou les méchants?
Capitaine : Les méchants supposément…
Bob : Pi les Windozouin?
Flavien : Ben si c’est pas les méchants Bob... Ah pis laisse faire…
Capitaine : Bon ok ! Tout le monde dans la salle de commandement dans 10 minutes… Go!

Dix minutes plus tard, tout le monde était prêt. Il ne manquait que Serge qui devait sûrement être sur le chargeur.

Capitaine : Alors Pétrolia, je compte sur vous pour vous occuper de surveiller le vaisseau. Au moindre problème, vous me prévenez.

Une petite fillette se mit alors à gémir. Valence se pencha et prit la petite Almeria dans ses bras.

Almeria : ( pleurant ) Partir ?
Valence : Oui papa et moi on va aller sur la planète pi on va revenir bientôt ok? J’te promet qu’après on va jouer d’accord?
Almeria : (boudeuse) Ok… Péto!

Valence tendit la petite à Pétrolia et se téléfaxa sur la planète où Flavien, Bob et Brad commençaient à inspecter les environs. Le capitaine les y rejoignit quelques minutes plus tard avec Serge.

Capitaine : (hurlant ) Non mais pouvez vous me dire c’qui vous passe dans les fils? C’est quoi le problème? Y’a un mauvais branchement!?? Dois-je vous rappeler que nous sommes en mission et non dans un bal de graduation ici? ****

Serge était vêtu d’un toxedo, les cheveux lissés sur le côté et il semblait vraiment triste après que le capitaine lui ait répondu ainsi. Sa tinque à émôtion commençait à déborder.

Serge 22.2 : Mais capitaine y’a aucun moyen meilleur moyen d’impressionner un roi que de s’habiller chic !
Valence : ( le sourire au lèvre ) Ah Serge t’es vraiment beau la-dedans! (chuchotant à son oreille ) J’suis sûr qu’il y a une Robotte qui va te trouver de son goût…
Serge 22.2 : Merci… toi au moins tu me comprends…
Capitaine : Mais vous êtes un robot!

-----

Ça en était trop…. Je ne pouvais plus supporter… c’était la goutte qui avait fait débordé le thermos. J’en avais ma claque de les entendre me traiter de robot… J’étais peut-être en métal, mais mon cœur était d’or! … Je poussais alors le capitaine et me mis à marcher en direction du plus proche village, Valence à mes trousses. Ils ne peuvent pas comprendre ce que je ressens…. Je suis seul au monde, y’a rien à faire j’suis seul au monde! ***

Quelques minutes plus tard, après avoir semé Valence, je me retrouvais au beau milieu d’une petite ville. Elle semblait à première vue vide. Mais je compris rapidement pourquoi. Une troupe de bestioles de métal fonçaient littéralement sur le village. Gros comme des éléphants et munis d’une seule et unique défense, ils étaient faits de métaux aux couleurs rouge et ocre. Leurs cris perçants donnaient froid dans le dos!

Je me fis soudain tiré vers l’arrière.

-Vite viens te cacher… c’est pas prudent de se promener seul ces temps-ci!

Je me retournais et vis une jolie robotte. La moitié du visage humain et l’autre robot, elle me fixait intensément. Ses cheveux étaient de longs fils noirs qui venaient se rattacher dans son dos, retenus par un ruban rouge. Ses yeux étaient bleu azur et elle portait une simple tunique couleur terre. Si j’aurais eu un cœur, il aurait sûrement sortit de ma poitrine. Une nouvelle émotion : l’amour. La seule pensée que je puisse être amoureux m’ inonda de joie. Je sortis alors de ma bulle et revins à la réalité.

-Qu’est-ce qui se passe?
-Tu connais pas les Applets!?? Ce sont les animaux de compagnie du roi des Macstofs! Ils détruisent tout sur leur passage! Vite on a plus beaucoup de temps… je vais te monter où les autres sont cachés suis moi!

Elle me tendit sa main que je pris sans hésitation. Je mis donc à la suivre. Elle me fit pénétrer dans une cave où je vis plus d’une centaine de robots craintifs, attendant patiemment la destruction de leur village. Elle me fit alors m’asseoir à une petite table.

-C’est quoi ton nom?
-Euh…. c’est euh…

Je me mis à fouiller mon disque dur mais je ne trouvais plus mon nom! Serais-ce l’amour qui me ferais perdre la raison?

-SERGE!!… Mon nom c’est Serge… Et toi?
-Je m’appelle Noxelia, je suis une robot du troisième type.

Ce mot me fit frémir. Il n’existait aucun robot plus parfait que ceux du troisième type! Même le 5 ième et le 4 ième n’arrivaient pas à la cheville de cette merveille… Moi qui n’était qu’un simple 2. Une question me brûlait à présent les lèvres…

-Noxelia ? Peux-tu… euh… ressentir des émotions.
-Bien sûr! D’ailleurs celle que je ressens en ce moment est nouvelle…
-Qu’est-ce que c’est?
-Je ne sais pas… La joie?… L’euphorie? Peut-être…

Elle s’arrêta de parler. Le plancher et le plafond se mirent à trembler au rythme des pas des Applets, puis il y eut un moment de silence suivi d’un seul et unique cri. Mon disque dur ne mit que quelques millièmes de seconde à l’analyser. C’était le cri de Valence!!

-Quelqu’un est resté en haut ! s’écria un homme.
-Je m’en occupe m’exclamai-je!
-C’est trop dangereux Serge! Gémit Noxelia en m’agrippant fermement le bras. N’y va pas, j’t’en prie!

Mais je fis mine de rien et j’accourus à l’extérieur. Je me mis alors à courir aussi vite que mes articulations me le permettaient. Je m’arrêtais afin de la localiser. J’entendis alors un faible bruit provenant de ma droite. Je me retournais et j’aperçus une main sous un morceau d’édifice s’étant écroulé. «Valence» ! Je dégageais les blocs un par un. Valence gisait sur le sol, inconsciente. Son visage était crispé et du sang s’écoulait de sa bouche . J’essuyai le liquide chaud avec la manche de mon tuxedo puis je pris son pouls : faible mais bien présent. Je sortis de ma poche mon émetteur-radio et j’entrais en communication avec les autres qui ne se doutaient de rien .

-Hey Flavien penses-tu que ça goûte bon un robot? S’interrogea Bob.
-T’essayeras ça une autre fois, dis-je, on a un problème plus grave.
-Serge? Ici le capitaine. Mais bon sang pouvez-vous me dire où vous êtes!
-Avec Valence… Elle est blessée…
-QUOI! Quelle est votre position!?
-40 degré nord 70 degré ouest.
-J’ARRIVE!! S’écria le capitaine au bord de la panique.

Au même moment, les villageois commencèrent à sortir de leur cachette et se rassemblèrent autour de moi et Valence. Noxelia se fit un chemin dans la foule et se pencha à mes côtés.

-Ce n’est pas un robot?!
-Non… c’est une humaine..

Ce mot fit reculer tout le monde d’un pas. « Les humains ne sont pas les bienvenus ici » s’exclama un vieux robot. Noxelia elle ne réagit pas. Elle se contenta de toucher le liquide rouge .

-C’est chaud… Je crois savoir quoi faire… Il faudrait la transporter dans notre tanière .

Avec précaution, nous la transportâmes jusqu’à un lit. Noxelia sortit alors une bouteille d’huile.

-Les humain ont besoin d’eau.
-Ah très bien… va en chercher!

Je sortis promptement et je mis à la recherche d’un point d’eau. Je vis alors le capitaine arrivé en courant les yeux gorgés d’eau.

-Où elle est?

Je détachais la gourde du capitaine de sa taille et je lui fis signe de me suivre. Je le conduisis à Valence.

Quelques minutes plus tard, Pétrolia descendait sur la planète avec une civière. Nous installâmes Valence dessus puis ils retournèrent dans le vaisseau. Je me retournais et je vis Noxelia. Je m’approchai d’elle et je lui souris.

-Tu va partir, dit-elle en prenant délicatement ma main dans la sienne. Je veux pas que tu partes…. Je crois que je sais ce que je ressens… De la compassion pour ton amie… et de l’amour pour toi…
- Suis-moi! M’exclamais-je. Viens avec nous! J’te ferai découvrir toutes les merveilles de l’univers et même plus !

Je fis alors une geste totalement humain. J’approchais mes lèvres des siennes. Lorsqu’elles entrèrent en contact, je ressentis une décharge électrique me traverser tous les fusibles de mon corps. Se fut le plus beau moment de ma vie. Je me sentis renaître.. ou plutôt naître.

---------

À bord du vaisseau, la situation ne s’améliorait pas. Valence était toujours inconsciente. Charles tenait le petite Almeria dans ses bras, essayant tant bien que mal de la réconforter . « Pas jouer?» s’était-elle exclamée en voyant sa mère. Elle était intelligente. Le capitaine commença à caresser les doux cheveux bruns de la petite qui lui rappelaient ceux de sa mère. Il vit alors Serge et une jeune femme qu’il avait aperçue plus tôt s’approcher de lui. Charles expliqua aux deux tourtereaux la situation : Valence était toujours aux soins intensifs et Flavien et Bob avaient réussi à convaincre le roi des Macstof à signer un traité de paix après avoir été légèrement reprogrammé. Noxelia eut un sursaut de joie en entendant que la paix allait enfin régner sur sa planète. Serge resserra son étreinte et demanda au capitaine si Noxelia pouvait venir vivre avec eux sur le Romano prétextant qu’elle n’utiliserait pas beaucoup d’huile. Peiné, le capitaine accepta l’offre tout en essuyant machinalement les larmes de l’enfant.

Quelques jours plus tard, on organisa une fête pour célébrer cette union et aussi pour changer les idées de l’équipage toujours affligé par la blessure de leur psychologue. L’habituel champagne fut changé par de l’huile, les anneaux par des boulons mais la fête fut des plus joyeuses.

Il s’écoula plus de 2 semaines avant que Valence ne sorte de son coma. Elle avait une jambe cassée et plusieurs bleus au visage, mais sinon, tout était correct. Almeria se mit à sauter de joie lorsqu’elle put enfin allé voir sa mère.

-Inquiète pas maman… Almeria prendre soin de toi…
-J’en doute pas, gémit faiblement Valence qui avait de la difficulté à parler.
-Moi aussi je vais prendre soin de toi mon p’tit canari en sucre.
-Ça j’en doute, s’exclama Valence en étouffant un rire.

---

Finalement, tout finit mieux que l’aurait cru certains. Valence s’en tirait pas trop mal, Hortense Puce allait maintenant être une planète de paix, et Moi j’avais trouvé mon âme sœur . Quelques mois plus tard , Pétrolia accoucha d’un beau petit garçon qu’ils appelèrent Sergueï en l’honneur du père de cette dernière.

Comme quoi, l’amour est la plus belle des émôtions…


FIN


--------------

* = nom d'une ville d'espagne comme...VALENCE
** = Mac et windows ... aussi HP!
*** = Du corneille ? affraid
****= LOL Ça c'est ça ma faite rire pas mal longtemps!
***** = Il y a beaucoup de chiffres 2 dans mon histoire!
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MessageSujet: Re: Février 2005   Février 2005 EmptyMar 5 Avr à 19:43

B-12 et Trois quart,PAR A OU PEDRO

L’équipage du Romano Fafard se préparait à aller visiter une planète.

-Flavien, allez débrancher Serge, nous partons, ordonna le capitaine.
-Bien capitaine.

Flavien partit me débrancher et revint dans la pièce. C’est dans la quasi joie totale que toute l’équipage se téléfaxa sur la planète B-12 et trois quart. C’était une planète réputée pour son eau de source hyper fraîche au goût de vanille. Le capitaine divisa l’équipage en équipes.

-Serge, Valence et Bob vous formez une équipe. Pétrolia, Flavien, Brad et moi on en forme une autre. Vous explorez la partie nord on explore la partie sud.

Valence saisit la carte que lui tandit Charles et nous partîmes vers la direction nord. Une grande discussion s’entama entre nous trois. Bob était convaincu que le Père Noël avait rompu avec mère Noël et était désormais célibataire et Valence affirmait qu’il n’était pas célibataire mais bien qu’il sortait avec la fée des dents. Pour ma part, je croyais qu’il avait rencontré une belle blonde dans un speed datting*. Tout semblait normal.

-Ah on est arrivé dans la partie nord, dit soudain Valence. Regardez le panneau.

En effet, un panneau était planté dans le sol et disait : Bienvenue dans la partie nord- Welcome to the north part**

La première demi heure d’exploration était vraiment plate. Rien n’était à signaler et nous n’avions même pas trouvé une de ces fameuses sources d’eau au goût de vanille. Valence s’arrêta soudain de marcher.

-Qu’est-ce que t’as Valence, demanda Bob.
-J’ai vu bouger là-bas, répondit-elle.
-Où ça? Là? demandais-je en pointa un buisson du doigt.
-Oui.
-Je vais allez voir.
-Je viens avec toi, dit Bob en sortant son fusil.
-Non reste avec Valence.
-Ah ben si t’insiste, répondit le pilote en resserrant son fusil.
-Pissou, ricanais-je

Je m’approcha du buisson en question. J’avançais lentement pour ne pas alerter personne. Puis en trente seconde, je sauta dans le buisson. Rien. J’éclata de rire et me retourna pour dire à Valence qu’elle avait eu peur pour rien. Elle n’était plus là. Bob aussi avait disparu!

-Bob? Valence? Vous êtes où?

Aucune réponse. Je retourna où Valence et Bob étaient quelques instants plus tôt. Leurs armes étaient par Terre mais des traces de pas étaient imprimées sur le sol et on pouvait nettement voir qu’ils étaient plusieurs. Pourquoi je n’avais rien entendu? C’était une question qui naquit dans mon cerveau mais je l’oublia bien vite en pensant au capitaine, Pétrolia, Flavien et Brad qui étaient dans la partie sud. Je devais les prévenir. Ils étaient en danger et même encore plus avec Brad qu’on pouvait soudoyer à un rien. Je pris mes jambes à mon cou. Pour aller dans la partie sud le plus vite possible.

Je pensa stratégie et alla où nous nous étions quittés pour ensuite suivre leurs traces de pas. Je ne retrouva que le capitaine. Il était à genoux au bord d’un précipice.

-Qu’est-ce qu’il y a Capitaine? Demandais-je

Il avait l’œil vitreux et vide et semblait terrorisé. Jamais je me souvenais de l’avoir vu ainsi.

-On a vu des gens. Ils nous ont vu aussi. Ils ont commencé à nous pourchasser. Brad était insupportable et Flavien et Pétrolia ont voulu le faire taire mais ils ont tombé tous les trois dans ce précipice.
-Pas sérieux???
-Trop, oui.
-Vous les avez vu tomber?
-Non, mais où penses-tu qu’il ont pu disparaître de même?
-Ceux qui vous poursuivaient, ils sont pas venu?
-On a dû les semer
-Attendez moi ici je vais vérifier si ils sont au fond, concluais-je

Je descendit doucement la parois rocheuse. Tout en descendant, j’avais la certitude que tout cela était inutile et que je n’allait rien trouver au fond. Aucun corps aucun blessé rien. Après 15 minutes de descente je toucha enfin au sol.

-Qu’est-ce que je disais. Rien. Même pas de trace de corps tombé récemment.

C’est alors que je me rendis compte que j’avais laissé le capitaine seul en haut. Le cœur*** battait si fort dans ma poitrine qu’il me faisait mal. J’étais si nerveux que j’avais deux fois plus de difficulté à escalader la parois rocheuse. C’est seulement 45 minutes plus tard que je pu constater ce que je craignais. Le capitaine avait disparu comme Flavien, Brad, Pétrolia, Bob et Valence.

-Chus trop stupide! C’est à quoi j’ai pensé aussi le laisser tout seul!

Je décida de rentrer au vaisseau pour pouvoir me préparer à partir à leur recherche ( non mais vous pensiez quand même pas que j’allais les laisser là comme sa? Même Brad serait pas si pire!) Je marchais d’un pas rapide pour empêcher quiconque m’attaquer comme mes amis. Soudain j’aperçus une silhouette arriver au loin. Elle marchait vite la tête basse et me heurta.

-Vous êtes l’ami?, demanda-t-elle simplement
-Oui.
-Je peux vous aider.

Ce n’était pas une question c’était plus une affirmation.

-Pourquoi je dois avoir confiance en toi?
-Parce que les gens de ma race s’attaquent seulement aux êtres vivants et que vous êtes un robot un, deux parce que vous n’avez pas trop le choix si vous voulez revoir vos amis et trois parce que je suis différente des autres de ma race.

Elle a raison. Je ne pourrais pas vraiment découvrir où sont les autres si elle ne m’aide pas. Après tout, j’avais une arme sur moi pour me défendre

-Je peux vous voir au moins? Demanda-t-il
-Comme tu veux.

Elle enleva la cape qui la recouvrait. C’était une fille pas très grande ni très vieille.

-Comment tu t’appelles? Demandais-je
-Appelle moi Marie et toi?
-Appelle moi Paul.

Elle ne semblât pas remarquer que je riais d’elle et de sa façon de se nommer. Aussi je décida de garder ce pseudonyme. Marie me mena jusqu’à un petit village dans un petit bois. Elle s'arrêta quelques mètres du village.

-Je vais attirer l’attention du gardien, toi tu passes en douce, me dit-elle.
-D’accord.

Marie avança jusqu’au gardien.

-Hey vous avez vu là bas? On dirait Wapiti.
-Où ça?
-Oui! Oui! On dirait un Wapiti! Chus persuadée! C’est peut-être le dieu Wapiti!

J’en profita pour passer. La cape de Marie était trop courte pour me cacher au complet mais au moins on me reconnaissait pas. Soudain une fille m’arrêta.

-Pourquoi tu portes encore ta cape?
-J’étais…heu… en promenade et…heu… j’ai pas encore passé chez moi.
-D’accord. T'as été dire à la comtesse que t'es rentré?
-Heu… non
-Ben vas-y! Qu’est-ce que t’attend?
-J’ai… oublié c’était où.
-Ben voyons… c’est juste en face de toi.
-Ah ben oui c’est vrai, chus trop niaiseux. J’y vais.
-Bye

La fille ne semblait pas vouloir partir. Je décida donc de rentrer dans le palais. Je pensa qu’avec mon fusil je pourrais me défendre. Je rentra donc. Aussitôt un homme m’arrêta.

-Pourquoi es-tu ici?
-Pour dire à la comtesse que j’étais de retour au village.
-D’accord suis moi.

Je suivit l’homme. Il m’amena à une salle. Aussitôt j’aperçus Marie avec une femme. Marie s’avança vers moi et tira la cape.

-Je vous avais bien dit qu’il viendrait c’est peut-être juste un robot mais il a été créé par un Terrien.
-Félicitations, dit la comtesse, tu peux y aller.

Le réflexe fut instantané. Je sortis mon fusil et paralysa Marie. En temps normal, j’aurais paralysé la comtesse mais dans le feu de l’action, je voulais que personne rentre et personne sorte. La comtesse appela malheureusement du renfort. Mais par chance, je maîtrise l’art martial tel le Jistoukachiboushoudodékong**** et telle une gazelle je les planta tous. D’une main et de l’autre paralysa la reine pour empêcher qu’elle n’appelle d’autre renfort tout en saisissent l’information dans sa poche sur où sont cachés les autre membres du Romano Fafard.

Ils étaient au 3 sous-sol. Je m'y rendis sans trop de difficultés. Avec un agile coup de fusil sur la tête, le gardien de sécurité tomba dans les pommes– Ben quoi? Faut faire différent- je saisis la clé qui traînait autour de son cou et en trombe sauva tous les autres. Ils étaient tous content de me voir.

Rapidement, Valence m’expliqua que cette race kidnappait des visiteurs de d’autres planètes croyant que leur dieu leur envoyait et les sacrifiaient pour le lui redonner.

-Une chance que vous êtes arrivé, dit Brad, sinon je me serais fâché.
-Vous aurez faites quoi? Demanda Pétrolia.
-Ah ben là Serge est arrivé trop tôt, j’ai pas pus vous le montrer.
-Pour sortir d’ici, ça sera pas trop difficile mais pour le village c’est autre chose.
-Vous avez votre fusil? demanda Charles.
-Oui mais vous, vous les avez plus j’imagine.
-Non, répondit Bob, ils auraient pus avoir la gentillesse de nous les laisser au moins
-On va se débrouiller, lança Serge.

Ils remontèrent au premier étage. Dans l’entrée, ils aperçurent des capes. Ils les enfilèrent et sortirent. C’est à la porte que les problèmes, les vrai, commencèrent. Ils nous attendaient. Je n’avais pas le choix. Je devais me sacrifier. Je tandis mon fusil au capitaine, l’avertis de s’éloigner hyper loin et partis dans la foule. Dans toutes mes fonctions, il y en avait une qui me permettait de me faire sauter ce qui évacuait un gaz qui permettait de tout figer dans un rayon de 25 mètres sans tuer personne. C’est ce que je fis.

Les membres de l’équipage restèrent surpris. Certains éclatèrent en sanglot mais je ne saurais dire lesquels. Puis au bout de 5 minutes ils allèrent ramasser mes débris. Silencieusement ils rentrèrent sur le vaisseau. J’eu le droit à une messe aussi. C’était amusant de regarder ça de où j’étais car il faut dire que les âmes d’androïdes ont aussi un paradis.

Une semaine passa, puis une autre, puis une autre, puis un mois. Soudain, plus rien. Un gros trou dans ma tête. Le souvenir le plus près après qu’il me reste c’est quand j’ai ouvert les yeux. Serge 4 était né…


*désolé pour mon ignorance mais je sais pas comment sa s’écrit.
** encore une fois désolé pour cet anglais médiocre
*** mais oui Serge à un cœur!
**** désolé, j’ai pas mon dictionnaire art martial~ français sur moi, je les oublier dans ma case alors je l’écrit à l’oreille
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