Après un tit bout sans avoir écrit de fic de Dug (autre que one shot) ,me voilà de retour , pour tout ceux avident de drame ,d'amour , de problèmes ,d'action et de mystère.
J'vous aime et si ya des choses que vous aimeriez voir dans une fic dites moi le dans mes commentaires ,je suis ouverte aux suggestions!!
Titre :
C'est dans l'ombre que l'on voit clairAuteure : Glaciale, Amé, moua, same thing!
Style : Drame/humour…un peu comme le premier film
Cote : G
Résumé : Des temps sombres guettent le Romano Fafard alors que plusieurs péripéties mettront la vie des membres d’équipage en danger. Tout comme sur la Terre.
Prologue
Nous sommes le 8 février 2041. La situation sur la Terre ne cesse de se dégrader…
Une femme dans la quarantaine était assise devant son téléviseur, regardant les nouvelles du soir. Malgré que c’était l’hiver sur Terre, il faisait 45° C et plus aucun climatiseur ne pouvait suffire à recréer l’ambiance des maisons d’antan, où il fallait mettre des vestes et d’autres produits complètement futiles de nos jours.
Le bulletin de nouvelle allait commencer. Dehors, le soleil était sur le point de se coucher. Bien que caché par le dôme, celui dernier avait pris une teinte rougeâtre. Ce devait être un magnifique couché de soleil.
La femme monta le volume. Un homme aux cheveux d’un blond éclatant présentait les manchettes de la journée.L’Annonceur, d’une voix autoritaire, commença son bulletin.
-Bonjour mesdames et messieurs et bienvenue au nouvelle TVA de 18 heure.
Il se tourna en même temps que la prise de vue.
-En manchette ce soir :
- Un homme s’enlève la vie en se jetant d’une structure d’un dôme en Italie.
- LE niveau de la mer méditerranéenne a atteint un record en submergeant complètement l’île de la Sicile.
- Les Canadiens de Baltimore accèdent au quart de final.
- Et pour terminer, Margarita se fait évincé à Occupation double 37, les détails plus tard dans la chronique culturelle.
Il se tourna encore, suivant les mouvements de la caméra. Le fond bleu derrière lui devint de couleur écarlate et une photo d’un homme apparue à droite du présentateur.
- Aujourd’hui, un homme de 42 ans, Ricardo Spaghettinni, c’est jeté du haut de la structure du dôme à Rome, en Italie. D’une hauteur de 55 mètres, celle-ci n’a laissé aucune chance à son escaladeur qui est tombé avant même d’avoir atteint le sommet. L’homme voulait revendiquer la mort des milliers d’Argentin qui sont décédé quand les puissances du monde ont refusé de leur prêter de l’argent pour la construction d’un dôme neuf. Je vous rappel qu’il y a 2 mois, ce dôme c’est effondré causant la mort de 2,5 millions de personnes…
L’homme voulut continuer, mais il appliqua sa main sur son oreille gauche et sembla écouter quelqu’un lui parler. Il prit un air encore plus grave et fronça les sourcils.
-On m’apprend à l’instant que Judy Laflamme se trouve au centre-ville de Montréal, où, semble-t-il, le pilier de métal central de la ville serait sous surveillance. Judy? Des détails?
L’image changea et une jeune femme aux cheveux d’un roux flamboyant apparut.Elle avait des yeux vert émeraude la peau parsemé de tâches de rousseurs.
-Oui, des détails. Je me trouve présentement à l’angle des rues Patenaude* et St-Denis, où des inspecteurs viennent de confirmer que le métal de la poutre central du dôme vient de se fissurer dans toute sa hauteur. Les inspecteurs ne veulent pas donner trop de commentaires pour le moment, mais ils affirment que la situation est sous contrôle. Je rejoins Peter Péladeau à bord du vaisseau spatial TVA. Peter? M’entendez-vous?
-Je vous entends très bien.
L’image changea et au lieu de la femme rousse, une image de la Terre vu de l’espace parut à l’écran.
-Alors Peter, reprit la jeune femme, qu’avez-vous d’intéressant à nous montrer?
-Eh bien, commence ce dernier, d’ici, la vue est assez impressionnante. Si nous zoomons un peu en direction du Québec, on peut voir que le dôme vient de perdre 5 centimètre de hauteur. La température étant très élevé, il semblerait que le métal au somment du dôme aurait commencé à fondre.
La femme qui écoutait la télévision regarda en direction de la chambre de ses enfants. Il dormait déjà, épuisés par la chaleur de la journée. Si ils avaient entendu ce commentaire, ils auraient sûrement paniqué! Elle-même se demandait ce qui arriverait si le dôme devait s’écrouler. Leurs vies étaient en danger. Elle savait depuis bien longtemps que plus personne n’était en sécurité sur la Terre.
Elle ferma la télé avant la fin du bulletin et elle alla dans sa chambre. La femme aux cheveux blonds alla s’asseoir à son bureau et prit dans ses mains une photo. Celle-ci représentait Charles Patenaude en compagnie de tout son équipage, quelques minutes avant leur départ pour l’infini. Des larmes lui vinrent aux yeux quand elle se demanda si son frère était toujours vivant .Qu’il aurait été fière quand, en 2040, on avait rebaptisé le nom d’une rue en son honneur. Signe d’espoir et de courage. Elle aimerait tellement qu’il la réconforte. Il trouvai toujours les mots justes pour cesser ses pleures.
À ce moment précis, elle aurait voulu hurler, mais une sirène se mit à retentir dans toute la maison. Elle avait craint se moment depuis le début de la construction du dôme en 2036.Elle se leva et courut dans la chambre de ses enfants qui venaient de se réveiller en sursaut.
-Qu’est-ce qui se passe? Demanda sa fille, serrant très fort un ourson offert par son oncle alors qu’elle n’avait que un an.
-Il faut évacuer la maison. Vous vous rappelez les procédures? On sort dehors et on va rentrer dans le trou le plus loin. On se réfugie sous Terre jusqu’à ce que tout soit devenue calme.
-J’ai peur! S’exclama le plus vieux. Est-ce qu’on va revenir après?
-Oui on va revenir, promis.
La mère elle-même ne croyait plus en ses paroles. Si l’alarme résonnait, c’est que tout était sur le point de s’effondrer. Plus jamais il ne remontrait dans leur chère maison.
Elle prit ses trois enfants et sortirent en courant de la maison. Dehors c’était la panique. Tout le monde courait dans toutes directions, oubliant les mesures de sécurité et cherchant le premier trou.
La femme trouva dans une ruelle, un homme de sécurité qui lui faisait signe d’entrer par ce qui semblait être une bouche d’égout. Elle s’enfonça avec ses enfants à l’intérieur et alla se cacher dans le fond de la caverne.
En regardant le petit ours de sa fille, elle eut une lueur d’espoir. Oui, peut-être, qu’à quelque part dans la galaxie, Frèro ne les avait pas oublié et qu’il cherchait encore un moyen de tous les sauver.
Quelques heures plus tard, le dôme cédait. Il était 20h34.
Après la chute des débris, dépassant de tout le reste d’une façon inexplicable, l’affiche annonçant la rue Patenaude. Toujours fière et droite, au beaux milieu des ruines, comme le seul et unique espoir de millions d’êtres humains.
À des milliards d’années lumières, le capitaine Charles Patenaude était assis sur son fauteuil, fière et droit, il arpentait l’espace du regard. Toutes ces planètes, ces milliards d’étoiles, et toujours aucune trace de planète parfaite. Il y avait beaucoup de tension dans le vaisseau. Autant dans l’amour que dans l’amitié.
Tout le monde dormait, sauf Charles .Perdu dans ses pensés, il sentit un grand vide l’envahir. Il regarda sa montre : 20h34….2034…L’année fatidique, une date, le 28 octobre, et la dernière vision terrifiante d’une planète mourante.
Pouvait-il croire en un avenir ? Pouvait-il sauver l’humanité?**
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* ET oui! Charles à eu droit à un rennomage de rue en son honneur ,pas pire hein!?
** De même ,ça semble être un gros drame ,mais y va avoir un peu plus d'humour dans la fic...sans tout de fois tombé dans le burlesque
Alors des commentaires ?