[FT]Réputation 2: la prophétie d'Horus

ATTENTION: avant de lire cette suite, je vous prévients immédiatement que cette fic n'est pas rester dans le réaliste comme l'autre. En même pas 2 chapitre je l'ai faite dégénéré dans mon monde. à vous dit voir. Il serait aussi préférable que vous ayez lut le un avant de lire le deux parce que( et j'en suis fière) il y a assez de référence au premier

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CHAPITRE 1 : ET LA VIE CONTINUE…

Depuis qu’ils étaient aménagé sur Dorions, quatre ans était passé. Viviane Spitfire était comme avant outre ses quelques centimètres en plus. Elle avait maintenant 18 ans. Stéphane Patenaude, lui, avait abandonné ses amies les incertitudes car désarmait il était plus sur de lui. Mais oui, ça sert à quelque chose connaître Viviane. Maintenant âgé de 20 ans et toujours accompagné de sa chienne Aglaé, il était devenue aide guide avec Alex. Viviane travaillait dans une librairie proche de leur appartement.

Alex Cartier était toujours guide. Elle avait 23 ans et était maman d’Émile Cartier, trois ans et demi., fils de je sais pas qui. Patrick et Charlie Brown n’avais pas changé sous aucun angle et se ressemblait toujours autant. Patrick était devenu véritable Don juan avec les filles.

Ce matin-là, Viviane et Stéphane s’étaient levé très tôt. Viviane allait garder Émile et quand Viviane se réveil dans l’appartement tout le monde dois se réveiller. Lorsqu’elle arriva chez Alex, celle-ci lui donna les dernière ligne.

-Tu restes mangé avec nous à soir Vivi?
-Volontiers
-Faque tout est à la même place que la dernière fois. Tu es vraiment gentilles de me sortir du pétrin.
-C’est toujours un plaisir. J’était en congé et Émile est un amour.
-O.K… Bye Viv’. Bye Émile.
-Bye maman, cria le gamin du salon.

Alex parti et Viviane alla rejoindre l’enfant dans le living. Il écoutait la télévision.

-Alors Jésus, comment ça va?
-ouais ça va. Hey ma tante, c’est qui Jésus?
-Ah ben… de la planète d’où mes parents viennent c’est comme un dieu. Comme Braha ici. Sauf que selon l’histoire sa mère elle est tombé enceinte sans… m’enfin elle s’est réveillé un matin et elle était enceinte. Tu comprend?
-non.
-C’est peut-être mieux comme sa.
-Mais je veux savoir!
-Tu demanderas à Stéphane la prochaine fois que tu le vois. Bon c’est quoi que tu veux faire?

Émile et Viviane passèrent un bel avant-midi dans soudain le téléphone sonna. Elle répondit. C’était Patrick qui semblait dans tout ses états…et pas ceux d’Amérique. Il demanda à Viviane de venir tout de suite.

-Capote pas Pat’, J’arrive.

Elle prit Émile sur ses épaule en se contentant de lui dire qu’ils allaient chez Patrick et partie en courant. En arrivant Patrick était avec Lauriane. Viviane Soupira.

-Donnes y Émile. Elle va s’en occuper.

Viviane n’était pas certaine. Elle n’avais jamais vraiment porté Lauriane Brown dans son cœur.

-Niaise pas Viv’
-O.K. ‘mile, tu va chez Lauriane.

Lorsqu’ils furent partie, Patrick poussa Viviane jusqu’à la chambre de Charlie. Celle-ci était étendus sur le dos.

-Elle dort encore?
-Elle se réveille pas surtout.
-Je vois pas le problème.
-Depuis 8 heures ce matin j’essais de la réveiller et sa marche pas.

La jeune Spitfire s’assit sur le bord du lit de Charlie et la giffla. Rien ne se produisit. Elle regard Patrick et lui dit :

-C’était tentant. Ma mère avait déjà utilisé cette technique pour me réveiller un jour.
-Radical, dit le jeune homme, mais sa marche pas.
-Je m’attendais pas à trop d’effet non plus
-Intelligente.
-merci. Je sais pas mais quand je la vois dormir j’ai l’impression… quelle est en régénérescence.
-Je vais faire semblant de comprendre en hochant la tête*

Au même instant, Alex et Stéphane( et Aglaé) entrèrent dans la pièce.

-On a vu Lauriane. Elle a quoi Chuck?
-grrrrrrr
-Elle se réveille plus, dit Patrick.
-Tu as essayé le truc de la claque dans face?
-Tout juste.
-On peut demander à Aglaé de l’attaquer, dit Viviane avec des yeux brillant de malice.
-Bon laisse moi te rappeler Viviane qu’on veut la réveiller et non la tuer! Dit Patrick.
-Alex à peut-être quelque chose dans son sac, dit Stéphane.
-Voyons voir!

Alex, qui avait toujours son éternelle sac sur son dos, commença à fouiller dedans. Elle y sortit plusieurs cossin en secouant la tête.

-Un calendrier de l’an 1998 avec des gars pas trop habillé?
-Han je veux voir! S’exclama Viviane.

Elle saisit le calendrier des main de son amie et commença à le regarder.

-C’est le moi de juin le plus beau, dit-elle.
-non moi je trouve que c’est celui de mars, dit Alex.
-Les filles, dit Patrick en soupirant, on pourrait pas retourner à nos agneau?

Alex soupira à son tour et lança le calendrier sur la pile d’objet inutile. Viviane s’accota sur le bureau et fit tomber une bouteille. Elle se pencha et la ramassa.

-Ouais ben je pense qu’on a juste à attendre, dit-t-elle en lisant l’étiquette, tenez qu’est-ce que je disais? Sommeil de plomb. Elle pouvait bien avoir l’air d’être en régénérescence. D’ici trois ou quatre jours elle va se réveiller.
-Bon t’en mieux!

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Planète Laurier-12. Valence Leclerc est assise sur une chaise sur une chaise en face d’une maison. En face de sa maison. Celle qu’elle partageait avec Charles et Hélèna. Elle tenait un bébé dans ses bras.

-Pétrolia! Vite! Cria-t-elle

Pétrolia Parenteau Stanislavski sortie d’une maison en face.

-Minute, Brad à perdu son permis dans la maison.
-Non laisse faire je l’ai, dit la voix de Brad en arrière d’elle.
-Bon c’est parfait debord.

Pétrolia alla retrouver Valence sur son terrain et pris le petit.

-Merci d’avoir surveillé Tommy**
-C’est rien. Il est pas de trouble.
-Tout le contraire de sa sœur à cette âge là.

Son nom, Tommy Spitfire. Son âge, trois mois et demi. Charles sortie de la maison à son tour. De tous, c’était lui qui avait le plus vieillit en 4 ans.

-Hélèna s’entête à rester ici.
-Elle veut pas revoir son frère? S’étonna Pétrolia.
-han, han. Je lui est dit qu’elle devait rester dans le village durant notre voyage. Bon, on va chercher serge bob et Flavien et on se sauve.

L’ancienne équipage du Romano Fafard avait décidé de reprendre leur vaisseau pour retourner sur Dorion pour voir Viviane et Stéphane. Ce n’était qu’un tout petit voyage de 3 à 5 jours. Ils arrivèrent devant chez Flavien. Ce fut une belle jeune femme qui répondit à la porte. Ben oui, sur leur planète, il y avait déj;a un peuplade d’un demi mille de personnes.

-Tu es prêt Flavien? Demanda Pétrolia lorsque celui-ci arriva
-oui. Bob aussi mais Serge fait dire qu’il reste ici. Il ne veut pas laisser Juliette*** avec une inconnue trop longtemps. Bob tu viens? Lâche les pogo on en a déjà neuf caisses.

Lorsqu’ils furent tous prêt, Flavien dit bye à sa blonde puis, ils allèrent revoir leur vaisseau.

-Pas de ticket de stationnement Capitaine? Demanda Bob.
-Non aucun.

Ils entrèrent à l’intérieur et tous allèrent porter leur effet personnel dans leur dortoir. Pétrolia alla ensuite porter son fils dans l’ancienne entrepôt de Viviane.

-Tiens mon bébé. Tu vas faire dodo dans l’ancienne chambre de ta sœur. Papa va trouver des côté pour le lit et tu vas faire dodo dedans. Tu ne l’as connais pas encore ta grande sœur. Même maman ça fait longtemps qu’elle l’a vu. J’espère que c’est toujours quelqu’un de bien. Enfin on va le savoir bientôt. Tu est content Tommy de rencontrer ta sœur? Ouais bon faut pas que je m’attends à une réponse de sa part. Faudrait aussi que je cesse de parler toute seule****

Elle alla à la salle de commandement pour le décollage. Direction la planète Dorions.


*Juste pour no que j’ai écrit sa. Les autre retourner une phrase plus haut et sautez celle-ci.
** Tommy à passée par plein de nom avant d’être Tommy. Antoine, Jonas, José et même Emma mais finalement je l’ai appelé Tommy… pis je regrette parce que sa me fait penser croche là ;-)
*** oui même les robot peuvent avoir des enfants… dans mon monde à moi en tout cas.
**** Cela ne vous rappel pas quelque chose? Tsé une émission où dans le titre il y a le nom d’un organe vitaux avec Marc Labrèche.

CHAPITRE 2 : LES MALHEURS DE BROWN, CARTIER, PATENAUDE ET SPITFIRE.

Alex parlait avec Patrick. Tout deux semblait désespéré.

-Vaudrais vraiment le dire à Viviane. Surtout si on est certain que c’est elle.
-On avait dit que C’était ta sœur mais elle l’a pas encore faite.
-Elle l’a trouve trop jeune.
-Hey, hey, hey Patrick! À 18 ans nous, on en avait vu des bien plus compliqué.
-Ouais mais là, Charlie, elle dort.
-et oui.
-Alex…
-Non Patrick.
-Bon ben… Tu veux sortir à soir? Je propose qu’on invite Stéphane et Viviane.
-Si ma mère peut garder Émile je dis pas non.

Le soir venu, Patrick laissa une note à sa sœur au cas où et alla sonner à l’appartement de son amie. Ensemble, ils allèrent porter Émile chez Lola.

-Je veux venir avec vous, se plaignit le garçon.
-Tu peux pas ‘mile parce que tu es trop jeune, dit la jeune mère, tu vas aimer sa avec Grand-maman.
-Et peut-être que, quand ta maman va revenir, tu vas avoir une petite sœur ou un petit frère, dit Patrick.
-Non parce que tu vas me surveiller! Je veux pas d’un deuxième Émile… pas que je t’aime pas mon coco.
-ouais. Mettons

Depuis qu’Émile était né, Sa mère n’était plus sortie toute seule. Elle avait décrété faire trop de connerie toute seule. C’est vrai que se ramasser avec un enfant après avoir eu du fun… en tout cas. Elle préférait avoir Patrick, Charlie ou Viviane pour la surveiller.

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-VIVIANE! PAT ET AL SON ARRIVÉ! DÉPÊCHE SA FERME À SEPT HEURE DEMAIN MATIN!
-minute j’arrive, cria Viviane de la salle de bain.
-Qu’est-ce qu’elle fait?, demanda Patrick.
-Elle se maquille. Elle est rentré avec une chaudière de cosmétique hier alors elle devrait être prête dans 2 mois.
-Tu pourras jamais le nier Sté’, dit Viviane, tu as hérité de l’humour poche de tonpère.
-ouais et toi du sarcasme du tiens. Allez vient. De toute manière il faut pas que tu donnes de faux espoir à trop de gars.
-Et ben mon vieux, siffla Patrick en voyant Viviane sortir des tolette, tu sais pas se que tu manque.
-Patrick ferme là, soupira Alex.
-Bon on y va ou je prends racine ici? Demande Viviane
-Ah parce que c’est toi qui à le culot de demander sa, nargua Stéphane.
-Bon là on y va, vous vous chicanerez la-bas. Sa ferme à sept heure demain matin, dit Patrick.
-De tijd van de partij, s’exclama Viviane se qui veut dire Party time en néerlandais.

Ils arrivèrent devant un club d’où, il semblait avoir beaucoup d’action. Après que Stéphane eu attaché sa chienne, ils entrèrent et allèrent se commander à boire.

-Tu viens Vivi? Demanda Alex, On va allez se faire un fun noir.
-perd là pas de vu Viv’, lança Pat’, ma rester ici avec Step.
-Hey non là! Gâche pas ta soirée pour moi. Vas-y si tu veux.
-Non, non. Deux gars seul, ça attire toujours les filles.
-HEEEY! La première qui touche à Stéphane aura affaire à moi si je la tue pas avant! S’écria Viviane
-T’inquiète pas Beauté, lui dit Alex, je te jure que Lauriane est pas dans le coin.
-Elle est mieux pas l’espèce de…
-C’est sa tigresse, interrompit Patrick, Maintenant partez vous faite peur au fille.
-Vien t’en Viviane on est de trop. Hey j’y pense Patrick Brown. Si jamais tu rentres pas avec nous à soir fait attention. La planète à pas nécessairement besoin de 8 mille Brown. Un c’est en masse.
-regarde qui parle! Madame je me rappel plus avec qui j’ai faite mon fils Catier!
-C’est sa que je disais. Un c’est en masse.

Les deux filles partirent de leur bord tandis que Patrick resta avec Stéphane. La soirée était plus calme à l’intérieur qu’elle semblait ne l’être de l’extérieur. Dans la soirée, une fille vint demander l’heure à Patrick. Les deux gars se contentèrent de boire beaucoup mais sa me changeait rien car de un ils ne conduisait rien et de deux l’alcool sur Dorions ses pas fort, fort. À 2 heure environs, Al’ et Viviane revint. A’ semblait paniqué.

-Il y a un fou qui me suis depuis tantôt! Il m’a même suivit dans les toilettes… ben… en tout cas je t’expliquerais plus tard. On rentre!

Patrick paya en vitesse et tout les 4 sortirent. L’homme les attendaient dehors.

-AH! Je savais que tu étais avec lui, dit-il, tu es bien le fils de Magali toi?
-C’est pas de vos maudite affaires sa, bégaya Patrick.
-Alors c’était donc vrai qu’elle avait un fils. Tu peux m’expliquer pourquoi tu n’étais pas là cette journée là? Une brave fille ta mère, tu sais? Pas un mot du
début à la fin. Non, dans le fond c’est elle la plus Stupide. Si elle aurait crié comme ta sœur… Audrey c’est sa? Oui, si elle aurait faite comme elle, elle n’aurait pas souffert deux à trois heures avant de mourir. Il paraît que ça fait mal mourir comme elle est morte mais moi j’ai eu du plaisir. Dans le fond elle était comme toi. Tu vois, tu écoute sans rien dire. Vingt-deux ans plus tard je vais finir ma job. Enfin.
-Papa… s’il te plait… fait pas sa, cria Alex. Tue moi à sa place mais faits-y pas mal.
-mais est pas peur ma grande. Tu vas y passer toi aussi. Non, je peux pas laisser de trace. Tout le monde va passer. Toi, ton amoureux, ton fils car j’ai entendus sa tantôt, tu as un fils. Je vais aussi tuer tes deux amis et ta mère tant qu’à y être. Oui, pour m’avoir brisé le cœur.
-Menteur! C’est toi qui s’est sauvé! Tu as eu peur d’avoir un enfants!

L’homme sortit un couteau et le lança vers Patrick. Sans trop savoir ce qu’elle faisait, Viviane Se jeta devant Patrick et tandis ses mains. Un mur bleu translucide, bleu se créa devant eux et le couteau se retourna vers celui qu’il avait lancé. Il fini dans l’estomac de l’homme. Elle tourna son regard vers Aglaé et comme par magie, la chienne réussit à se défaire de sa laisse et fini le travail. Viviane baissa les Bras.

-Je viens de le tuer, murmura-t-elle.
-ça peut facilement passer pour un suicide et un chien qui avait faim, répondit Patrick pour la rassurer.
-Mais je l’ai tué et je sais même pas se qui sais passé. On aurait dit que j’avais le parfait contrôle d’Aglaé.
-Calme toi ma belle, dit Stéphane en la serrant dans ses bras
-On va rentrer chez moi. Alex sa te dérange pas trop de laisser Émile chez ta mère?. On attendras plus après Charlie je penses et je tiens à préciser que moi et Alex on sort pas ensemble!
-ouais pis je seconde!

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Lorsqu’ils arrivèrent chez les Brown, Patrick alla immédiatement voir sa sœur. Elle était toujours en train de dormir. C’est alors qu’une phrase lui revint en tête : « Un Brown c’est en masse ». Si l’homme avait suivit Alex depuis le début, il aurait donc cru que c’était le dernier. Le jeune homme retourna à la cuisine où il vit Alex au téléphone.

-Tu es correct? Émile itou? D’accord. Je voulais juste te dire que je restais chez Patrick et Charlie cette nuit. Non… Oui, je vais bien. Oui, oui. Je viens chercher ‘mile demain. Oui maman? Moi aussi je t’aime maman… ouais… ouais moi aussi. Désolé de t’avoir réveillé. Bonne nuit

Elle raccrocha l’appareil.

-Ils sont correct?, demanda Patrick
-Oui
-Pourquoi tu lui as mentie?
-Je voulais pas l’inquiété. Elle sait jamais remis du meurtre de Mag’ et d’Audrey
-Comme toi, Charlie et moi.
-Ouais. Je tombe de fatigue là. Je vais tomber à Terre.
-Prend ma chambre.
-O.K. Bonne nuit.
-Toi avec la petite.

Elle alla se coucher alors Patrick partie voir les deux autre dans le salon

-Si sa vous dérange pas, on va tous dormir et je vous expliquerai demain.
-Non! D’un coup que je tue quelqu’un en dormant!
-Viviane, tu m’as toujours faite confiance jusqu’à aujourd’hui alors arrête pas ce soir. S’il te plait.
-O.K
-Vous savez où allez?
-ouais… vient en Steph.

Patrick attendis qu’il entende la porte de leur chambre se fermer pour allez dans sa chambre. À sa grande surprise, Alex ne dormait pas.

-Je savais que tu viendrais, dit-elle simplement.
-Tu peux bien me dire pourquoi tu l’as appelé Papa?
-Elle était prévisible celle là.
-Alex calvaire! Arrête de tourner autour du pot! Cria Patrick.

Le jeune fille commença alors à pleurer. Patrick fut alors prit d’un immense remord. Machinalement, il commença à flatter les cheveux de son amie d’enfance, sa presque sœur.

-shhh! Pleure pas. Tu me connais Al’, je perd facilement les nerf. Je voulais pas crier arrête de pleurer. Je veux juste que tu réponds à ma question.
-C’est pourtant évident… parce que c’est mon père.

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-Ça fait tellement bizarre de revenir ici, dit Viviane en rentrant dans la pièce.
-Couchez Aglaé, se contenta de dire Stéphane en s’assoyant sur un lit.

Viviane le regarda. Depuis qu’ils étaient rentré, Stéphane avait changé. Même sur le chemin du retour, il n’avait pas l’air si différent. Elle s’agenouilla en arrière de lui et entoura ses bras autour de ses épaules.

-Qu’est-ce qui va pas mon amour?*
-La dernière fois que je t’au vus, tu avais trois ans presque quatre. C’était un peu avant mon accident. Tout à l’heure, sans que je sache pourquoi, quand il y a eu le mur bleu transparent, j’ai pu voir de nouveau.
-Hein?
-C’est pas impossible aussi vu qu’il y a juste 80% de mes yeux qui sont abîmé. Mais j’ai remarqué que tu avais beaucoup changé parce que j’ai vu tout le monde. J’ai réalisé qu’en étant aveugle j’en manque plus que je pouvais le penser. Je suis tanné d’être aveugle Viviane

Elle se décolla de son dos et alla s’asseoir sur les genoux de son amoureux. Il pleurait. Viviane resta stupéfaite. Elle ne se rappelait pas de la dernière fois qu’il avait pleuré en sa présence. Était ce non seulement déjà arrivé? Aglaé se leva de son coin et s’assit devant son maître. Elle aboya un coup avant de commencé à gémir.

-Je vais la sortir, dit Viviane, Allez Aglaé. Tu sors.

Lorsque la nouvelle majeur retourna dans la chambre, Stéphane N’avait pas changé mais il avait cessé de pleurer.

-ça va mieux?
-ouan
-Tu sais steph, je suis certaine qu’un jour tu vas recommencer à voir.
-rêve pas en couleur Viv’
-Veux-tu que je te dise quelque chose Stéphane Patenaude? Toute se passe au moment où tu t’en attends le moins. Regarde moi quand on était sur le Romano encore. Souvent je m’endormais en braillant à cause que j’était ignoré. Ça me touchait plus que je le laissait montrer. Ben un jour, au moment où je m’en attendais le moins, tu es arrivé dans ma vie et 72 heures plus tard je me retrouvais avec quatre ami. C’est pas pour rien que je me suis lancé dans le ravin. J’était sur de l’avoir perdu, l’ami que j’avais toujours cherché. Alors écoute moi bien avec tes deux grandes oreilles chose. Tu vas recommencer à voir et la journée où ça va se passer, je te mari! Que se sois demain ou que ça sois dans 40 ans.

Stéphane s’empara de Viviane et la fit tomber sur le lit avant de l’embrasser.

-C’est fou comment tu peux avoir de l’assurance. C’est une des raisons pourquoi je t’aime aussi. Allez je me couche moi.
-Une affaire. Est-ce que tu m’as trouvé belle?
-Il y a juste les imbéciles pour dire non.
-Ben là ça répond pas à ma question.

Nous sommes en 2060. La situation sur Dorions est catastrophique pour cinq jeunes adultes. En effet, dans un petit appartement, Charlie Brown dort et ne semble pas vouloir se réveiller. Alex Cartier, pour sa part, à l’impression d’être tombé plus bas que jamais. Patrick Brown. Il a vu le mort de près mais… au fond de son cœur, les déclaration de l’assassin lui on fait si mal qu’il aurait préféré mourir. Stéphane Patenaude, lui, est à la recherche de cette vision inexpliqué. Viviane Spitfire semble la plus heureuse à cet instant mais, elle ne connaît pas encore l’ampleur que les événements de la soirée vont avoir sur sa vie. Nous sommes en 2060 et pour cinq jeunes, le monde va arrêté de tournée dans pas grand temps


*O.K je veux savoir qui à part ma prof d’histoire qui avait pas encore cliqué que Stéphane et Viviane sortent ensemble dans lui

CHAPITRE 3 : CECI N’EST PAS UN CHAPITRE…

[Lauriane] : je comprend pas pourquoi je suis la pas fine de l’histoire.
[Viviane] : peut-être parce que tu l’es!
[Lauriane] : tu dis sa juste parce que j’ai été sympathique avec Stéphane.
[Viviane] : tu l’étais trop à mon goût!
[Patrick] : Viviane et Lauriane! On se contrefous de vaut histoire! On est en « back story » là et l’auteure compte sur nous pour démêler le monde.
[Alex] :Patrick l’anglophone mesdames et messieurs! Mais là c’est cool, on a le contrôle total d’un chapitre gniak gniak gniak. Donc on va faire les super résumer pour la merveilleuse auteure pour que le monde comprennent mieux la subtillité de sa super histoire.
[Patrick] : Téteuse!
[Alex] : pis toi tu es jaloux parce que tu as pas son nom.
[Charlie] : Gang d’indiscipliné. Après on ose dire que sur Dorions les enfants deviennent mature plus vite. Vous êtes des mauvais exemple. Des plans pour que on sois remplacé par Pedro, Sarah, Julie, Claudine et Rodrigue si vous vous calmez pas.
[Patrick] : C’est qui eux?
[Charlie] : du monde de mon imagination
[Patrick] : bon on le commence se résumer? Donc 2056, Viviane et Stéphane Devient Dorien et Dorienne
[Alex] : 2057 c’est l’année Qu’Émile nait! Pis on peu tu dire tout de suite c’est qui son père?
[Viviane] non c’est pas dans le kit que l’auteure nous à donné. Ça dois être genre un punch plate de l’histoire. 2057 c’est l’année aussi où j’ai commencé à sortir avec Stéphane!
[Charlie] je veux qu’on place un Flash Back de sa demande!
[Viviane] ouais! Ouais! Ouais! Un Flash Back!
[Patrick] Ça me fait penser… il est où Sté’?
[Viviane] chez pas. Il doit être avec sa maîtresse.
[Patrick] Viviane Spitfire dit sa calmement? Ça doit être faux
[Viviane] ben devine le grand! Bon là, là je veux pas vous dérangez mais sa fait 5 quand tu comptes.
[Charlie] ben non! L’histoire finissait en décembre
[Viviane] FUCKÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ!
[Alex] ???
[Viviane] essais. C’est drôle pis ça défoule.
[Alex] FUCKÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ! Hey c’est vrai!
[Patrick] pas que je veux passer ma retraite ici mais ça dérangerais bien gros si on continue? 2058 et 2059 c’était les années calme avant la tempête. Non mais c’est vrai parce que à par le gros party pis la grosse honte qu’on a faite à Stéphane à ces 18 ans il sait rien passé.
[Charlie] ouais on a rien à compter… qui peut se compter en public Pat’!
[Patrick] J’ai rien dit!
[Charlie] J’ai lu dans ta tête!
[Alex] donc là on est rendu à 2060. L’année de l’histoire.
[Patrick] Darkness years.
[Viviane] bon là c’est pas que j’ai le goût d’entendre parler de…
[Patrick] non Viviane… hey sa marche se truc là!
[Charlie]Patrick!
[Patrick] ben oups désolé Viviane d’abord. Bon Je vais allez chercher si Patrick est pas dans le coin.
[Alex] ben c’est ça. Fait dont sa nous on va montrer les Flash Back.

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Deux janvier 2057. Viviane était écrasé dans le fauteuil près de la fenêtre de chez Patrick et Charlie. Elle attendait que Stéphane se lève. Charlie et son frère avait décidé de rester plus tard chez Alex et Lola pour fêter le jour de l’an et ils avaient été surpris par une tempête de neige. Ils étaient resté là bas. La jeune Spitfire était donc resté seule avec Stéphane et Aglaé, qui eux, avait choisit de rentrer plus tôt.

-Il neige fort.

Viviane sursauta. Stéphane était rentré dans la pièce sans qu’elle ne sens rendent compte.

-Comment tu le sais?
-J’ai deviné… ah et Aussi je t’ai entendu le dire. Je te les déjà dit Viviane. Parler seule c’est jamais bon signe. Bon tu as faim?
-ouais… JE fais à manger!
-Ben c’est sa. Dit donc tout de suite que je sais pas faire la cuisine.
-Non mais quand on sais que tu as les talent cuisinière de Valence là…

Stéphane soupira et s’écrasa sur le fauteuil à son tour. Aglaé Vint voir son maître. Lorsque l’animal commença à lui taper sur le nerf, il alla voir Viviane dans la cuisine.

-Tu fais quoi?
-Des trucs à manger. Et moi au moins tu tombes pas malade avant des avoir envalé.
-Ah arrête les compliment c’est trop.

L’adolescent S’assit sur le comptoir à côté de la cuisinière.

-Brûle toi pas chose.
-Pas peur. Dit donc Viviane… Tu as jamais pensé à te faire… genre un chum.
-Hum là tu me confond avec ta sœur coco.
-Non mais quand même. Tu es une belle fille tu pourrais t’en trouver un Facile.
-Comment tu peux le savoir sa.
-De la même façon que je sais où est le rond chaud sur le poêle. Je le sens.
-Ah ben. Non de toute manière c’est pas mon genre de tomber en amour avec du monde invisible sur un vaisseau super loin de la Terre ou de Tous.
-Mais maintenant que tu es sur Dorions…
-J’y est pas pensé* Pourquoi tu me demandes sa?
-Pour rien.
-Tu mens…
-Hein?
-Je te connais Stéphane, tu poses jamais une question pour rien. En plus ça parait full gros dans ta face quand tu mens et même dans tes yeux! Ils ont des tic nerveux.
-Vraiment Faut vraiment chercher sa loin pour voir sa.
-Où être Spitfire. Où avoir un très mauvais menteur devant sois.. Bon c’est cuit.

Viviane servit la nourriture dans l’assiette et les deux jeunes allèrent s’asseoir devant la télé. Viviane essaya de l’ouvrir. Rien à faire. La panne avait coupé l’électricité même pas 10 secondes plus tard. Stéphane désespéra intérieurement. Le sort s’acharnait sur lui où quoi?

-Bon ben ça l’air que c’est pas le temps d’écouter la télévision.
-ça l’air.
-Alors c’est quoi que tu voulais me dire tout à l’heure.
-Je m’en souvient plus.
-Menteur.
-Regarde… laisse faire.
-Aglaé Attaque Stéphane!

Aussitôt la chienne commença à grogner après le jeune garçon de bientôt 17 ans.

-AH! Tu contrôles Aglaé. Tu es une sorcière Viviane Spitfire.
-ouais et la sorcière va devenir vraiment méchante si tu lui dis pas pourquoi tu pausais toute ces questions.
-Ben dit à ma chienne d’arrêter avant.
-Aglaé, Arrête!

La chienne se calma et alla se coucher dans un coin de la pièce. Viviane faisait peur à Stéphane mais… n’était-ce pas plutôt à cause de se qu’il ressentait pour elle?

-Bon tu vas parler là?
-Je…je…je…
-Tu connais ton premier personnel bravo.
-Arrête Viviane, s’il te plait c’est pas drôle.

Viviane se leva doucement et dévida de changer de côté pour le mélanger. Stéphane mis son bras et l’arrêta.

-Minute mademoiselle. Je vais te le dire ce que j’ai. Je t’aime c’est sa que j’ai.
-Tu me niaise là? Demanda-t-elle surprise.
-J’ai jamais été aussi sérieux de toute ma vie.

Viviane tassa la main de Stéphane et parti. Pourquoi elle? Est-ce que c’était possible? Elle se pinça pour s’assurer qu’elle ne rêvait pas. Viviane se sentait prise au piège. Son ami la retrouva dans la maison**

-Regarde Viviane, je m’excuse. Je voulais pas te faire peur. J’ai tu dis quelque chose qu’il fallait pas?

La jeune Spitfire ne dit rien.

-Répond Viv s’il te plait

Elle plaqua Stéphane contre le mur et l’embrassa. Celui-ci se frappa la tête contre le mur tellement l’adolescente le prit par surprise. Il ne réagit point. Il se contenta de l’embrasser. Embrasser comme jamais il n’aurait put s’imaginer le faire. Lorsqu’il se décollèrent, Viviane s’accota sur le mur en face et se laissa glisser par terre.

-Ça va?
-Je viens tu juste de t’embrasser pour de vrai là ou j’ai juste rêvé?
-Tu la faits pour de vrai, lui répondit le jeune aveugle.
-Moi là, Viviane Spitfire, Je viens d’embrasser un gars? Pour de vrai? Un gars qui… m’aime?
-Ah moins qu’on face le même rêve en même temps oui tu viens tout juste et se gars là, c’est moi. Je vois pas de quoi tu essais de te convaincre. C’est pas impossible.
-Dans ma tête ce l’était.

Stéphane s’assit à côté d’elle. Il avait encore la tête qui lui faisait mal à cause du coup contre le mur.

-C’est bizarre comment tu peux être spécial Stéphane.
-Dans le bon sens j’espère.
-Dans celui que tu voudras. Tu es spécial.
-pourquoi?

Viviane ne répondit pas. Elle se contenta de l’embrasser à nouveau. Toute ses idées sur le monde et la confiance qu’elle devait leur accorder devint soudainement très flou dans sa tête. Cette armure qu’elle c’était dressée contre tout le monde, cette armure qu’il n’avait pas vu, il l’a fit tomber. La Viviane qui se trouvais dans le couloir avec lui en ce deux janvier là, était une Viviane qui vivait sa première expérience amoureuse. Une Viviane qui, ce jour là, commença à remercier le ciel de l’avoir faite naître dans la famille qu’elle était, sur le vaisseau. Une Viviane qui, à 14 ans et en secret, bénissait le ciel que l’amour de ses parents, qui avait parut tellement impossible au yeux de tous, est existé. Une jeune adolescente qui remercia sa mère d’être aussi forte et de l’avoir gardé après qu’elle est appris qu’elle était enceinte. Pour elle, tout était désarmait possible.

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[Viviane] bon on va arrêter là je crois bien avant…
[Alex] hein? Parce qu’il sais passer d’autre chose après?
[Viviane] oui, une game de huit.
[Alex] habillé?
[Viviane] ouais en pleine tempête de neige, pendant une panne d’électricité un deux janvier je joue au carte habillé
[Alex] mais tu sais Viv’ collé sur Stéphane sa réchauffe
[Viviane] hey j’avais 14 ans tu en avait 19 avec cesse ton détournement de mineur indirect… AH! On est revenue au chapitre!!
[Charlie] ben ouais…
[Alex]hein? Tu étais au courant pis tu m’as laissé passer pour une maniaque sexuel devant tout le monde?
[Charlie] Je vais faire semblant de pas l’avoir comprise celle là parce que si je répond je sens que ma être dans le trouble. Mais Viviane… c’était cute! Je regrette quasiment de pas être partie avec vous!
[Viviane] je doute fort que sa se serais passé si tu aurais été là.
[Alex] Vivi les flash back! On en met d’autre o.k?
[Viviane] à condition qu’il y aille pas Lauriane.
[Charlie] ça me fait penser… elle est où elle?
[Viviane] me suis arrangé pour qu’elle dérange pas
[Charlie] J’espère que tu as pas faite quelque chose de grave là…
[Viviane] mais là on a pas le temps faut mettre d’autre Flash Back.

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Bulletin de nouvelle expliqué. En manchette ce soir, comment Pétrolia Parenteau Stanislavski à faite pour tomber en amour avec un être aussi médiocre aussi minable, aussi pas fin, aussi pissou, aussi poltron, aussi… maigre que Brad Spitfire? Pour nous l’expliquer, Voici la spécialiste en… rien. Moi.

Donc, vous êtes tous au courrant que, lorsque la mission n’était point terminé, Brad c’est faite cloner mais, Pétrolia y avait ajouté un CD de Ricky Martin et son double est devenue sexe-symbole. Un chose que vous n’avez pas vu( parce que l’émission dure 22 minutes) C’est que Brad à prit des cours de l’autre Brad pour savoir comment pognée avec les filles. Vous avez remarqué que l’émission fini en même temps que le beau moment de Brad mais Pétrolia semble encore accroché à Brad. Hum, hum. Bon elle à semblé l’oublier en sortant avec Bob mais c’est faux! Et après l’émission bonsoir ils sont partie Pétrolia est allé même jusqu’à quitter Bob parce que le bec qu’elle avait donné à Brad l’avait accroché.

Tout ça pour dire qu’elle est pas folle.

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[Viviane] Qui as demandé cette explication?
[Charlie] hum, hum *lève la main*
[Viviane]
[Patrick] J’aurais pas manqué quelque chose par un heureux hasard? En tout cas… Mauvaise nouvelle.
[Alex] Pourquoi?
[Patrick] J’ai trouvé personne
[Alex] Han! Ça fait une intrigue au chapitre! L’auteure se feras peut-être pas lapidé
[Patrick] ouais le monde là, y savent pas on est où. On est peut-être tous mort suite à une explosion nucléaire et Stéphane qui était au supermarché y à échappé! Là, il fait un dépression et il…
[Viviane] STOP!!! On est pas mort… en tout cas sûrement pas tout le monde. On est juste à quelque part où on devait résumer les chapitres et démêler le monde.
[Charlie] Pis pas que je veux péter ta balloune le frère la mais… POW l’auteure tueras jamais un de ses personnages préféré.
[Patrick] Moi sa?
[Charlie] Ben allume! Pourquoi que…
[O.K je te crois, je te crois. Mais au faite. Pourquoi Lauriane et attaché plus loin?
[Alex] Viviane Spitfire!
[Charlie] Vivi!
[Viviane] bon ben il est temps de rentrer je crois. De retour à notre fic normal *Viviane part à la course*


*Menteuse!
** non mais fermez vous les yeux pis essayer de rejoindre quelqu’un qui c’est enfuis… ses vraiment retrouvé!

CHAPITRE 4 : UNE VIE NORMAL S’IL VOUS PLAIT?
Le lendemain matin, lorsque Viviane se réveilla, elle trouva Stéphane lover sur lui-même. En temps normal, elle aurait trouvé sa drôle de voir cet homme de 20 ans agir comme un gamin de 6 ans mais vu les événement de la vieille, elle s’inquiéta.

-Stéphane? Tu dors?
-Non
-ça va?
-oui ça va. Viens ici Viv’

Viviane s’approcha. Dès qu’il la sentit proche, Il la saisit par le poignet et l’approcha de lui. Il la serra fort. Bien sur que non ça n’allait pas. Il voyait de nouveau la dernière image qu’il avait vu lorsqu’il avait perdu la vue. L’imagine qui le hantait depuis maintenant quatorze ans. Une paire d’yeux rond, la pupille hyper dilatée, l’iris rouge avec des veine partout où devait se trouver le blanc et une lueur rosé dans la pupille. Savoir Viviane près de lui (je serais plus porté à dire collé mais bon…) le rassurait. Il lâcha la jeune fille de son emprise.

-Tu pleurs?
« mince, pensa Stéphane, je n’en avait rien remarqué. Mince que je penses un français impeccable dans ma tête »
-Mais non, je pleurs pas. Je dois être allergique à quelque chose.
-Maudit que tu es mauvais menteur Stéphane Patenaude.

Il haussa les épaules et sorti de la pièce. Il aperçut alors Patrick dans la cuisine…enfin apercevoir c’est vite dit. Mettons qu’il la plus entendus que vu.

-Tu as pas l’air de bien allez toi, dit Stéphane en s’assoyant sur une chaise.

Patrick le regardant étonné

-Toi là, pas te connaître je me douterais pas deux secondes que tu es aveugle.
-Tu t’en rendrais bien vite compte. Genre lorsque je foncerai dans un mur en pensant que ses l’entré d’une pièce. Qu’est-ce qui va pas?
-Je sais juste plus quoi penser.
-À cause de hier?
-eee… ouais à cause de hier.
-On l’est sûrement tous à matin. Sauf Chuck. Mais Chuck dort.
-Tu vas vraiment toujours m’impressionner toi. Bon assez parlé tu vas me chercher notre sorcière moi je vais sortir la voleuse de chambre de son sommeil.

Patrick alla chercher Alex. Elle dormait toujours. Il s’en doutait. Il avait quand même vécu avec elle quinze ans. Il s’accroupit près de son lit.

-Alex, murmura-t-il, Alex réveille-toi. Youhou Cartier! Tu as un fils à allez chercher!
-Hein? Maintenant? Je suis où là? Où est Charlie?
-Tu es tu toujours perdu de même le matin toi?
-Juste quand je suis pas chez moi. En plus que c’est tellement en bordel dans ta chambre que je me croyait dans une vente de garage.
-O.K arrête de me niaiser. Bon lève-toi, on t’attend dans le salon.

Quant il arriva au salon, Stéphane et Viviane y était déjà. Pour les énerver, Il s’assit entre les deux.

-Je vous dérange pas trop j’espère? Demanda-t-il

Viviane lui donna un coup sur la tête avec un coussin. C’est alors d’Alex rentra dans la pièce. Elle s’assit sur la table de salon. Patrick repris son sérieux et la parole.

-Premièrement je voudrais mettre de quoi au clair. Charlie était supposé vous en parler. Et même depuis Longtemps.
-C’est quoi qui c’ait passé? Demanda Stéphane.
-Ce sympathique monsieur qui a voulut toute nous tuer ces… ben un assassin qui mystérieusement en veux au Brown.
-Et le père d’Alex? Demanda Viviane
-Ben moi j’ai pas l’habitude d’appeler papa ceux que je connais pas.
-Me semblait que…
-Tu t’en vanterais fort à ma place?
-Alex calme toi dont bonzouelle!
-excusez.
-Mais y sais passé quoi avec moi?
-Suivez-moi, dit Patrick

Patrick se leva et se dirigea vers le fond de l’appartement. Il y avait une porte. Patrick zigonna après pendant un petit moment. Jusqu’à ce que Al’ intervient.

-ça irais pas mieux avec une clé?
-T’aurais pas pus le dire avant? Allez donne là.
-Yé! Elle est dans la poche avant. Je l’ai jamais ouverte.
-Si tu l’as jamais ouverte comment tu sais qu’elle est là?
-Pose pas de questions. Contente toi de me croire.

Alex ouvra la pochette. À l’intérieur il y avait une clé qu’elle donna à Patrick et une enveloppe.
-C’est pour Audrey, Charlie et Patrick Brown.
-Garde-là, je la lirai plus tard.

Patrick déverrouilla la porte et essais de l’ouvrir. Elle était bloqué. Il donna un grand coup d’épaule dedans et la porte s’ouvrit. Alex et Viviane firent des applaudissement de golf. Derrière la porte, il y avait un escalier. Il prit une grande respiration et commença à monter. En haut, il y avait une autre porte. Le jeune adulte mis la main sur la poignée. Aussitôt une vois robotisé se fit entendre.

-Veuillez vous identifier.
-Patrick Brown, prince royale et co-dirigeant avec Charlie Brown Princesse royale.
-Votre descendant
-Descendant direct d’Horus Brown.
-Matricule.
-Merde, je l’ai oubli.
-P98@, dit alex.
-Hey! Tu es pas supposer le savoir!. Bon. P98@
-Bienvenue, dit la voix pendant que la porte s’ouvrait.
-C’est don ben protégé, s’exclama Viviane.
-Mon arrière grand-père, Horus, était paranoïque.

Ils entrèrent dans un bureau, tout ce qu’il y avait de plus simple. Patrick se dirigea tout de suite vers le classeur, premier tiroir en haut. Il l’ouvrit et pris une enveloppe. Il retourna près des trois autre et s’assit sur un bureau. Alex éternua.

-À tes souhait. J’avoue que c’est poussièreux ici. Bon c’est normal parce que ça doit faire au moins 22 ans que plus personne est monté ici. En tout cas, dans mes mains, J’ai une des prophétie d’Horus. Celle qui, pour le moment, nous concerne.
-Celle qui parle de Viviane? Demanda Alex.
-Mais non Celle qui parle de Natas*!
-Frustre pas. On sais jamais avec toi.

« Ni la chute ne la tura. Elle contrôlera les animaux à sa volonté et sera muni de pouvoir incroyable. Elle viendras d’ailleur sans n’avoir jamais vu la couleur de son monde et adopteras cette Terre comme étant la sienne. Tel sera celle qui nous écitaras la fin de la ligné et la fin de VdorionsS . »

Patrick regarda Viviane.

-C’est toi.
-Moi sa? Jamais!, s’exclama-t-elle.
-Ni une chute ne la tuera, tes la seule que je connais à avoir survécu à un saut dans le Ravin « Petit ». Contrôle les animaux, qui contrôle Aglaé encore mieux que son propre maître? Des pouvoirs, on les as tous vu hier. Elle vient d’ailleurs mais n’auras jamais vu la couleur de son monde et adopteras notre TERRE.
-T’exagère.
-On utilise que très rarement le mot Terre sur Dorions comme dans toute les autre planète de l’univers, expliqua Patrick, Et en plus pourquoi il y aurait un V et un S au début et à la fin de Dorions? V et S c’est tes initiales sa, Vivi.
-Donc si je comprend bien je devrais protèger les habitant?
-ouais, dit Alex.
-Pour éviter la fin du monde, conclut Stéphane, Ben bonne chance Viv’
-Qu’est-ce qu’il se passe si je refuse?
-Tu nous condamne tous à la mort, dit calmement Patrick.
-Bon ben j’ai pas le choix. Je vous aimes trop pour vous laisser mourir.

Viviane les serra tout les trois très fort contre elle. Ils descendirent et allèrent au salon. Rendu là, ils ouvrirent la télé. Fidèle à eux-même, Patrick et Alex s’asssire entre les deux amoureux. Quatre personne sur un sofa qui peut en contenir maximum trois, sa tasse. Soudain, on sonna à la porte.

-Tu attend quelqu’un? Demanda Alex à Pat’
-Non
-C’est la fin du monde.
-Si c’est sa, dit Stéphane, moi je la trouve bien élevé.
-Bon ben au cas où je vais allez ouvrir, dit Viviane.
-Si jamais je te revoit plus Viv’ je veux que tu sches que je t’aime, lui dit Stéphane.
-Ça, elle doit s’en doutez, lui dit le Jumeau

La jeune adulte sortie du salon. À peine dix secondes plus tard, on entendit un :

-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!!!!!
-Bon sa y est! La fin du monde la tué, lança Patrick, la prophétie était fausse. Bon ben, allons mourir braves amis.

Ils allèrent à la porte. Arrivé là, Ils virent Viviane serré un homme dans ses Bras. Ils étaient plusieurs.

-Ben dit donc, dit Alex, la fin du monde à l’air pas mal sympathique.

Patrick donna un coup de coude à son amie et saisit le bras de Stéphane. Il le traina jusqu’à une femme.

-Je pense que c’est lui qui vous voulez voir.

La femme le serra dans ses bras.(Stéphane, pas Patrick)

-Tellement contente de te voir mon grand! S’exclama Valence Leclerc en pleurant, Tu as tellement changé.
-Pas toi en tout cas. Je suis content aussi.

Lorsque Valence le lâcha, une main se déposa sur son épaule. Il sursauta mais reconnut bien vite son père.

-Tu sais quoi, papa? Dit-il avant qu’il ne puisse placer un seul mot
-Non quoi?
-J’ai pas de permis de conduire mais pour le reste, ma vie est à 90% normal.
-Je suis content de l’apprendre.

Mais reculons deux minutes plus tôt pour voir Viviane car, elle ne sais pas contenté de serrer son père.

-Tu es vraiment rendu une belle femme. Tu ressemble de plus en plus à ta mère.
-J’ai toujours du sang Spitfire qui coule dans mais veine. Est pas peur.
-Tu as toujours des yeux du Néant.
-Maman est où?
-Dehors avec Tommy
-Qui?
-Va voir

Viviane sortit dehors. Elle aperçut bien vite sa mère accoté sur un mur, un enfant dans les bras.

-Maman!
-Tu es dont ben rendu belle ma chouette. Tu veux prendre ton frère?
-ouais! Salut le jeune. Moi c’est Viviane. Tu veux que je te fasses suer? Mais non c’est une blague maman, ajouta la jeune femme en voyant l’air de sa mère.

Le soir venue, lorsqu’il fut le temps pour tout le monde de rentrer à la maison( et d’allez chercher Émile pour Alex) on sépara l’équipage. Brad, Pétrolia et Tommy finit chez Viviane et Stéphane. Flavien et Bob avec Alex et Patrick et Charlie Brown prirent Charles et Valence. C’est gaiement que nos cinq Terriens partirent.

-Aglaé est toujours pas revenu, fit remarqué Stéphane.
-Elle s’est peut-être révolté. C’est assez pénible de vivre avec toi.
-Parce que tu penses que ce l’est pas vivre avec toi?
-Tu seras que c’est impossible parce que je suis une fille. Je suis donc parfaite.
-Tu es bourré de défauts chose.
-C’est se qui me rend parfaite!**
-J’ai une bonne idée, dit soudainement Brad, ignorez nous!
-Mais c’est justement se que l’on fait papa.
-De toute façon on est arrivé, dit Stéphane.
-Ah ben ouais ga dont si c’est pas ironique.

Lorsqu’ils entrèrent dans la maison, Stéphane et Pétrolia allèrent vider un tiroir pour y coucher Tommy***. Pour ce qui est de Brad, Il se mit à éternuer aussitôt quil déposa un pied dans la maison.

-Oups, c’est vrai. Tu es allergique au chien toi.
-Atchoum… Tu as un chien? Atchoum!
-Ben pas moi là mais Sté’ oui.
-Batard…Atchoum!…Atchoum!
-Excuse j’avais oublié
-Bas grave.
-STÉPHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANE!
-quoi? Gueule pas comme sa! Ton frère dort!, lança-t-il
-Bon une autre affaire, se plaignit la jeune Spitfire, on avait oublié que mon père est al…
-Atchoum
-ben sa là.
-ah o.k je comprend pas besoin de me faire un dessin. Ben la chienne rentre jamais dans la chambre du fond alors vous allez être un genre correct et demain on ferras une rotation.
-Bob et Flavien J’imagine si ta mère est dans le même cas. Bon finit de Parler! La sauveuse de l’humanité est fatigué! Bonne nuit!

C’est sur les Atchoum de son père que Viviane ce réveilla. Le lendemain, elle se fit réveiller par Stéphane.

-AAAAAAH! Je faisait un super rêve! Pourquoi tu m’as réveillé?
-Charlie est réveillée…
-C’est pas une raison pour qu’on se réveil tous.
-laisse moi finir. Charlie estréveillé. Ma chienne est rentré et Les jumeau se son faite défoncé pendant la nuit. Lauriane Ce matin passait et à vut sa. Elle c’est dépêché de leur dire.
-Elle est trop sympathique.
-‘Viane
-Je suis sur que c’est de sa faute.
-j’aurais du te laisser dormir toi.
-C’est juste sa que t’avait à me dire? Et ben! Je m’ennuyait des nuits calmes justement.
-Je t’ai pas tout dit.
-Il y a d’autre chose?
-Habile toi en vitesse. Patrick et Charlie veulent nous voir.


*Natas…Satan… Si Braha est le dieu sur Dorions, Natas est l’équivalent du Démon Terrien.
** nul n’est plus parfait que celui avec des défauts. J’approuve Viviane la dessus
*** Vive ceux qui dorme dans des tiroir !

CHAPITRE 5 : LE NOUVEAU MEMBRE.

Viviane et Stéphane arrivèrent chez les jumeaux en très peu de temps. Ils entrèrent sans cogner car de un ils avaient déjà habité là et de deux la porte était ouverte. Patrick, Alex et Charlie étaient dans la cuisine. Par terre, il y avait un petit garçon au cheveux foncé qui ne devait pas être plus âgé que 16 ans.

-Non! Je bouge pas de là! Je veux parlez à Viviane Spitfre point à la ligne.
-C’est…moi, dit-elle
-Parfait! Je m’appel Kevin Bouchard*Je suis venu pour te souhaiter bonne chance.
-Pour?
-pour sa! Dit-il en tapotant le ventre de Viviane.
-QUOI? C’est tu une joke là?
-J’adore se genre de réaction, lança le gamin, mais tu sais Viviane il faut toujours sans douter quand on se réconsillie avec notre copain.
-mais…
-Dans deux semaine peut-être avant peut-être après. Allez je me sauve. Bye.

Kevin disparut dans un nuage de fumée. Abasourdie, Viviane se laissa tomber sur une chaise près d’elle. Discrètement, Charlie poussa son frère dans le dos et tout deux sortir de la maison. Dans ces situations, C’était quelqu’un qui l’avait vécu la meilleure personne. Dans ce cas si, Alex.

-J’ai rêvé là?, demanda la jeune Spitfire.
-Non, répondit alex, tu viens de rencontrer Kevin. C’est le dieu des natalités. Mais sincèrement Viviane. Tu avais pas remarqué que sa faisait hyper longtemps que tu avais eu tes règles?
-sincèrement, je regardes pas sa moi. Sa arrive quand sa arrive. En plus une fois sur deux je saute des mois alors fait longtemps que j’ai arrêté de stresser avec moi. Je comprend pas pourquoi j’ai quasiment pas grossit.
-ça ma chouette sa s’explique en deux mot anglais et très simple, dit Stéphane, Spit…Fire.
-C’est le fun à savoir pareil. Je vais être maman à temps plein et en même temps je dois sauver le monde. Une belle petite vie routinière autrement dit
-Je vais te dire quelque chose que ma mère ma dite la journée que j’ai appris que j’attendais Émile. Où tu le garde où tu accouche en secret et tu le lances dans le précipice.
-Ben là! Je peux pas faire sa quand même!
-Content de te l’entendre dire, dit Stéphane qui c’était assis sur la table de cuisine.
-Moi avec parce que si il ou elle retient de sa mère c’est pas la chute qui l’aurait tué.
-Ouais c’est un animal qui l’aurait mangé, dit Stéphane
-HEY!!!!attendez donc qu’il naisse avant de penser à sa mort, s’exclama Viviane.

Stéphane sourit et embrassa Viviane sur la joue. Il la rata un peu. La futur maman mis instinctivement sa main sur son ventre.

-ça vous est déjà arrivé, vous, de vous demander pourquoi cet évènement là, précisément, arrive à vous. Pourquoi c’est Stéphane qui à vu la bibitte et pas un autre membre de l’équipage? Pourquoi c’est moi qui doit sauver Dorions et pas quelqu’un d’autre?
-Je me suis toujours demandé pourquoi Magali m’avait donné son sac à moi et non à un de c’est trois enfants, dit Alex.
-C’est pourtant simple, lança Stéphane, parce que si sa aurait été la même personne qui aurait toute eu la vie aurais été plate pour les autre.

Viviane lui sourit en sachant très bien que sa ne lui donnait pas grand chose et reparti dans c’est penser. Elle ne s’était jamais imaginé avoir des enfants mais dans le fond… dans un passé pas si lointain, elle ne s’était jamais imaginé avoir de chum et maintenant elle était amoureuse par dessus la tête depuis plus ou moins 4 ans. La vie avait tellement changé. Cet enfants, son enfant, elle ne l’avait pas encore vu que déjà elle l’aimait. Elle se leva et serra Sté’ dans ses bras.

-Vous êtes cute à voir, lança la jeune Cartier., Je pense que juste pour sa, je vais me trouver un gars. À bonjour monsieur Patenaude!

Viviane se tourna brusquement. Dans le cadrage de porte, se tenait Charles Patenaude. Il était réveillé. Elle se dépêcha de murmurer au deux autre :

-Vous dites rien à personne.
-o.k
-et les jumeaux…?
-C’est pas leur genre de répéter et en plus ils ont le secret professionnel de l’ordre royal à respecter, dit celle qui les connaissait mieux que personne.

La journée se passa très bien mais était tellement lente au yeux de Viviane qui n’avait hâte que de voir le petit qui était à l’abris en elle. Les autres journées qui suivirent furent exactement pareil. Un jour, alors qu’elle travaillait à la librairie, Stéphane arriva.

-Viviane, lança Cléa compagne de travaille et patronne de Viviane, ton pétard vient de rentrer.
-hein? Où sa?
-à l’entré idiote!
-Ah je l’avait pas vu! Je peux allez le voir.
-Vas-y ma chouette.
-Hey Steph’!

Cléa, une petite bonne femme d’une quarantaine d’année, fit un signe à Viviane comme quoi elle allait trier les nouveau livre en arrière du magasin. Stéphane, lui, avança jusqu’au comptoir et embrassa a blonde.

-Laisse moi deviner, dit la nouvelle adulte, C’est Charlie qui t’envoie?
-Comment tu as deviné?
-depuis 1semaine les jumeau viennent me voir savoir comment je vais. Ils ont pas l’air de trouver sa rassurant de voir que je travaille jusqu’à la dernière minute.
-C’est normal qu’ils s’inquiète. Tu es majeur depuis un mois Viviane. Il on pas perdu leur habitude.
-Pis toi tu ne t’inquiète pas?, demanda-t-elle faussement insulté
-Moi j’ai pas besoin, je t’ai dans face. Sa aurais parut si sa aurait mal été.
-Ben o.k. Maintenant Steffie le gars qui devine tout, va dire à maman Charlie et à papa Patrick que je vais très bien. Maintenant moi j’ai du travail à faire. Pis sa me rappel que toi avec tu as du travail!
-Non. Alex est pas rentré et comme je suis son humble assistant ben je peux pas assister grand monde si elle est pas là.
-AH!

Viviane tomba à genou derrière son comptoir. Son mal de ventre de se matin venait de lui faire vraiment mal. Bien sur, elle n’aurait pas eu besoin de crier mais le tapis derrière le comptoir était si épais qu’elle doutait qu’il ne l’aurait entendu. Elle avait décidé d’en mettre quelque peu.

-Qu’est-ce que tu as?
-Lâche Aglaé. Grouille sa fait mal.

Le jeune homme s’exécuta. Aussitôt, la chienne partie à l’arrière boutique où se trouvait Cléa. Viviane Sourit.

-C’est dommage que pour sa je retiens pas de mon père. J’imagine qu’accoucher par le nez fait moins mal.
-Tu es dont ben orgueilleuse Viviane Spitfire.
-ben là… sa fait pas… si mal que ça.
-orgueilleuse.
-Qu’est-ce qu’il a ce chien à la fin? Viviane? Qu’est-ce que tu as? Demanda Cléa.
-Ah pas grand chose. Je suis probablement en train d’accoucher et de m’obstiner avec Stéphane. C’est super le fun. Si tu veux être super fine par exemple sa serais sympathique de ta part de fermer la boutique et d’allez chercher un docteur. Je sais pas mais peut-être qu’il pourrait être ben utile. En tout cas mieux que si tu restes à respirer comme une maniaque sexuel!
-Tu veux que j’aille chercher tes parents avec ça?
-o.k mais vite. Tu me stresses maudit.

Cléa sortie de la boutique et après avoir barré la porte du magasin, parti en courant. Stéphane se glissa au tâtons jusqu’à Viviane et l’aida à se lever. Il la traina de l’autre côté du comptoir et s’agenouilla près d’elle. Bizarrement, il était calme. Seul les quelques gémissements de Viviane l’énervait. Il n’aimait pas ne pas pouvoir lui venir en aide.

-ça va?
-ouais mais ça fait mal. Sans n’est pas normal
-qu’est-ce qui te fait dire sa?
-mon instinct.
-ouais ben si c’est une spitfire je me fierais pas trop à elle.
-Stéphane!
-S’cuse. Sois je dis des niaiserie sois je perds connaissance.
-Tu aurais l’air intelligent… Ayoye… je veux un câlin, finit-elle sur un ton enfantin.

Cléa revint avec le docteur une heure plus tard. Viviane n’allait vraiment plus bien. Elle avait une contraction au trente seconde certain.

-Bonjour, je suis le docteur Mathieu Tranchemontagne-Lafortune J’ai une étudiante avec moi qui va assister à l’accouchement.

Viviane tourna la tête péniblement et c’est alors qu’elle l’aperçut. 21 ans, blonde au mèche azure, Lauriane Brown. Elle se dégagea.

-Ja…jamais.

**************************************************************

plus au moins 19 ans plus tôt(environs 2041). L’équipage du Romano fafard faisait leur stock d’eau sur une petite planète appelé Ironie21. À un moment donné, lorsqu’elle fut certaine que personne ne la verrait, Pétrolia poussa Brad jusqu’à une petite forêt.

-Quoi ? qu’est-ce que tu veux ? demanda le scientifique, me semblait tu voulais plus qu’on se parle.
-ouais mais là c’est différent. Je dois absolument te parler, lui répondit l’électro-techno-informato-ingéno-constructo-invento-ticienne.

Brad laissa tomber un long soupire.

-Bon, qu’est-ce que tu veux me dire ?
-Je suis enceinte.

Il devint livide et ses yeux devint grand.

-Tu es certaine ?

Pétrolia sortie des feuilles de papier de sa poche et les lança par terre, au pied du scientifique.

-J’ai faite 8 scanneurs et les huit me donnait la même chose. J’ai même vérifié et le scanneur n’a rien.
-pas sérieuse ? Tu comptes faire quoi là ?
-Mais la garder voyons !
-la ?
-ouais… c’est une fille.
-et… moi dans tout sa ? demanda-t-il incertain.

La jeune femme soupira.

-pour la grossesse, je préfère que tu ne sois pas dans le portrait. Je veux pas que les autre me convainque de faire quelque chose que je veux pas. Après c’est à toi d’y voir mais la petite pourras pas se le faire cacher indéfiniment aussi.
-Ben tant qu’à cacher sa pour rien. Aussitôt qu’elle aille un père déclaré. C’est pour quand ?
-Juillet prochain.

Elle se colla sur Brad et lui dit :

-Brad Spitfire, tu peux pas savoir comment tu me fais peur des fois.

******************************************************************

-Ja…jamais !
-voyons dont, mademoiselle, s’exclama le docteur.
-Je… je re… refuse qu’elle s…sois présente, bégaya Viviane en pointant la cousine des jumeaux Brown
-voyons Viviane…,commença Cléa.
-s…sortez d’abord…je…je…je vais m’arranger s…seule
-Viviane… Tes parents vont arriver. Qu’est-ce qu’ils vont dire quand…
-Je…je n… ne veux pas de…de… Laurie… Lauriane !Sté… Sté-pha-ne c…come one.
-Vous comprenez pas qu’elle en veux pas ici ? dit Stéphane au docteur, Faite la sortir.

Déçu, Lauriane Brown sortit de la librairie. Ce n’est qu’une fois sortit, que Viviane se calma. Stéphane eut alors l’impression de nuire plus que d’autre chose. Il décida de sortir et de tenir la visite dehors. Comme il sortait, Brad, Charles, Pétrolia et Valence arrivaient.

-Je dois avouer Stéphane, lui dit sa mère, que je n’avais plus d’espoir de te voir sur tes deux jambes. À ta naissance et à celle de ta sœur, ton perd perdait connaissance au milieu de la pièce.
-Tu m’avais juré de jamais en parler, lança Charles.
-pourquoi on n’était pas au courrant ? demanda alors Pétrolia.
-C’est à Viviane qui faut demander sa. Ça me fait penser… elle est où Héléna ?
-Elle a pas voulut venir.
-C’est triste.
-Je me trompe où tu es extrêmement malheureux ? demanda Brad.
-ça ne parais pas comme ça là mais dans mon dedans je pleures comme quatre

Les trois heures et demi qui suivirent furent les heures les plus longue de la vie de Stéphane. Lorsque Cléa sortit de la boutique, il eu l’impression qu’il avait vieillit de 70 ans.

-On demande Stéphane Patenaude au comptoir avec ses avocats.

Il entra dans le boutique, trop nerveux pour penser à quoi que se sois, suivit des 4 aînés. À peine eu-t-il rentré Qu’il reçut un bouquin en arrière de la tête et Aglaé arriva et poussa son maître jusqu’à la nouvelle maman.

-J’en déduit que tu es en forme, dit-il en s’agenouillant près d’elle.
-C’était tentant et je me suis dit que pendant que tu étais inquiet, tu allait pas me chialer après. Tu veux prendre ta fille ?

Elle tandis le jeune bébé à son père.

-Vous lui avez trouvé un nom ? demanda le nouveau grand-père**
-Je suis certaine que Viviane va vouloir l’appeler Lauriane, dit Stéphane.
-AHAH ! ouais tu parles. Lauriane Brown en plus !
-Les jumeaux ! j’ai est oublié ! s’exclama Stéphane.

Il donna sa fille à la première personne à côté de lui, qui était sa mère, et se jeta sur le téléphone. La discutions fut brève et en moins de 5 minutes, deux rouquin au yeux bleu acier foncèrent dans la porte de la librairie avant de l’ouvrirent et d’y entrer.

-J’était morte d’inquiétude ! s’exclama Charlie.
-Ah ta fini de chialer Chuck ?

Patrick alla entre Viv’ et Sté’

-Est dont ben belle. Elle a la beauté de la mère. Je suis certain que si Steph la verrait il dirait sa, dit-il, comment vous l’avez appelé ?
-comment tu sais que c’est une fille ? demanda Viviane
-J’ai l’instinct pour détecter sa les filles.
-On l’a pas encore nommé.
-Vous êtes dont ben poche !, s’exclama Brad.
-papa ! Si quelqu’un a une idée lancez là.
-J’en est une moi. Jordane.
-J’approuve, dit Stéphane, tu en pense quoi Vi ?
-Je suis d’accord. Jordane S. Patenaude
-pourquoi S. Patenaude ? demanda Cléa.
-Parce que je veux qu’elle se souvient toujours des Spitfire, dit Viviane en souriant.




*Aucun rapport avec Flavien ;o)
** j’ai pas précisé c’était lequel alors prenez celui que vous voulez

CHAPITRE 6 : LA MORT DE VIVIANE.

Depuis la naissance de Jordane, six mois était passé. Bob et Flavien habitaient toujours avec la petite famille*.Un soir, Stéphane rentra de travailler très tôt.

-J’ai perdu ma job, dit-il l’air de s’en ficher complètement.
-Comment sa?
-ça fait plus de six mois qu’Alex c’est pas présenté. Il paraît qu’elle est toujours malade. Ils ont décidé de la renvoyer donc son simple aide y a passé par le même coup.
-ça fait également 6 mois qu’Émile est chez sa grand-mère. Ça fait 6 mois qu’on la pas vu. C’est louche si tu veux mon avis. Tu me prêtes Aglaé ce soir?
-D’accord. Je garde Jord’ aussi?
-oui.
-Je sais se que tu veux faire, dit le jeune père, mais sois prudente d’accord?
-Je vais faire attention juré.

Après le souper, elle alla coucher sa fille. Elle resta accoté sur le bord du lit très longtemps.

-Tu sais Jordane, maman a pas eu une vie Facile. Surtout le début. Une chance que ton papa a été là sinon sa ferait longtemps que je serais plus là. Je te dis sa parce que maman à toute un pressentiment Maman sait qu’elle va mourir Aujourd’hui. Fit toi jamais au apparence et fou toi toujours des commentaire des autre. Suis ton cœur ma puce. Sois gentille avec ton papa. C’est vraiment un bon gars. Sois fière d’être à la fois une Spitfire et une Patenaude. Je t’aime fort mon ange.

Autour de son cou, Viviane portait une chaîne que Stéphane lui avait donné le Noël d’avant. Une petite chaîne en or avec un S dessus. Le S des Spitfire qu’il lui avait dit à la blague. Ele l’enleva de son propre cou et le passa autour de celui de sa fille. Elle pensa alors à ses parents et à son frère dans le Romano Fafard. Elle sortit de la pièce, prit la chienne et sortit en vitesse pendant que Stéphane était à la salle de bain.

-Je t’aime Steph’. Tu le sais sa hein? Pensa-t-elle.

Elle arriva devant la maison de son amie. Elle prit la clé qu’Alex laissait toujours dans un bac à fleur. Elle sut instinctivement où aller. Au salon! Arrivé là, elle la vit sans connaissance. Elle s’avança prudemment quand soudain, les lumière s’allumèrent. Elle se retourna et vit … Lauriane Brown accompagné de Nul autre que Héléna Patenaude.

-Je savais que vous étiez croche toute les deux, s’exclama Viviane.
-Tu savais Spitfire que tu t’étais mise dans le trouble? Demanda joyeusement la sœur de Stéphane, La journée que mon frère et toi être descendu sur Dorions il y a environs 4 ou 5 ans, je vous ai suivit. C’est là que j’ai rencontré Lau’ Elle voulait avoir le contrôle de Dorions comme, d’ailleurs, ses parents avant elle. Lau’ semblait croire que tu étais spécial. C’est vite dit quant on te connaît réellement. On a quand même décidé de te tuer. Laurie est arrivé trop tard chez les Brown l’autre jour, tu n’était pas là et elle t’a raté à ton accouchement mais aujourd’hui, on va t’avoir!

Alors ainsi allait en finir Viviane Spitfire? Le 21 janvier, peut-être le 22 à l’âge de 18 ans?

-Dernière requête Spitfire? Demanda Lauriane.
-heu.. ouais! Je voulais savoir, l’assassinat de Magali et Audrey Brown…
-C’est mes parents qui avait engagé le tueur. Je suis tombé sur son corps réçament. J’ai su que tu y étais pour quelque chose. J’ai décidé de t’éliminer une bonne fois pour toute.
-Parfait, dit Viviane en s’agenouillant, alors tuez moi

Les deux amies se regardèrent l’air triomphant. Lauriane prit un couteau et alors qu’elle allait transpercer la tête de son ennemie, Viviane leva les bras, ce qui créa automatiquement le mur bleu translucide. L’arme ne la toucha même pas.

-Aglaé attaque Héléna, se contenta-t-elle de marmonner à la chienne.

Viviane regarda la chienne martyrisé la sœur de Stéphane et elle sourit. C’est alors que, dans son champ de vision, elle aperçut Lauriane qui voulait tuer la chienne. Elle se concentra alors sur un espèce de gros vase laid qui fini sa course en arrière de la tête de la cousine des jumeaux. Héléna réussit à se défaire de l’attaque d’Aglaé et avança vers Viviane qui baissa les bras, ce qui créa automatiquement la disparition du mur.

-Alors, comme ça, tu as pris mon exemple? Toi qui disait toujours que les gars c’était pas pour toi et que jamais tu ne voulais avoir de chum, tu sautes sur mon frère dès qu’il baisse sa garde. Tu es juste une Salope Viviane Spitfire, sorcière en plus. J’ai même une nièce au dernière nouvelle. Tu es au courrant que sa se fait pas imposer une pute comme mère à une enfant. Je vais en finir avec toi avant que tu ne face trop de peine à mon frère. Je vais faire le plus grand bien à toute l’humanité.
-Tu étais pas supposé être resté chez vous? Grogna-t-elle.
-J’ai embarqué sans que personne ne le sache. C’était moins compliqué ainsi.

Viviane se jeta par en arrière pour éviter un attaque de sa « belle-sœur » et renversa un lampe à l’huile qui était allumé. Le feu pris et se répandit si vite qu’en l’espace de 2 minutes, la maison complète brûlait. Viviane regarda Alex qui était toujours inconsciente dans le salon. Elle tandis ses main devant elle et comme si elle dirigeait la circulation, les bougea vers son amie en marmonna :

-Sois cool Braha, protège là, elle doit survivre.

Par miracle, le mur alla envelopper celle qu’elle pointait. Viviane se tourna alors vers Héléna.

-On va mourir toute les trois, on dirait Héléna, mais moi comparé à toi, j’ai réussit ma vie. Je me suis trouvé un gars que je vais aimer jusqu’à la fin, j’ai une fille que j’adore, des amis et surtout, moi je vais avoir réussit ma mission. Toi, tu as gagné quoi ans tout sa? Toi, tu n’as réussit que de rêver ta vie!

La jeune adulte s’assit au milieu de la pièce en feu tandis qu’Héléna lui faussa compagnie et partie en courrant et en paniquant. Elle aurait put facilement défoncer une vitre et en sortir intact, mais quelque chose disait à Viviane qu’elle devait rester là. Elle écouta donc son instinct et s’assit par terre. La chienne vint voir Viviane et se coucha sur elle. Nerveuse, la jeune fille commença à la flatter.

-Sauve toi. Tu as encore le temps.

La chienne resta là et ne bougea pas.

-Mais vas-y!

Elle émit un gémissement en regardant la jeune Spitfire.

-Merci Aglaé, finit-elle par murmurer.

Elle se coucha, la tête accoté sur Aglaé puis une explosion se produit. Un boum très fort. Si fort, qu’il en détruit une très grande partie de la maison. À l’extérieur, une foule poussa un « AAAH » puis au milieu de c’est exclamation un :

-ALEEEEEEEEEEEX, VIVIAAAAAAAAAANE!!!

C’était Patrick Brown. Il était avec Charlie, Stéphane, Jordane et Émile. Plus loin, dans la foule, l’équipage du Romano Fafard et Lola était présent. Eux, ne se doutait pas qu’il venait de perdent deux des quatre enfants.

-Il y a pas encore une chance qu’elle soit toujours vivante? Risqua Charlie.
-Pour Viviane, tout est finit, dit alors Stéphane d’une voix blanche.
-pourquoi? Qu’est-ce qui te fais dire ça?
-Un jour, elle ma promis que je verrais. Bien, je vois.

Un lourd silence tomba alors sur eux. Seul les gazouillement de Jordane et les réponse qu’Émile lui apportait le trahissait. Un nuage de fumée bleu flottait au dessus des ruines. Charlie Brown murmura alors quelque chose à son frère qui lui répondit :

-La prophétie d’Horus est réalisée.

*Rappelez-vous! Brad est allergique au chien.

CHAPITRE 7 : LA LETTRE DE MAGALI.

Un mois avait passé depuis l’explosion. Miraculeusement, on avait retrouvé Alex intacte et vivante. On ne pouvait pas en dire autant de Viviane. Elle avait été retrouvé couché sur Aglaé, ou plutôt ses restants, noircit par la suie et quelque peu brûlé, morte. Elle avait un sourire au lèvre. Elle était décédée heureuse. Patrick et Charlie avait raconté la légende ainsi que la prophétie au membre de l’équipage du romano Fafard avant de leur montrer le corps d’Héléna. On l’avait retrouvé proche de l’entré. Charles et Valence l’avait beaucoup pleuré. Stéphane non.

-Tu n’as pas de cœur Stéphane Patenaude lui avait lancé sa mère.
-C’est de sa faute si j’ai perdu la fille de ma vie, c’était-il contenté de répondre.
-T’as vraiment pas de cœur, C’est tout de même ta sœur!, s’était exclamé Charles.
-La seule raison qui me tiennent en vie, pour le moment, c’est que j’ai une fille à élever. Si vous voulez m’imposer Héléna comme sœur, je démissionne de la famille.

Et il était partit sans rien rajouter de plus. En une semaine, le capitaine et la psychologue avait perdu leur fils et leur fille. Pour se qui es de Lauriane, outre ses parents, personne ne l’avait pleuré. Patrick et Charlie avait l’air de s’en foutre. Ils passèrent beaucoup de temps avec Alex, Stéphane et leur enfant respectif. C’était eux, leur famille. Aussi, ils avaient faite une rotation. Charles et Valence avait déménagé avec Flavien et Bob et les quatre autre retournais avec les jumeaux. Ils manquaient peut-être de place mais c’était bon comme sa. Pétrolia et Brad, toujours dans le Vaisseau avec Tommy, avaient mis long avant de se remettre de la perte de leur aînée. Pétrolia plus que Brad. Enfin bref, nous sommes le 21 février 2061. C’était l’anniversaire de Stéphane. Il avait 21 ans*. Il était dans la cuisine avec les Brown et Alex; les enfants dormait encore. Les funérailles de Viviane n’avait pas encore eux lieu et pour s’assurer que vous m’achalerai pas avec sa, je vais vous le dire tout de suite, y vont avoir lieux en juin, le mois des héros. Enfin, lorsqu’il voulut s’asseoir à une chaise, Stéphane s’enfargeant dans les pattes de la table.

-Tu as remarqué, Stéph, que depuis que tu voix, tu tombe 5 fois plus que quand tu étais aveugle?
-C’est sa Patrick, rit de ma face.
-C’est ce que je fait aussi. De toute manière à ta fête, j’ai pas l’habitude de tu laisser tranquille.
-nia, nia, nia. Attend que je trouve quelque chose sur toi, tu vas passer au batte.

Stéphane n’eut pas a attendre si longtemps pour trouver quelque chose car à peine eut-il dit cette phrase qu’un adolescent d’environs seize ans apparut dans la pièce dans un nuage de fumé.

-Kevin!
-C’est moi! Bonjour à tous! Hey Stéphane, j’ai entendu dire que c’était ta fête aujourd’hui! Bonne fête!
-Comment tu le sais?
-mon petit doigt me la dit. Sinon toi, tu te débrouilles bien avec ta fille?
-Tout va très bien avec Jordane.
-hey, s’exclama le jeune dieu, Aujourd’hui je vais faire changement!
-pourquoi?, demanda Charlie
-Parce que ça me tente. Bon. Je viens aujourd’hui annoncer à Patrick que dans 1 mois, un mois et demi, il va être papa.
-meuh! C’est qui la mère?

Kevin s’assit sur la table et commença à se balancer d’en avant à en arrière en fixant le jeune mécanicien. Il semblait lui dire, je vais le dire! Je vais le dire!

-C’est quelqu’un dans la pièce, dit-il finalement.
-ça peut pas être ni Stéphane, ni Kevin, ni Patrick pour la simple et bonne raison qu’ils sont du type masculin. C’est pas moi parce que je ne me rappel pas d’avoir viré une méga brosse ressemant c’est donc…

Stéphane et Charlie se tournèrent vers Alex d’un même mouvement. Celle-ci devint alors rouge tomate et marmonna :

-Merci Kevin!
-C’est rien, sa me fait plaisir.
-ça fait longtemps que… commença Charlie.
-ça fait huit mois qu’elle a arrêté de se débattre, Dit son frère en souriant.
-Non mais Ta gueule! S’exclama Alex
-Ben voyons! Prend pas sa de même! Ils savent que tu t’es jamais débattu.
-Mais pourquoi vous me l’avez pas dit! S’exclama Charlie.
-Je vais vous laisser moi, dit Kevin, je dois y allez mais avant je dois vous dire le mot suivant : lettre.

Kevin disparut laissant les 4 jeunes adultes sur leur questionnement. Ce fut Stéphane qui compris le plus rapidement. Il frappa dans ses mains et rappa un peu avant de dire.

-Ton sac! Il y avait pas une lettre adressé à Audrey, Charlie et Patrick avec la clé l’autre jour?
-AAAHHH Stéphane t es génial! S’écria la propriétaire du sac.

Le sac, comme la propriétaire, avait été épargné des flammes. On l’avait trouvé dans un coin de la demeure intact. Rien n’avait été endommagé. Même la crème Glacé n’avait pas fondu. C’était un des nombreux mystère de l’incendie. Alex l’enleva de sur son dos et ouvrit la pochette avant.

-J’ai la lettre! J’ai la lettre!
-Donne moi là, dit Patrick.
-Combien tu me donnes en échange? Et… je rappel que vous pouvez pas me maltraiter pour l’avoir parce que je suis enceinte.
-ah flûte c’est vrai, marmonna Charlie, eee… je te donne… Rien du tout!

Charlie saisit le bras de son amie et lui arracha la lettre des mains. Elle la passa ensuite à son frère. Celui-ci la saisit, l’ouvrit et sortie plusieurs feuille de papier jaunit de l’enveloppe. Il commença la lecture à voix haute.

« Chère Audrey, Chère Charlie et Cher Patrick,

Au moment où vous lirez cette lettre, vous serez sûrement rendu grand et je serai certainement morte mais au moment où je l’écrit, Audrey n’a que trois ans et mes deux jumeaux préféré on environs 6 mois. En faite, ils commence à parler clairement. J’écris cette lettre pour mon plaisir mais aussi pour vous si j’avais raison. Si je vous voyait telle que vous allez être. Cette lettre, vous l’aurez trouvé dans le sac de Braha. Et oui! Le fameux sac que je passait mon temps à dire qu’il n’existait pas était finalement sous votre nez tout se temps. Ce sac, contrôlé par le dieu des dieux, Braha, doit ce léguer de mère en fille même si dans mon cas, j’ai beaucoup de doute. J’ai beaucoup de difficulté à percevoir Audrey plus tard, je ne pourrait donc je ne peux prendre de chance. Pour ce qui est de Charlie, J’ai beaucoup de doute car souvent j’ai l’impression que un des seul hommes de sa vie sera son frère. Je ne peux donc pas lui léguer car le sac de Braha permet à une fille de tombé enceinte( afin de toujours avoir quelqu’un à qui le laisser) sans… »

-Alléluia!!! S’exclama alors la jeune Cartier en se laissant tomber dans les bras de Charlie
-Donc, ça voudrais dire que Émile, C’est Jésus? Demanda Stéphane
-Viviane m’appelait comme sa.

Tout les quatre ce tournèrent vers l’entré de la pièce où se tenaient un gamin d’environs 4 ans, les deux mains dans les poche accoté sur le cadrage. Émile Cartier alla s’asseoir sur sa mère pendant que Patrick continua la lecture.

« dans mon cas, J’ai eu les jumeaux grâce à se sac. Patrick… l’Homme de la maison. Patrick deviendras, j’en suis certaine, un de c’est charmeur infatigable. Je pense aussi que Patrick sera le plus beau et le plus intelligent… »

-Pat, tien toi s’en au texte de la lettre, s’impatienta Charlie.
-Bon, bon… si on peut plus avoir de plaisir.
-Ben c’est sa Casanova, garde sa pour les filles et lit en attendant.

« … un de ces charmeurs infatigable. Pour conclure cette lettre, je veux vous dire que quoi qu’il arrive, ne perdez jamais espoir et que comme les prophétie de mon grand-père, tout fini toujours bien.

Maman, qui vous aime fort »

-Fini bien, mon œil, s’exclama Alex, Toute à mal fini pour Viviane.
-C’est qu’il y a une suite à quelque part. La prophétie est donc pas terminé, dit Patrick
-Mais oui et il se passerait quoi? Celle dont à parle, elle est morte, lança Stéphane.

Patrick haussa les épaules

-J’ai beau être le gardien des prophétie d’Horus je les comprend pas pour autant.
-On trouve toujours les objets à la dernière place où on les cherche, dit soudainement Émile, c’est Viviane qui me la déjà dit.

Personne ne semblait comprendre ce que le gamin venait de dire. C’est sa mère qui compris les propos de son fils.

-AH! Émile pour sa tu retiens vraiment de moi! Tu es génial!

Sur ce elle se leva et disparut de la pièce.

-On gage combien que dans une semaine la tête lui passe plus par le cadre de porte? Demanda Patrick

Le jeunes femmes revint quelque instant plus tard avec Jordane dans les bras.

-Hey! J’ai réussis à l’endormir à 4 heures se matin! S’exclama Stéphane
-Elle fait pas encore ces nuits?! S’étonna la mère.
-Ben non…
-En tout cas, on en a besoin. Je suis certaine que La fin de la prophétie, c’est Jord’ qui la sais.
-Faque si je suis ton résonnement, récapitula Pat’, Jordane connaît déjà la fin de la prophétie. C’est quoi qui te fait dire sa?
-Les yeux de Jordane.
-Je croule sous le poids de ton résonnement, ironisa Stéphane.
-Tu devrais commencer à savoir Sté’ que tout à pas de résonnement scientifique, Lui répondit Alex, Donc Jord’ connaît la fin de la prophétie et la seule que vous avez ses moi alors vous me croyez et ça finit là.
-Oui chef, dit Charlie, mais la fin, Patrick devrait l’avoir à quelque part.
-Quand on voit le nombre qu’il y a au grenier sa prendrait des année à toute lire. Ça c’est sans compter ceux qui son dans une autre langue, lui répondit son frère.
-Mais là comment on s’y prend pour le savoir, demande Stéphane, Jord’ c’est pas encore parler.
-Ben il est temps qu’elle apprend. Elle est en retard.
-Pour une dorienne peut-être mais pas pour une Terrienne.
-BANK! Stéphane vient de péter notre balloune.

***********************************************************

-Hey, au fait Pet tu me dois 5$
-Comment ça?
-Au début du voyage, on avait faite un pari et je l’ai gagné.
-BRAD! Ta fille vient de mourir et toi tu…
-Ça sert à rien de pleurer jusqu’à la fin de nos jours quelqu’un qui est mort. Surtout qu’elle est morte en héroïne où elle vivait
-Tu t’es jamais inquiété pour elle! Combien de fois en quatre ans tu t’en est faite pour elle?
-Jamais mais toi les dix années avant, combien de fois tu t’es inquiété?
-heu…
-Tu vois? Tu vois? Sous prétexte qu’elle était dans ton champs de vision tu t’en faisais pas plus que sa. Il est trop tard pour s’inquiété maintenant Pétrolia Parenteau Stanislavski parce que Viviane là, elle est morte et une morte, ben, on s’inquiète pas pour sa.

BANK**!! Pétrolia avait Giflé Brad. C’est à cet instant que Valence entra dans la salle de commandement. Elle était d’humeur massacrante car elle ne s’était toujours pas remis de la perte de sa plus jeune et de la démission de son aîné.

-Vous avez pas finit de crier?
-Ah et vous, vous avez pas fini de nous tanner? S’exclama Brad
-Brad Spitfire, parlez moi sur un autre ton!***

La guerre était littéralement prise abord du Romano Fafard et comme si cela n’était pas assez, Charles arriva avec Tommy qui hurlait à plein poumon.

-Brad et Pétrolia! Je voudrais vous rappeler qu’il vous reste un gars à vous occuper!


*Vraiment la désolé si les âge sont pas correct des fois mais me suis fucké en écrivant.
**ses drôle faire BANK au lieu de pow ou de clac :p
*** en chicane le vouvoiement revient assez vite ;-)

CHAPITRE 8 : LA DÉTRESSE DE STÉPHANE*

Stéphane gardait les enfants. Émile était dans sa chambre et Jordane essayait de s’endormir. Les Jumeaux et Alex étaient sortie faire des provisions. Lorsqu’ils rentrèrent, Il chantait.

-Puisque s’est-elle que j’ai arrosé, puisque s’est-elle que j’ai protégé, puisque s’est-elle que j’ai écouté. Puisque s’est ma rose. Puisque s’est-elle que j’ai abrité, puisque s’est-elle que j’ai rassuré, puisque s’est-elle que j’ai aimé. Puisque s’est ma rose.**

Ils allèrent s’asseoir près du père qui semblait être redevenue aveugle. Il semblait être devenu sourd également.

-Qu’est-ce qu’il a? demanda Patrick
-La peine, répondit sa sœur.
-Oui mais sa fait une mois qu’elle est décédé.
-Certain prennent plus de temps que d’autre

Stéphane avait changé de chanson.

-Même si je sors de mon corps. Même si j’ai l’air d’être mort. Tu sais que se ne sera pas vrai. Puisqu’on a tous l’éternité.

Stéphane s’interrompit. Charlie, qui était la plus proche, commença à li frotter le dos pendant qu’Alex prit sa fille. Elle essaya de changer le sujet.

-PATRICK! Tu nous as jamais dit pourquoi tu avait suggéré Jordane comme prénom.
-Je crois pas que…ayoye!…oui! c’est sa! Quand j’était petit, maman me recomptait l’histoire de la p’tite furie. Elle avait des yeux de chat gris et j’ai toujours trouvé que Viviane lui ressemblait.
-C’est pas l’histoire où la furie lançait des crie perçant là? Demanda Charlie.
-O.K c’est beau! Je suis pas imbécile! Vous êtes pas obligé de changer de sujet.

Stéphane Patenaude se leva et sortit dehors. Il s’étendit dans un banc de neige. C’était la nuit, il regardait la lune et les étoiles. La température extérieur frôlait le –50 degrés mais malgré le fait qu’il n’avait ni botte ni manteau, il n’avait pas froid. Il avait autant froid à l’extérieur qu’à l’intérieur. La chaleur qui lui apportait Viviane était partie avec cette dernière à tout jamais. Il n’était pas stupide, il savais que la prophétie était terminé. Les larmes commencèrent à couler sans qu’il ne puisse les contrôler. D’ailleurs, il ne contrôlait plus rien. Il n’avait plus la force de contrôler quoi que se sois. La seule chose qu’il voulait c’était mourir pour pouvoir arrêter de souffrir. Mourir là, comme sa, sans douleur. Il se souvenait que sa mère lui avait déjà dit que ceux qu’on aime reste toujours à l’intérieur. Sa mère… en voilà une autre qu’il avait perdu. Charlie arriva soudainement à côté de lui avec un couverture dans les bras, qu’elle mis sur ses épaule. Elle s’agenouilla près de lui.

-C’est quoi là? Tu veux attraper un pneumonie et en mourir?
-oui…
-Elle a sûrement rejoint le ciel, elle brille à côté du soleil, lui dit Charlie, Je suis certaine qu’elle est avec ma mère au royaume des mort et que ma mère s’en occupe comme moi, Pat et Al on fait avec toi. Elle s’ennuie de toi, c’est sur. De toi et de Jord’ Elle avait toujours eu des doute sur ta sœur et ma cousine. On a été stupide de prendre sa à la légère. Viviane avait un don et on l’a sous-estimé.
-Elle s’avait qu’elle allait mourir. Le S que Jordane porte après sa chaîne, c’est moi qui l’avait donné à Viviane. Elle l’a donné à la petite pendant que j’était à la salle de bain. C’est de ma faute. Je savais ce qu’elle allait faire. J’aurais du l’an empêcher.
-Elle aurait trouvé le moyen d’y allez qu’en même. Elle était inquiète pour Alex. En plus, Si elle serait resté, Lauriane et Héléna aurait eu le sac de Braha et nous aurait tous tué. Il est dangereux se sac, s’il tombe entre de mauvaises mains. C’est pas pour rien que ma mère nous l’avait caché. Pour évité qu’on s’en ventent.
-C’est vraiment à se demander pourquoi tu reste célibataire toi, dit Stéphane en souriant
-Je sais pas. Pourtant ma mère là dit elle-même. Je suis la plus maternelle. C’est comme si, dans un autre vie j’avais connut un amour super puissant et que même rendu dans cette vie là je l’avait pas oublier. J’ai juste oublier la face, le nom et le reste mais que je me rappellerais du sentiment.
-Je comprend.

Charlie Sourit.

-Maintenant écoute moi bien Viviane Spitfire, cria-t-elle au étoiles, tu nous manques terriblement et on t’oublieras jamais alors on espère pareil de ta part.
-Tu penses qu’elle nous entend?
-pourquoi pas?

Charlie sourit de nouveau puis ils fixèrent le ciel tout les deux quelques instant. Ils rentrèrent après. Juste avant que la jeune filles ouvra la porte, Stéphane la retint par un bras. Elle se retourna.

-hum?
-Je voulais juste te remercier. Pour toute ce que vous avez faite les trois depuis le début. C’était sympathique.
-Je vais faire le message… et il était peut-être temps que tu vois plus Viviane. Tu dis sympathique asteur.
-tsssss

Lorsqu’ils rentrèrent dans la maison, le couple Cartier~Brown était dans le salon. Alex recula de quelque pas pour voir les nouveau arrivant avant de dire à Patrick :

-O.K fermes-y la yeule, sont renté.
-C’est pas l’instinct maternelle qui t’étouffe toi! Sté’ vient donc ici deux seconde

Stéphane lança un regard interrogateur vers Charlie. Celle-ci leva les sourcil comme si elle voulait dire qu’elle ne savait pas pourquoi ils l’appelaient. Lorsqu’ils rentra dans le salon, il aperçut Émile Assis sur le bras du fauteuil. Alex et Patrick était assis à chaque bout et retenait Jordane au milieu.

-Al’ et moi on a faite notre devoir de… de…
-de parfaite inconnue, termina Alex.
-C’est sa! De parfaite inconnue. Et je redonne la paroles à Alex.
-O.K, elle se tourna vers la fillette et lui dit en pointant Stéphane, Jee, C’est qui lui?
-Papa, répondit l’enfant toute contente de sa réponse.

Elle sortie un photo de ses poche et lui demanda à nouveau.

-C’est qui elle?
-maman!
-Bravo!
-Émy, s’exclama alors Jordane en pointant Émile.

Le jeune garçon sourit et dit alors

-Si sa peut te faire plaisir, juste pour toi, je vais m’appeler Émy.

Stéphane, le sourire au lèvre, prit alors sa fille dans ses bras et lui demanda :

-Je suis qui?
-papa!
-Alors chose, dit Patrick, tu gages combien que d’ici Avril elle sais parler?

Stéphane tandis la main à Patrick. Celui-ci tapa dedans énergiquement. Le gardien des prophétie remplis son rôle à la perfection car à la mi mars, Jordane pouvait facilement communiqué avec n’importe qui. Dorions avait beaucoup d’influence sur la Terrienne qu’elle pouvait être, de sang. Le 9 avril, Charlie vint réveiller le jeune homme.

-Désolé de pas te dire bonjour mais là, tu te lèves, tu prend ta fille, Émile et mon frère et tu pars et tu reviens pas tant que je vous ai pas appelé.
-C’es-tu une genre de manière de nous mettre à la porte? Demanda Stéphane encore endormie.
-ouais…genre.
-mais sans blague, pourquoi?
-Ben mettons qu’Alex à eu c’est première contraction et que connaissant Patrick, il va nuire plus que d’autre chose.
-Bon, o.k

En soupirant***, Stéphane Patenaude se leva et s’habilla avant de sortir dehors. Lorsqu’il sortit, Patrick y était déjà avec Émile et Jordane dans son carrosse.

-Où tu veux aller? Demanda Patrick
-Au Romano Fafard. Je veux parler à ma mère pis toi…tu jaseras avec Brad et Pétrolia.
-Comment tu sais qu’elle est là? Je veux dire ta mère.
-Pétro’ me la dit la dernière fois qu’elle est venu voir Jee. Elle et mon père ont eu un genre de grosse dispute.

Patrick Hocha la tête et il se mirent tout les quatre en marche. Le chemin était silencieux, tout comme ceux qui y marchaient dessus d’ailleurs.

-Je sais à quoi tu penses, chantonna soudainement Pat’
-C’est vraiment si difficile?
-Tu penses à Viviane…
-C’est pas compliqué. Je penses toujours à elle.
-Mais aujourd’hui c’est pire. Je te comprend d’ailleurs
-hum, hum. Tiens on est arrivé.
-Grand-maman! Grand-maman!, S’énerva la petite dans son landau.

Stéphane saisit le téléphone du téléfax et après quelques instant d’hésitation, le donna à Patrick

-TU parles.
-No problèmo

Il attendis quelques secondes, que quelqu’un répond.

-ouais madame Patenaude? Ouais ici Paterick. Oui je vais très bien et vous? C’est bien! Écoutez Valence, pouvez-vous me faire monter à bord du vaisseau avec les jeunes. Oui… merci Val’****

Émile monta dans le vaisseau suivit de Jordane et de Patrick. Celui-ci avertie la femme d’un quatrième téléfaxage. Sans poser de question, elle le fit monter à bord du vaisseau. Son visage s’illumina lorsqu’elle reconnut son aîné. Elle le serra dans ses bras et commença à larmoyer.

-Tu viens Émile? Demanda Patrick au fils de sa blonde, on va allez voir Brad et Pétrolia.
-C’est quand qu’on va retourner à la maison. Je veux voir maman moi.
-Je… dès que matante Charlie téléphone.
-O.k

Patrick sortit de la salle de commandement avec les deux enfants, laissant Stéphane et Valence seuls. Tout deux devaient ce parler et chacun assez vieux pour comprendre le problème dans cette pièce le savait.




*Je sais pas si Stéphane retient de son oncle Bob mais il chante pas mal dans se chapitre là.
** Puisque c’est ma rose de la comédie musical du petite prince. Il va souvent y avoir des référence à cet œuvre parce que s’est vraiment mon maître à penser se bouquin là. Pour ce qui est de la chanson, c’était pas obligé d’être là mais je trouvait que sa résumait bien se qui c’était passé entre les deux.
*** Et yen a des fois
**** hé, hé sa part de madame Patenaude à Val’ . Il se dé gêne vite le Patrick.

CHAPITRE 9 : LA VIE CONTINUE MAIS C’EST JUSTE PLUS PAREIL.

- Tu peux me dire pourquoi il y a juste 1 médecin capable de faire des accouchements dans un village de cinq mille habitants? Je vous avais dit d’en former plus, c’était pas une suggestion, C’était un ORDRE!Non laissez faire je vais m’arranger toute seule! NON! NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON! Bye!

Charlie raccrocha le téléphone violemment avant de retourner voir son amie.

-Je sais pas à quoi ça sert d’être reine si personne t’écoute. Là, il va falloir que je m’improvise Sage-femme alors que j’ai non seulement jamais assisté à un accouchement de ma vie!
-Calme toi Chuck. Ça sert à rien de stresser.
-Je viens de trouver pourquoi je reste célibataire. Pour jamais me retrouver sur le dos à gémir comme une stupide.
-Ben merci.
-Bon ben, je me lance. Tu me fais confiance?
-J’ai vraiment le choix?
-Non, pas vraiment.
-O.k d’abord. Je te fais confiance.

******************************************************************

-Maman, je pense qu’il faut qu’on parle.

Valence lâcha son aîné, essuya ses yeux remplient de larme avec ses manches de chandail et se ressaisit*

-Je suis contente que tu sois venu parce que ton père à prévu partir demain.
-Ah…
-Stéphane, tu devrais lui parler. C’est ton père, tu peux pas lui en vouloir éternellement. Il était sous le choc d’avoir perdu Hélé’
-Il va vouloir que je lui pardonne et je peux pas le faire sans avoir le pressentiment de trahir Viviane.
-Tu l’aimais beaucoup, hein?
-Je l’aime encore et même plus que quand elle était là. C’est niaiseux.
-Non ce l’est pas. C’est même parfaitement compréhensible.

Stéphane se contenta de lever les sourcil. Un long silence s’en suivit**.

-Écoute moi bien maintenant Stéphane Patenaude, dit Valence, je sais pas si tu as le caractère de ton père ou le mien mais depuis que tu es jeune tu fais se qui te plais. J’ai rarement été d’accord avec ce que tu faisais mais je me taisais et je vivais avec. Je vais faire pareil aujourd’hui à une condition. Dans trois ans, on va revenir sur Dorions parce qu’il n’est pas question que l’on vivent avec une image de Jordane bébé. Brad et Pétrolia sont de mon avis. Mais dans trois ans, je veux tu ailles pardonné à ton père et moi je me charge de lui faire oublier que toi et Hélé’ vous êtes sœur. Je me fais bien comprendre?
-Oui Capitaine

Le reste de la journée passa extrêmement lentement. Patrick ne faisait que tourné en rond et Stéphane compris sa sœur de l’avoir mis dehors. Émile et Jordane eux avaient décidé de partir à l’exploration du vaisseau et Les deux homme les avaient perdu de vu. Stéphane les avaient cherché durant une bonne heure avant de les retrouver dans la salle de jeu vidéo. Vers dix-neuf heures, le téléphone sonna.

« -ouan Pat’ c’est celle qui te sert de sœur depuis…23 ans à peu prêt? En tout cas, je t’appel pour te dire que tu peux rentrer à la maison »
-ça sais bien passé?
« -J’ai dis, maison! »
-O.K, j’arrive.

Très vite, ils dirent au revoir à Brad, Valence et Pétrolia. Stéphane dû promettre au parents de Viviane de faire très attention avec Jordane pour les rassurer. Ils reprirent ensuite le chemin du retour qui leur sembla éternelle. finalement, ils arrivèrent à destination. Steph’ déverrouilla la porte très, très, très lentement, histoire de narguer Patrick. Celui-ci perdit patience et le poussa

-Patrick, dépasse pas! Dit Stéphane en riant.
-Ah toé…
-Patrick, surveille ton langage devant les enfants, dit alors la voix de Charlie.

Patrick se retourna vers sa sœur. Celle-ci tenait un bébé dans ses bras.

-Pis? Demanda le plus jeune des deux.
-J’ai trois bonne nouvelles et une mauvaise.
-Commence dont par la mauvaise, dit patrick.
-La mauvaise ses que Stéphane, Jord’ et moi et va devoir déménager parce que la bonne nouvelle ses gars, gars et fille.
-meuh, s’exclama le nouveau père, tu ris de moi là?
-écoute bien mon grand, Ta blonde vient de passer la journée à forcer comme un épaisse et moi j’ai passer la journée à vers les chose à peu prêt parce qu’il y a un médecin capable de faire des accouchement pour cinq mille personne ici alors j’ai d’autre chose à faire que de te niaiser.
-wahou!
-tiens papa, dit alors Charlie en tendant le bébé à son frère, c’est ton aîné. Je sais pas toi à mais je pense que les deux autres veulent faire la connaissance de leur père.

Ils allèrent voir la nouvelle maman et ses deux plus jeune. Patrick la serra très fort avant de remettre l’aîné à sa sœur et de prendre sa fille. Celle-ci avait les yeux bleu acier et semblait être bonne pour être rousse.

-Tu as pensé à des nom?
-truc machin et chose.

À cet instant précis, ce fut la dégénération total dans la chambre à coucher et un paquet de connerie sorte.

-Mao, Ming et Mang
-Esteban Zia Tao
-Wilfred, Marie-Hélène et Cornéliu***
-crème glacé napolitaine
-pomme brochet steak
-steak, blé d’inde, patate
-bana, na, Split
-Patrick, Patrick et Patrick.
-heille pauvre eux
-HEIIIIIIILLE!
-pa, pil, lon
-échec, et, mat
-Je pleins celui qui s’appel échec, dit Charlie. Bon ben ses pas que ses plates mais vous auriez pas des idée… sérieuse?
-Lui avec les yeux bruns, il a l’air d’un Félix, dit soudainement Émile assis sur le bord du lit de sa mère.
-Il a l’air d’un Félix? S’étonna Alex en souriant
-Ben ouais!

Charlie murmura alors quelques chose à l’oreille d’Alex.

-Ouais!, s’exclama-t-elle, la fille doit s’appeler Ariane! Comme la première blonde de Pat’
-C’est pas commun appeler sa fille comme la première blonde du père mes semble, dit Stéphane
-C’est que tu connais pas l’histoire. Moi et Charlie…
-Charlie et moi, dit alors le gamin.
-Hein?
-On dit Charlie et moi, maman.
-Donc… Charlie et moi on avait travaillé comme des mongole pour qui puissent se croisé et finalement, ils sont sortie même pas deux heures.
-Pas de ma faute si elle était imbécile, se défendit Patrick.

Charlie donna une tape en arrière de la tête à son frère qui n’eu même pas le temps de l’éviter. Il ne manquait plus que l’aîné à prénommer. Plusieurs prénom furent essayé mais aucun ne sembla fonctionner avec Brown.

-Tu aurais pas un dictionnaire des prénom dans ton sac? Demanda Patrick.
- heu ouais. Charlie fouille dont.

La jeune Brown fouilla longtemps avant de le dénicher. Lorsqu’elle l’eut, elle l’ouvrit à une page au hasard.

-Mouchoir.
-Charlie! C’est le dictionnaire des nom commun, s’impatienta Alex, les prénom ses lui en dessous.
-Ah! Fallait le dire!
-Fallait le lire.
-Je l’ai!

Comme avec l’autre dictionnaire, elle ouvrit à une page au hasard et tira un nom au hasard.

-Moshé
-Je préférais mouchoir finalement, dit Patrick à la blague, mais je peux pas croire qu’on est pas capable de trouver un nom là! On est quand même pas pour l’appeler « Hey chose » toute sa vie là! C’est pas le fun sa.
-Être le plus jeune, vous auriez pus l’appeler Benjamin, dit Stéphane.
-Hey! Ouais Benjamin! C’est bon sa! Qu’est-ce que t’en dit Pat’?
-C,est bon pour moi… ben pour lui là mais… en tout cas, je me comprend.

C’est ainsi que Naquit Benjamin, Félix et Ariane Brown. Par après, Charlie mit tout le monde dehors de la chambre, elle y comprit. La nouvelle maman devait se reposer, disait-elle. Stéphane alla donc coucher Émile et Jordane tandis que Les jumeaux s’occupaient des Triplet.

-C’est pire qu’une commune, s’exclama Stéphane lorsque les deux plus vieux furent couché.
-C’est pour sa que je dis qu’on doit déménager, lui répondit Charlie.
-Vous irez où?, s’inquiéta son frère.
-Moi je vais retourner chez moi avec Jee, dit Stéphane, c’est juste une chance que le Romano Fafard repartent demain. En même temps, sa va me faire du bien de dormir ailleurs que sur un sofa.
-Tu aurais pas une petite place pour moi? Demanda Charlie.
-oui, oui. Y doit bien en avoir une quelques part. tien, dans la niche du chien par exemple!

Charlie n’eut pas le temps de répliquer car Félix se réveilla au même instant, ce qui réveilla Benjamin et Ariane. Ce fut le début d’une des nombreuse nuit blanche de Patrick. Le lendemain, les deux Patenaude allèrent dirent « bye » au romano fafard. L’enfant éclata en sanglot. Son père essaya de la consoler comme il le pouvait mais, rien à faire. Jordane restait inconsolable. Ils rentrèrent tout les deux et après avoir ramassé les dernière affaire qui traînait, ils étaient prêt à partir. Ils attendaient désormais après Charlie. Celle-ci serra son frère avant de partir.

-C’est sûr que ça devait arriver un jour mais je le prend mal pareil.
-Voyons dons la petite, prend pas sa comme sa. De toute manière, tu t’en vas chez quelqu’un de pas trop pire.
-Comment sa pas trop pire? S’indigna faussement Stéphane.
-Papa! Jordane est fatigué! Se plaignit alors l’enfant qui avait la manie de parler d’elle à la troisième personne.
-C’est pas à moi qu’il faut dire sa. C’est à Charlie.
-Je suis prête, dit la jeune femme en lâchant son frère.

C’était la première séparation des jumeaux depuis leur naissance et Charlie avait l’air de plutôt prendre sa dure. Stéphane était terriblement peiné pour elle. Une fois arrivé, le jeune père remarqua avec surprise que sa fille ne semblait pas avoir oublié les lieux. Aussitôt arrivé, elle se dirigea vers sa chambre pour s’y coucher.

-Dire qu’il y a même pas une semaine elle se traînait encore à quatre pattes et qu’aujourd’hui, elle peut marcher sur le bord des murs.
-Comme tout les enfants Dorien. La planète à son influence sur elle aussi même si elle est quelques peu retardé.
-Ah! Je t’avais oublie toi! Bon, pour se soir sa te dérange pas trop de coucher dans la même chambre que la petite?
-Tout les soir que je vais être là même si tu veux. C’est un ange st’enfants là.
-ouais. Elle retient sa du laitier.

Plus les jours avançait, plus chuck semblait déterminé de rester en coloc avec Stéphane et Jordane. Ce dernier ne s’en plaignait pas parce que sa lui faisait de la compagnie. Il s’était trouvé une job comme facteur. Charlie ,elle, était mystérieusement partie chaque jour de neuf à dix-sept heures. Stéphane savait bien, par expérience, qu’être guide, tout comme être à l’accueil, n’était pas avec ces horaires. Il eut sa réponse à la fin mai; une semaine avant l’enterrement de Viviane.

-Do, le do, il a bon dos
Ré, rayon du soleil d’or
Mi c’est la moitié d’un tout
Fa, c’est facile à chanter.
-Regarde Sa Steph’, dit Charlie en lui montrant une feuille de papier.
-Hein? Tu as appris à lire?
-Non! tu as devant toi la première sage-femme de Dorions. La première depuis trente-sept ans
-Ah! Bravo peanut!, s’exclama Stéphane en donnant un bec sur la joue de son amie.
-C’est grâce à Mathieu si j’ai décidé d’étudier dans sa.
-pourquoi? C’est qui sa Mathieu?
-Tranchemontagne-Lafortune. Celui qui à faite naître Jee. Il était occupé à la naissance de Benjamin, Félix et Ariane.
-Bah Vive Mathieu d’abord.

***********************************************************

Stéphane était devant la tombe de Viviane. Il tenait sa fille par la main. À sa gauche, il y avait Alex qui avait Ariane dans les bras et Émile qui était assis accoté contre la pierre tombale. À sa gauche, il y avait Patrick avec Benjamin et Charlie avec Félix. La cérémonie était fini depuis un bon quinze minutes. C’était le silence depuis.

-Bon, dit Patrick, je suis sur qu’elle serait pas contente qu’on niaise ici. On devrait y allez.

Stéphane hocha la tête et se mis en petit bonhomme devant le tombe.

-Allez, dit bye à maman Jord’
-Bye maman. Je t’aime maman. Dis Bye à maman toi aussi papa!

Stéphane sourit à sa fille et dit

-Bye Viviane, moi aussi je t’aime.

Il se redressa et avant de partir rajouta

-Sans toi, la vie continue mais c’est vraiment pas pareil. Tu crées un gros vide Spitfire!




*Ah, ah je vous ai faite baisser pour rien.
**quoi que c’était pas très bruyant des sourcils qui se lèvent.
*** désolé c’était tentant

CHAPITRE 10 : NOËL CHEZ LES SPITFIRE~PATENAUDE

Depuis l’enterrement de Viviane, deux ans était passé. Deux ans et demi plus précisément. Nous sommes en décembre 2064. Les triplets était rendu à deux ans. Patrick, Alex et Charlie était à 27 ans. Émile avait 6 ans, sept le 28 décembre et Jordane trois ans. Stéphane avait 24 ans. Sinon, à part l’âge , rien n’a changé.

L’histoire reprend le matin du 25 décembre. Jordane était assise sur la poitrine de son père depuis une bonne heure, sa face à deux pouce de la sienne à le fixé. Elle attendait qu’il se réveille. En vieillissant, Le jeune fille ressemblait beaucoup à sa mère. Ses yeux étaient leur point en commun principal. Enfin, au grand plaisir de l’enfant, Stéphane se réveilla. On est tous d’accord pour dire que se réveiller avec deux yeux de chat gris qui te fixe sa surprend? Le jeune père poussa un cri de mort.

-AAAAAAAAAH!
-chut papa, dit alors l’enfant, tu vas réveiller maman.
-ben qu’elle se réveil

Stéphane se retourna. Il s’apprêtait à se rendormir lorsque quelques chose dans la phrase de Jordane le sonna.

-Tu as tu dis maman? Demanda-t-il?
-ouais, elle dort sur le fauteuil.
-ouais bon, juste pour être certain qu’on parle de la même mère, tu parles bien de Ta mère, Viviane Spitfire là? Celle qui est… morte?
-Ben là, j’en est combien de mère à ton avis?
-donc, résuma Stéphane, si on suis ta logique, ta mère qui est morte est dans le salon.
-Hey bravo!
-Parle moi dont sur un autre ton.
-crise d’adolescence!
-à 3 ans? Sa commence jeune.
-Tout commence jeune sur Dorions. Allez papa, suis moi! Insista Jordane.
-bon, o.k, se résigna le père.

Il soupira, certain que sa fille avait tout inventé et il se leva, s’étira et alla au salon. En rentrant dans la pièce, il crut que son cœur allait arrêté de battre. Couché sur le fauteuil, près du sapin, dormait une jeune femme d’un vingtaine d’année au cheveux noir.

-Pis? Qu’est-ce que je disais?
-fuck…
-Ben vas-y! qu’est-ce que t’attend?*
-Hein?
-Ben va la réveiller! Soupira Jordane

Il traversa le salon lentement, s’accroupit et la secoua doucement, il tremblait. Rêvait-il comme d’habitude? Il se pinça.

-Ayoye!
-Et non! C’est pas un rêve et je te garantie que tu es pas fou non plus, papa.

Il regarda sa fille l’air ahurie et secoua sa tête énergiquement pour remettre ses yeux à la bonne place avant de la secouer de nouveau. Son cœur battait tellement fort qu’il avait mal dans la poitrine.

« Là, Stéphane, tu vas te calmer parce que sinon tu vas péter une crise cardiaque, se dit-il »

Elle s’assit, s’étira, bailla et le regarda. Elle lui fit un sourire. Il ne put s’empêcher de la serrer dans ses bras.

-S’il te plaît, dit moi que je rêve pas encore. Dit moi que tes là pour de vrai. Dit moi que tu partiras pas quand je vais me réveiller. Di moi que tu es réel et Vivante.
-Je te dit tout sa, lui promis Viviane, je te dit même plus.
-Tu peux pas savoir comment je l’ai souhaité.

Il ne put se retenir et l’embrassa dans le cou.

-tu es au courrant que ça fait près de 3 ans que j’ai pas pris de douche?
-C’est le dernier de mes soucis pour le moments.
-ça veux dire… que tu m’aimes encore? Risqua-t-elle
-J’ai tu l’air d’un gars qui t’aime plus?

Viviane serra Stéphane contre elle. C’est à cet instant que ses yeux tomba sur l’entré de la pièce, où se tenais Jordane. Elle avait beau ne pas l’avoir vu depuis longtemps, elle la reconnaissait.

-Viens me voir ma puce.

Le fillette coursa jusque dans les bras de sa mère.

-Maman! Alors, c’était amusant la mort?
-ouais mais il y a beaucoup d’attente pour… non je vais attendre de voir tout le monde pour raconter l’histoire juste une fois.
-C’est vraiment mon plus beau cadeau de noël, dit Stéphane, sincèrement on me dirait que j’en ai pas d’autre que sa me ferais rien.
-mais moi là, dit la cadette, je suis bien heureuse de revoir maman mais, je vais en avoir quand même des cadeau hein?

Viviane éclata de rire. Un rire Clair et cristallin qui avait tant manqué à Stéphane. C’est alors que Charlie rentra dans le salon. Le jeune homme remarqua aussitôt le chaîne qu’elle portait autour du cou.

-Charlie! Tu peux me dire d’où vient ta chaîne? Ça serais pas se qui se trouvait dans le paquet que tu as ramené de l’hôpital hier?
-Ouais, C’était le cadeau que j’ai eu à l’échange.
-Ouais c’est sa une échange. Et toi tu as donné quoi?
-Un gâteau que j’ai faite
-Noël c’est le temps de pardonner au monde, peanut, pas de les empoisonner.
-Regarde dont qui, qui parle!
-C’est toujours comme sa, dit Jordane à sa mère.
-Ça doit être pénible à la longue non? demanda la mère
-Non, on s’habitue.
-Viviane!!! Je le savais!, s’exclama Charlie.
-Bon, là pas que c’est plate mais c’est quand qu’on va chez Pat et Alex? Je veux voir Émy, Ben, Phil et Ari
-Ça serais trop vous demandez c’est qui sa?
-Ben Émy c’est Émile et les trois autre c’est Pour Benjamin, Félix et Ariane, les triplet d’Alex et de Patrick, dit Stéphane, Je vais allez les appeler

Stéphane sorti de la pièce pendant que la « Renaquitu » serrais son amie dans ses bras. Lorsque les trois filles allèrent dans la cuisine, Stéphane raccrochait.

-Ils nous attendent.
-C’est pas que j’ai pas le goût de sortir en pyjamas en pleine hiver mais… oui c’est un peu sa. Vous auriez pas du linge pour moi, dit Viviane
-Ton linge est à la même place que la dernière fois. C’est plus à la mode mais c’est mieux qu’une claque dans face.
-Tu es dont ben ramasseux Stéphane Patenaude! S’exclama Viviane.
-Han-han pas ramasseux, dit Charlie, Amoureux.

Viviane sortie du salon en faisant une grimace à Stéphane. Lorsqu’elle fut prêt, sois une demi heure plus tard, Ils partirent donc.

-Tu veux prendre ton traîneau ma puce? Demanda Stéphane à sa fille.
-ouais!!!!

Viviane enleva la corde des main du père.

-JE la tire. J’ai du temps à rattraper je pense bien.

******************************************************************

Chez les Brown/Cartier, Patrick venait de raccrocher le téléphone.

-Charlie Stéphane et Jordane arrive… avec un invité.
-C’est qui? Demanda Alex
-Je sais pas. Stéphane la pas précisé.

Dans le salon, Émile, Benjamin, Félix et Ariane regardait les cadeaux sous le sapin. Il y en avait vraiment beaucoup.

-Moi là, je dis que le bleu là-bas, il est à moi, dit Félix
-Moi je veux qu’on aille beaucoup de cadeau, rétorqua son frère jumeau.
-sa me surprendrais, dit Émile qui était accoté contre le mur l’air tranquille, parce que sa marche par intelligence. Donc Félix et toi vous allez en avoir trois, peut-être quatre. Moi, je vais en avoir quinze, vingt et Ariane comme c’est une fille, elle va en avoir un.
-Maman! Émile me traite d’imbécile!
-Je l’ai pas dit je l’ai insinué. Mais de toute manière c’est vrai bubulle, pourquoi d’après toi maman à eu juste une fille.
-Appel moi pas bubulle!
-C’est pour augmenté le niveau d’intelligence de la famille, dit Alex qui venait d’arriver dans la pièce, oublie pas Émile que la seule personne qui est allé à l’école à date, c’est Charlie et Charlie, même si son nom peut porter à confusion, c’est une fille.
-C’est parce que je voulais pas y allez!, s’exclama Patrick de l’autre pièce.
-AHAH! C’est maman qui l’a dit, s’exclama Ariane, les garçon sont stupide!
-Ben les garçon en général peut-être, dit alors Émile, mais moi c’est pas pareil. Tsé, moi je suis demi-dieu.
-Ah mais ça veut rien dire sa ‘mile. Regarde Patrick, il est demi dieu lui aussi et s’est pas une lumière.
-M’a t’en faire moi, pas une lumière, s’exclama Patrick.

Il rentra dans la pièce et après avoir saisit Alex par la taille, il la jeta sur le sofa et commença à la chatouiller. La jeune femme ne résista pas du tout et se contenta de se débattre pour échapper au chatouille.

-C’est qui, qui est pas une lumière? Demanda-t-il
-toi
-Qui sa?
-O.K O.K tu es super intelligent. Je dirais même plus j’ai jamais vu quelqu’un égaler ton intelligence. Bon presque tout le monde la dépasse mais jamais personne la équivaux.

Malgré le double sens de la réponse, elle sembla plaire à Patrick qui arrêta et embrassa Alex sous les « oh » des plus jeunes et le soupire d’Émile. À son grand bonheur, on sonna à la porte

-J’y vais, s’exclama Émile en sortant à la quasi course de la pièce.

Il se dirigea vers la porte. Il tourna la clé dans la serrure et tira de toute ses forces. Après quelques essais(parce que la porte était gelée), il réussit à l’ouvrire. Jordane se jeta sur Émile et le serra dans ses bras.

-ÉMYYYYYY!!!
-Salut Jo’ Comment tu vas?
-Super! Hey! Regarde c’est ma maman!

Émile jeta un coup d’œil à la direction que lui pointait son amie et s’exclama :

-Hé! Viviane! Tu es pas supposé être morte?
-Ah, dit la jeune femme, vous êtes plate, personne à des réactions.
-Ah ok… AAAHHHH C’est Viviane!!! AAAHH un fantôme!!!
-Ah, ah, ah tes trop fin! Merci Jésus, ironisa-t-elle.
-AAHH le fantôme me connaît! AAHH Viviane vient me hanté

C’est alors que Patrick arriva.

-Qu’est-ce que tu jases là t…

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’il devint blanc lait.

-Yé un réaction! S’exclama Viviane.
-On dirait que tu as vu un fantôme Patrick, s’exclama Charlie, Hey Alex vient don réanimer ton chum. Je pense qu’il a besoin du bouche à bouche!
-Pis après il vient se frustrer quand je dis que c’est pas une lumière.

Elle arriva dans l’entré et poussa un cri en voyant Viviane juste avant de… la gifler et de tomber en sanglot dans ses bras.

-Ayoye, une réaction, soupira Viviane, Voyons dont Alex. Qu’est-ce que tu as?
-Excuse pour la claque, dit-elle en se ressaisissant, Bon, vous venez équilibrer l’intelligence du salon?
-Ouais parce qu’elle est trop élevé pour Les deux fille, dit Patrick qui venait de reprendre des couleur
-Hein?, fit Chuck’
-nan laisse faire

Ils allèrent au salon. Lorsqu’ils arrivèrent, Ils aperçurent Jordane en train de se chicaner avec Félix et Benjamin.

-Non. c’est même pas vrai, criait Benjamin, Tu es juste une menteuse!
-C’est pas vrai! C’est vous les menteur!
-Non, Benjamin à raison! Ça se peux pas, cria Félix.
-Ben demande à ma mère si tu me crois pas!
-Ta même pas de maman!
-oui j’en est une!

BANG! Jordane frappa Félix**

-Maman! Jord’ m’a frappé!
-Jee, réprimanda le père, pourquoi tu as faite sa?
-parce qu’il me contredisait et moi ceux qui me contredisent je les frappe.
-Ouais! Bravo ma puce, s’exclama la mère.
-Vivi’ voyons! S’exclama Stéphane.
-heu… je veux dire… on tape pas le monde.
-Même quand il le mérite? Demanda l’enfant.
-heu… Sté’, je répond quoi?

Stéphane leva les bras de désespoir en soupirant mais il souriait quand même. Il reconnaissait bien là sa Viviane.

-On l’est ouvres-tu les cadeaux? Demanda alors Benjamin.
-Ouais! S’exclamèrent les autres enfant, à l’exception d’Émile
-Tu veux pas de Cadeaux ‘mile? Demanda Sa mère.

Le gamin haussa les épaules

-Mais papa lui yen veux pas, dit alors Jordane.

Stéphane s’empressa de mettre sa main sur la bouche de sa fille et dit en souriant :

-J’ai jamais dit sa!
-Ah pas sur moi, dit Viviane, Je t’ai entendu tantôt moi aussi.

Stéphane soupira. Ils commencèrent à ouvrir les cadeaux. Les enfants étaient heureux sauf Émile. Émile semblait indifférent. Un sourire se décrocha à son visage lorsqu’il reçut une guitare en cadeau. Lorsque se fut terminé, les 5 enfants partirent dans une chambre. Dès que la porte claqua, les quatre adultes se tournèrent vers Viviane.

-Tes tu un fantôme? Demanda Patrick.
-Un fantôme qui à frette… ça existe pas.
-Mais comment…
-Avant que je raconte quoi que se sois, je veux un résumé des dernières années.
-Stéphane est rendu accro aux livres, s’exclama Patrick
-accro, dit Stéphane, C’est vite dit.
-un par semaine sa s’appel accro
-Je veux mon résumer, s’écria Viviane

Les jumeaux Brown entreprirent donc un court résumé des trois dernière année. Après une demi-heure d’histoire, c’était le tour de Viviane. Celle-ci était ému.

-Ah toi de nous expliquer, dit Stéphane.
-Bon. Après deux mois d’attente, j’ai pus rentré au ciel et là j’ai rencontré… quelqu’un.
-Qui? Demanda Charlie
-ben…
-QUI?
-Magali Brown et la elle m’a expliqué une coupe de chose et elle ma dis que tu pouvais ressuscité mais qu’il fallait avoir une bonne raison… comme par exemple une promesse. Après deux ans d’attente j’ai pus passer et après une méga grande partie de Poker j’ai été renvoyer hier parce que Braha était tanner de me voir toujours tricher.
-Alors tu retourne pas en haut? S’assura Charlie.
-pas avant ma prochaine mort.
-C’est quoi ta promesse, demanda Patrick.

Viviane se tourna vers Stéphane.

-Tu t’en rappels? Demanda-t-elle à Stéphane.
-trop.
-C’est pour quand?, demanda Alors Alex en souriant.
-Hein? Quoi sa! S’exclama Patrick.
-Bon je vais expliqué. La journée où Viviane à découvert qu’elle avait des pouvoir, elle ma promis que si un jour je devenais voyant de nouveau, on se mariait.
-Moi je dit que Août prochain sa serais le meilleur moi, dit Charlie, parce que c’est le mois du bonheur.
-Hey pat’ vous auriez pas une Banka?***, demanda Stéphane
-pour?
-Parce que je me promène pas avec une bague sur moi au cas où…

Patrick se leva et revint quelques instant plus tard avec le Banka. Stéphane mis alors un genou par terre et dit en regardant Viviane droit dans les yeux :

-Mademoiselle Spitfire, Voulez-vous m’épouser? Ben avec une vrai bague là.

Pour toute réponse Viviane pris le Banka des main de Stéphane et le mangea.

-C’est O.K pour août prochain, dit-elle.

****************************************************

Viviane était couché, bien au chaud dans les bras de Stéphane. Jordane et Charlie dormaient depuis déjà une petit bout. Elle était enfin seul avec. Elle était très contente de revoir c’est amis et sa fille mais dans toute ces personnes, C’était Stéphane qu’elle s’était le plus ennuyé. C’était lui qu’elle avait le plus hâte de revoir. Celui qui ne l’avait jamais oublié. Celui qui avait été le premier à la prendre, elle, Viviane Spitfire, comme elle était réellement. Celui qui avait été le premier à l’aimer. Celui qui avait faite toute la différence. Celui, pour qui, elle aurait tout faite. Lui qui avait été jusqu’à démissionner de sa famille pour ne pas la trahir. Celui qui, bientôt, allait devenir… son mari. Soudain, elle enfouit son visage dans le creux de l’épaule à Stéphane et respira très profondément.

-Qu’est-ce que tu fais là? Demanda-t-il
-Je vieillit trop vite. J’ai déjà 22 ans, tu en as presque 25. Dans pas long, je vais me réveiller à 84 ans la vieille de ma mort,
-Et alors? Tu regrettes tes choix de vie?
-nan
-Tu veux retourner en arrière pour changer quelque chose?
-non plus.
-Alors continue à vieillir l’esprit tranquille ma belle. Si la vie passe vite, alors je vais m’arranger pour que ta fin sois encore mieux que ton début. Je t’aime Vivi.

Le jeune femme éclata en sanglot.

-Moi aussi, Je t’aime mais tu peux pas savoir à qu’elle point j’ai eu peur que se sois le contraire pour toi.
-Hey, Hakuna Matata la p’tite.

Stéphane s’assit sur le bord du lit à côté de Viviane². Lorsque celle-ci voulut s’essuyé les yeux du revers de la main, Il bloqua son geste. Il l’embrassa doucement, comme si il ne voulait pas lui faire mal. Viviane attaqua par la suite plus sauvagement.

-Tu me jures que tu repars pas? Demanda-t-il
-Promis et Viviane Spitfire tien toujours c’est promesse.



* ouais ben t’aurais voulut qu’elle aille le caractères de qui? Du facteur? )
** ben bon, il me tapait ses nerf!
*** genre de beigne mais en plus petit.
² ouais j’ai oublier de le préciser mais elle s’est assis sur le bord du lit.

Ce chapitre est très long( et il a été coupé en deux) il m'a faite genre 10~11 pages word écrit en 13 Time new roman. comme il est long, il a plus de note en bas de page. Dans ce cas, on peut dire 8 et il sont pas essentiel pour suivre l'histoire alors je vous conseil de les lire à la fin c'eux qui ne font pas déjà sa. bonne lecture d'avant dernier Chapitre.

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CHAPITRE 11 : STÉPHANE ET VIVIANE.

Août. Ce soir la, Stéphane était avec Patrick, Émile, Benjamin, Félix, Bob, Flavien, Charles, Brad, Serge et Tommy. Et oui, le Romano Fafard était revenu et comme Stéphane l’avait promis à sa mère 3 ans plus tôt, Il avait faite la paix avec son père. Du côté de Brad et Pétrolia, Ils avaient été très surpris de revoir Viviane Vivante mais ils avaient été très contents également. Pour ce qui est de se soir, Émile, Tommy, Félix et Benjamin étaient déjà couché. Les hommes, eux, jouaient au cartes.

-Hé ben j’espère pas me marier trop souvent, dit Stéphane en déposant un barbu sur la pile, j’ai tellement de fun que mon cœur tiendras pas plus que cinq mariages.
-Hey, s’exclama Brad, Tu fais de la peine à ma fille et ça va mal allez pour toi. Je te le garantie.

Stéphane fit comme s’il n’avait pas entendu la réplique de Brad et pigea une carte dans la Mixeur*.

-Mais sans blague là, s’exclama Patrick, Ça doit être l’enterrement de vie de garçon le plus actif que Dorions à connu depuis sa création.
-Le sens du Party, on a sa dans le sang, soupira Bob, Pat’ tu aurais pas quelques chose pour faire une Tite collation?
-ouais, fouille dans le frigo.
-Tu aurais pas du faire sa, dit alors Serge**

Patrick se contenta d’hausser les épaules

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Chez Viviane par exemple, Valence, Pétrolia, Jordane, Ariane, Viviane, Charlie, Alex, Juliette et Léonie avaient un fun noir. Léonie, la blonde de Flavien, avait vraiment le sens de la fête.

-Maman, je peux tu boire l’eau que tu bois?, demanda Jordane
-Nan, nan, nan toi tu prends… l’eau du robinet. Hey Léo’ tu connaîtrais pas un autre jeu?

L’extraterrestre réfléchit quelques instant.

-Non, finit-elle par dire, on a épuisé mes réserve.
-La bouteille! La bouteille! La bouteille!, s’exclama alors Charlie.

Sur Dorions, le jeu de la bouteille consistait de nommer un prénom à une personne et cette personne devait trouver un jeu de mot à faire avec. Si elle n’en trouvait pas, elle pouvait réfléchir mais elle devait en même temps boire le contenue de la bouteille. C’était le jeu préféré de Charlie***. C’était certainement la soirée de vacance de l’imagination car après seulement une demi heure de jeu, toute personne qui en avait l’âge était complètement ivre. Lorsque la futur marié se leva pour allez coucher Sa fille et Ariane, Juliette la Stoppa.

-Laisse-faire la cousine, je m’en occupe. Toi va te coucher si tu veux pas être poqué demain.
-C’est Julie qui à raison… bonne nuit la ronde, bégaya Viviane.
-C’est Juliette mon nom.

Du haut de ses neuf ans, Juliette avait hérité du cerveau de son père et aussi de sa mémoire. La jeune fille était en effet l’Hybride entre un androïde et deux habitant de la planète Laurier-12. On avait retrouvé la jeune Juliette dans une forêt de la planète lorsqu’elle n’avait que deux ans. Elle était alors mourante. En bon Samaritain qu’il est, Serge lui avait offert de c’est pièce dans l’ultime but de la sauver. Une opération extrêmement délicate que jamais on avait effectué sur Cette planète. La fillette avait été, par un miracle inexplicable, sauvé. Elle ne savait ni marcher, ni parler et ne répondait à aucun prénom. Serge l’avait donc prit sous son aile. La petite savait très bien qu’elle avait été adopté mais avait toujours considéré Serge comme son père et Pétrolia comme sa tante donc par le même fait, Viviane comme cousine. Après avoir couché les deux plus jeunes, Juliette se coucha également.

****************************************************

-Jee
-Qu’est-ce que tu veux fatigante?
- C’est tu vrai que tu trippes sur mon frère?
-AAHH ouach!
-Ben pourquoi tu es toujours avec?
-Tu es ben toujours avec Félix et Benjamin et tu les aimes pas.
-C’est pas pareil! Se défendit Ariane, c’est mes frères. Émile, pour toi, c’est rien.
-C’est un ami.
-Ah… En tout cas, profite s’en. Tu es la seule avec qui il est pas bête.
-J’ai mon truc. Ça s’appel… La gentillesse. Allez bonne nuit.
-‘nuit Jee.

***************************************************************

Le lendemain matin, Viviane se réveilla à 9h00 sois 4 heures avant son mariage. Déjà, elle courait dans tout les sens. Heureusement, elle n’était pas trop magané de la soirée de la veille. Heureusement pour les autres car elle aurait été encore plus pas du monde.

-Ça se passe comment un mariage ici? Demanda Valence
-Sur Dorions, On uni les âmes de deux personne pour l’éternité. C’est sa le mariage. C’est généralement un représentant de Braha qui fait les mariages.
-représentant de Braha mon œil, soupira Charlie.
-Un Émile numéro deux, s’exaspéra Alex.
-Viviane arrête dont de bouger je suis pas capable de te peigner, soupira alors Pétrolia, tu as pas changé depuis l’âge de 5 ans.
-Tu me tires les cheveux, se plaignit la jeune femmes.

Pétrolia leva les yeux au ciel sous le regard amusé d’Alex et Charlie. Après 15 minutes de torture, Viviane put enfin quitter sa chaise. Pétrolia avait tout de même bien réussit la coiffure de son aînée. Lorsque se fut le temps pour Viviane d’allez enfiler sa robe, Charlie lui dit avec un sourire en coin :

-laisse la porte débarré. Si l’on t’entend plus en va allez te réanimer.
-Hey va donc…
-AAHH Viviane tu es en retard!!!

Elle sursauta et alla s’habiller en vitesse. En réalité, il lui restait une bonne demi-heure mais quand même. Lorsqu’elle sorti de la salle de bain, Viviane était dix fois plus occupé à courir partout.

-Je peux la calmer, demanda Charlie à Pétrolia
-Oui… ça va nous faire du bien.

La jeune sage-femme se plaça devant la futur marié et l’arrêta puis lui donna une claque en arrière de la tête.

-Ayoye! Je vais le dire à mon papa!
-Mon papa est plus fort que le tien.
-Je te contredis pas sur se point mais moi… ma maman, elle a une barbe****
-Heille!, s’exclama Pétrolia.

**************************************************************

-Stéphane, réveil-toi, insista Flavien.
-Demain
-Il est midi et tu te maris dans une heure
-Demain
-Vous l’avez pas, s’exclama Patrick en rentrant dans la pièce, Hey Patenaude… debout!

Patrick donna un violent coup de pied sur le tibia de Stéphane qui hurla de douleur.

-Moi ça me dérange pas mais Viviane, elle va mal le prendre si tu arrives en retard
-Mais pourquoi?
-Et boy, dire que je trouvais Alex perdu le matin. Hellô! Je te rappel que tu as demandé ta blonde en mariage à Noël passé
-Ah oui c’est vrai!

À ce moment, Benjamin entra dans la pièce.

-S’pas juste! Pourquoi Émile peut apporter sa guitare?

Patrick regarda son fils et soupira.

-tu as déjà vu Émile sans sa guitare depuis Noël?
-oui!
-Quand?
-Quand il est avec Jordane!
-Et Jordane c’est la seule qui lui fait entendre raison mais elle est pas là.
-Mais tu es son père!
-Non pas vraiment
-Ben là! C’est pas juste! Émile c’est votre préféré sous prétexte qu’il est demi dieu!

Benjamin voulut sortir de la pièce pile lorsque le jeune Cartier y entrait

-Chouchou! Lui cria Benjamin
-Ta gueule le p’tit!

Patrick leva les bras en signe d’exaspération. Stéphane lui, riait.

-Tu trouves sa drôle?
-Qu’il y aille juste Jord’ qui lui fasse entendre raison sur sa guitare? Ouais. Ma fille à vraiment le caractère à sa mère.
-Patrick, vient dont m’aider Ste plaît.
-J’arrive ‘mile

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-Bonjour. Je m’appel Gilles, je suis le représentant de Braha et je suis chargé d’unir, aujourd’hui même, deux âmes…
-Émile… Émile réveil-toi!

Le gamin se réveilla sous les coups de coude de la jeune S. Patenaude. Il remarqua, avec un certain soulagement, que personne outre Jordane ne l’avait vu dormir.

-Ta mère est tellement blême qu’on dirait qu’elle tiendra pas toute la cérémonie, dit Émile, pas avoir les cheveux noirs, on verrait pas la différence.
-Son party d’hier doit y être pour quelques chose. C’est plate!!!
-ouais
-Tu penses que je vais me marier un jour? Demanda Jordane
-Pourquoi pas?
-Ben je sais tu moi! C’est pour sa que je te le demande.
-Je vais me charger personnellement de l’organisation si un jour sa t’arrive.

Jordane fit une grimace à son ami et reporta son attention à Gilles.

-… une fois unis, des âmes ne peuvent sa séparer et c’est pourquoi, je demanderais au deux jeunes gens ici présent, si ils sont bien sûr de leur choix.

Viviane eux un rire nerveux.

-J’ai jamais autant regretté une promesse que j’ai faite sauf que je regrettes toujours tout avant et jamais après. Je suis loin d’être sûre mais je me lance quand même.
-Moi, dit alors Stéphane, J’ai jamais vraiment su où je m’en allait et sa ma apporter des résultat pas pire alors je vais continuer sur la même ligné.

Gilles tourna alors le dos à la foule et commença à parler dans une langue étrangère. Son rituel durant environs 5 minutes (où Émile s’endormit deux fois) lorsqu’il eu terminé, il se retourna vers les marier et dit en souriant :

-Braha à unis vos âmes humble mortel. Vous pouvez vous embrassez.

Les nouveau uni s’embrassèrent. Dans l’assistance Valence avait les larmes au yeux. Elle dit :

-J’ai assisté à deux baisé Spitfire~Patenaude et lui c’est mon préféré
-C’était qui en premier, demanda Léonie juste à côté d’elle.
-C’était Charles et Brad²

**********************************************************

-O.K donc, si je me fit à se que je vois, après un mariage, le gars y traine sa nouvelle femme dans ses bras parce qu’elle est saoul morte?
-mais non Steffie, dit Charles à son fils, Viviane est une exeption.
-Hey Viv’ come one, criat alors Stéphane à cet dernière, J’aimerais sa que tu sois encore lucide à la fin de la journée.

Viviane s’approcha de Stéphane avec un verre dans la main.

-Tu parles comme ci j’était alcoolique alors que je bois juste dans les grande s’occasion.
-C’était quoi la grande occasion le mois passé?
-Ma fête.
-Deux semaines après?
-Écoute mon amour, Je suis morte trois ans, j’ai donc trois fêtes à reprendre. J’ai aussi trois noël, trois jour de l’an, trois fête de Braha, trois victoire de dignité, le diplôme de Chuck…
-Et Boy!
-Je suis capable de me contrôler et la première fois que je fais une affaire dangereuse à cause de la boisson, j’arrête promis.

Stéphane l’embrassa.

-Mais à soir, j’aimerais sa avoir la Viviane sobre³. J’aimerais sa avoir celle que j’ai connu le deux janvier il y a huit ans et demi.
-Quoi? Tu me connaissait pas avant?
-Pas comme je t’ai connu se jour là.

Ils s’embrassèrent à nouveau mais furent interrompit par Alex.

-Désolé de vous déranger mais le gros là bas fait demander si vous auriez pas vu sa sœur.
-Qui Patrick?, demanda Viviane
-ouais
-Non pas vu, dit Stéphane.
-Et Émile?
-Pour sa, tu à juste à trouver Jordane, dit Viviane, Généralement, ton gars est pas loin de ma fille. Comme je peux plus boire, je me porte même volontaire pour les retrouver. Toi va t’occuper de Patrick Junior
-Hein?
-Ben je dit sa comme sa mais La bouche de Féli et la bouche de je sais pas qui avait l’air ben amis tantôt.
-C’est fout comme il peut ressembler à son père.

Alex soupira et parti en vitesse tandis que Viviane parti à la recherche d’Émile et de sa fille. Elle les retrouva facilement. Ils étaient dans un coin, à l’écart des autres personne.

-Qu’est-ce que tu fais avec un téléphone Émy? Demanda Jordane
-Je m’accord*²
-Tu vas tu jouer la chanson d’avant-hier?
-Si tu fais la voix féminine.
-Mais… Je vais tout gâcher, Je fausse pour quatre.
-Et alors? Demanda le jeune Cartier, Personne va t’entendre, on est tout seul. De toute façon, on enregistre pas pour un album.
-Bon O.K! Si tu me promets que personne va m’entendre.
-J’ai ni de caméra, ni d’enregistreuse caché sur moi. C’est promis Jo.
-Ben go… commence d’abord.


J: A quelle étoile, à quel Dieu,
Je dois cet amour dans ses yeux
Qui a voulu de là-haut
Que Juliette aime Roméo

-Je m’excuse Viv’ j’aurais vraiment pas dut te dire sa. Je sais que tu dois m’en vouloir à mort mais je veux que tu saches vraiment que je suis sincèrement désolé. Je sais vraiment pas se qui ma pris.

A quelle étoile, à quel Dieu
Je dois cet amour dans ses yeux
Même si je dois payer le prix
D'un amour interdit

-Pis Don Juan, sa t’amuse de siffler toute ce qui bouge?
-De quoi tu parles?
-Joue pas les innocent Stéphane Patenaude!

Pourquoi nos pères se haïssent
Et que la fille aime le fils
Ça doit bien faire rire, là-haut
Que Juliette aime Roméo

-Je vois pas à quoi sa t’amuse Stéphane!
-Sa m’amuse à rien du tout. Tu comprend pas que c’est une AMIE. C’est une fille vraiment géniale.
-C’est pas une fille pour toi!

É: A quelle étoile, à quel Dieu
Je dois cet amour dans ses yeux
Que leur volonté soit faite
Car Roméo aime Juliette

-Minute mademoiselle. Je fais te le dire ce que j’ai. Je t’aime c’est sa que j’ai.

S'il faut prier je prierais
S'il faut se battre, je me battrais
Mais pourquoi faut-il payer
Le droit de nous aimer

- Quoi qu’il arrive, quoi que tu puisses me dire, si un jour tu as ben du trouble, tu pourras toujours venir me voir. Jamais je t’en voudrais. Tu es ma meilleure amie et tu comptes bien le rester quoi que tu puissent en penser.

É et J: Et que nos pères se déchirent
Leurs enfants eux se désirent
On ne peut pas changer l'histoire
La nôtre commencera ce soir

-Je viens tu juste de t’embrasser pour de vrai là ou j’ai juste rêvé?
-Tu la faits pour de vrai, lui répondit le jeune aveugle.
-Moi là, Viviane Spitfire, Je viens d’embrasser un gars? Pour de vrai? Un gars qui… m’aime?

J: Et tant pis si ça dérange
É: Qu'une pucelle aime un ange

-La journée où j’ai décidé que je te parlais, j’ai pris tout les risque du monde avec ma famille. Maintenant, ils sont je sais pas trop où mais ils peuvent plus rien faire. Maintenant, C’est nous deux qui décide, personne d’autre

É et J: A quelle étoile, à quel Dieu
Je dois cet amour dans ses yeux
Que leur volonté soit faite
Car Roméo aime Juliette

-Si Viviane reste, je reste, déclara Stéphane.
-Mais Steffie…
-Tu te rappels papa, il y a pas si longtemps je t’ai dis que j’avais une vie à vivre? Ben je l’ai jamais autant vécu que depuis que je suis ici.

A quelle étoile, à quel Dieu
Je dois cet amour dans ses yeux
Ça doit bien faire rire là-haut
Que Juliette et Roméo*³

De son coin de mur, Viviane recula doucement, le sourire au lèvre. C’est alors que quelqu’un mit son poids sur son épaule. Elle sursauta et se retourna. Elle aperçut immédiatement Patrick qu’elle poussa le plus loin possible.

-Jordane va me tuer si elle sait que je l’ai écouté
-Tu avais l’air d’aimer la chanson.
-Dison que sa ma poussé dans mes souvenir.
-En tout cas, Tu sais où est Charlie?
-Où est Charlie? Demanda Viviane en se retenant pour ne pas éclater de rire, à la même place que Carmen.
-Carmen?
-Ben Carmen Sandiego! Dit-elle en éclatant de rire
-Pourquoi j’ai l’impression que tu ris de moi?
-Pas besoin d’être moi pour s’en rendre compte mais non, j’ai pas vu Charlie.
-Elle est disparut après la cérémonie.
-Elle a peut-être un rendez-vous avec son amant secret. Après tout vous êtes jumeau.
-ouais c’est sa, Charlie Brown, la none avoir un amant secret.
-Mais je comprend pas pourquoi sa t’inquiète.

Patrick se laissa glisser le long du mur jusqu’à atterrire sur le sol.

-Quand on avait huit ans, expliqua Patrick, Charlie à disparut sans rien dire à personne durant 3 jours. Lorsqu’elle est revenu, elle n’a pas voulut dire à personne qu’est-ce qui c’était passé durant c’est trois jours mais je la connais ma sœur, je voyait dans elle même qu’il lui était arrivé quelques chose de grave mais elle n’a jamais voulut me le dire. Pendant deux mois qui on suivit sa disparition et son apparition elle était plus capable d’être toute seule dans la même pièce que moi, où de n’importe qu’elle gars. Depuis se jour là, Charlie dit toujours à moi ou à Alex quand elle part. Là, elle a disparut sans rien dire et sa me fait peur. La journée de sa mort, le matin avant, ma mère m’avait dit qu’elle comptait sur moi pour faire attention à se qu’il n’arrive rien lorsqu’elle s’absente où lorsque je jouais dehors avec elle. Alors Charlie, Elle est comme un peu sous ma responsabilité et je m’en suis toujours voulut de sa disparition.

Viviane ne savait plus quoi dire à Patrick pour le rassurer.

-Écoute, elle a peut-être juste été bipper et elle devait y allez en urgence. Un accouchement ça arrive toujours au moment où on s’en attend le moins.
-Tu as sûrement raison, j’y avait pas pensé.


*Ouais. C’est dans me même genre que pige dans le lac mais avec un peu de suite. Ça s’appel le Mixeur en bon français. C’est une fille de Colombie-Britannique qui ma montré ce jeu là en secondaire 2.
** Wa!!! C’est Serge!!!
*** et le mien pas le même fait… ah une longue histoire d’amour commença grâce à se jeu entre moi et la tequila.
**** Citation des Mec comique
² Voir le secret
³ merci à Jivie d’avoir trouvé le mot.
*² Pour ceux qu’il l’ignore le bip quand tu décroches le téléphone est un FA parfait. C’est très utile pour s’accorder quand tu as ni pédale, ni piano.
*³ le balcon de la comédie musical Roméo et Juliette( vous vous en doutiez pas hein?)

CHAPITRE 12 : ON PEUT TOUS AVOIR UN SEMBLANT DE VIE NORMAL.

Après une heure, Patrick à finalement arrêté de s’en faire pour sa sœur. Viviane, elle pour sa par, trouve sa commode d’avoir un enfant courrant d’air car elle n’a pas revu Jordane depuis qu’elle l’a espionné. En marchant dans le vague, sans avoir trop de destination précise, Viviane fonça soudainement dans une jeune femme au yeux bleu acier et au cheveux roux flamboyant. C’était bel et bien Charlie.

-AAHH! Tu es là toi! Pat’ te cherchait partout! Tu as disparut sans rien dire.
-Je sais, s’excusa-t-elle, Mais il fallait que j’aille chercher Mathieu et j’avais une demi heure de retard.
-Mathieu? AH! Celui qui à engager ma pire ennemie comme Stagiaire à mon accouchement et à cause de qui je suis presque morte?
-heu… dit Charlie en rougissant.

Pour Viviane cette réponse était plus claire que n’importe laquelle qu’aurait pus lui donner son amie. Elle lâcha un cri suraigu suivit d’un « J’avais raison » et regarda finalement l’homme au côté de son amie.

-Super Pétard!, s’exclama-t-elle
-Hé oh! Tu viens pas juste de te marier toi?
-ouais mais je me promènerai pas avec un voile ses yeux pour pus voir les gars pour autant. En tout cas, j’ai… une commission à allez faire!

Viviane se sauva à la course. Elle trouva celui qu’elle cherchait avec Stéphane ainsi qu’une bonne partie de l’équipage du vaisseau.

-Hey pétrick, regarde ta sœur!
-quoi ma sœur?
-Elle avec mathieu.
-Et?
-T’es bouché où quoi? Franchement Alex, dit-elle à Alex Cartier qui était proche d’eux, tu lui as tu crever les yeux?
-Quoi? Qu’est-ce qui se passe? Je veux comprendre! S’exclama Patrick
-Notre célibataire à cédé aux belles paroles d’un gars-ars!, chantaonna Viviane
-Tu es sûr?
-Certaine!

Il partis à la course vers sa sœur. Viviane l’aperçut parler avec juste avant de la serrer dans ses bras.

-lala la laaa, lala la laaa, lala la laaaa
-J’en revient pas! S’exclama Alex
-Quoi que tu reviens pas?
-Ben qu’est-ce que tu as dit à Pat’ au sujet de Peanut*. C’est vraiment quelque chose que j’avais pas vu venir.
-Et ben! Y a pas juste Félix qui retient de son père!
-Hein?
-Je sais pas mais voir Benjamin avec un marteau près de la colone de son, c’est pas bon signe
-Mamaia! BENJAMIN BROWN ! s’écria la jeune mère en allant vers son fils
-Il y a pas juste Patrick et Benjamin qui démontent tout, dit soudainement Stéphane.
-Si tu veux parler du toasteur, je t’ai déjà dit qu’il était déjà pété et que j’ai rien à voir avec sa.

Stéphane se contenta de sourire et décida de ne pas argumenter. Bien, il ne la croyait pas. Il la connaissait trop bien. En effet, quelques jours plus tôt, Viviane avait décidé d’ouvrir le grille-pain. C’était des buzz qui lui prenait des fois. Pour ce qui est du toasteur, Celui-ci avait rendu l’âme et n’avait plus jamais grillé de pain.

-Qu’est-ce que tu veux y faire Stéphane? Viviane à développé se côté pas souvent utile de sa mère.
-papa!!! S’écria-t-elle
-Tu es vraiment belle ma puce.
-Change pas de sujet.
-Tu père dit la vérité Viane, r’enchérit Stéphane,
-Bon! Tu vois, je suis pas tout seul!
-Ah! Je suis tanné d’être belle**
-Écoutez sa maintenant! S’exclama Charles, Mais au juste, vous allez en voyage de noce?
-Si tu nous prête les clé du Romano Fafard, Stéphane et moi on veut bien allez en Toscane.
-Non, laissez faire, j’ai rien dit.
-De toute manière on en a pas. Le bois que sa m’intéresse pas. C’est dans les bois qu’on retrouve les bitchs au mèche Azure.
-Mais là! Un mariage sans voyage de noce c’est comme un vaisseau sans méchant à détester, s’exclama Pétrolia.
-On va laisser Jord’ chez Alex et Patrick pis nous deux on va allez oublie le monde réel durant trois~quatre jours, dit Stéphane, et juste un incendie pourrait nous faire sortir.
-Même encore, dit Viviane.
-Ouais, je la connais celle là, marmonna Stéphane.
-C’est mieux que rien, dit Valence.
-Et ça va rendre service à Alex parce que j’ai l’impression que si elle vois pas son fils sourire bientôt, elle va faire une crise de nerf et à Charlie…
-Tu vas trouver sa drôle longtemps? Demanda Stéphane à Viviane
-Mais avoue que c’est surprenant! Avoue que tu l’avais pas vu venir même si tu arrêtait pas de la niaiser sur sa! Avoue le!
-Loin de moi l’envie de vous déranger, dit Soudain Pétrolia, mais avez-vous tout faite?
-Les alliances? Demanda Valence
-Fait, répondit la jeune Spitfire.
-Le bouquet?
-Je veux plus le lancer.

Malgré qu’ils habitaient sur Dorions depuis presque 9 ans, Viviane avait tenu à garder quelques aspect du mariage traditionnel Terrien. Elle sortit du groupe pour retourner voir Charlie et Mathieu, toujours en grande discutions avec Patrick. Elle lui prit la main(à Charlie là) et lui mis le bouquet dedans.

-Tu m’avais pas dit que tu devais le lancer?
-Je fais rien comme il faut, tu le sais. Même mourir, il a fallut que je le face différemment. Je te le dit de le prendre. Sa ta pris 28 ans avant de trouver un gars à ton goût, je veux pas que tu te pètes la gueule et que tu regrettes ta décision. Quant à toi, dit-elle en se tournant vers Mathieu, si un jour j’apprend que tu es pas sympathique avec et que tu lui as faite du mal, tu vaudras pas chère de ta peau… heu… c’est tu comme sa qu’on le dit? En tout cas, tu vas m’avoir sur le dos et les deux dernière qui mon eu sur leurs dos, son morte avec ‘tentions vieux.!

Viviane Sourit et tandis la main vers Mathieu. Celui-ci la saisit immédiatement.

-N’est pas peur
-J’espère bien. En tout cas, Je te rappel Charlie que tu vas être toute seule pour 3 jours alors si tu as trop peur de rester toute seule tu peux toujours inviter… un ami.
-Oh là là Viv’, s’exclama Charlie, Toi là, tu es subtile!
-Merci, Je retiens sa de ma mère.

**************************************************************

-Et elle se dit que tout va bien
Elle ne veux plus connaître son destin
Ce qu’elle voudrait c’est disparaître
Et se délivrer de l’emprise de cet être***
-C’est quoi vous chantez les enfants, demanda Alex à son fils et à son ami
-Ça t’intéresserais pas, répondit Émile.
-pourquoi pas?
-En gros c’est l’histoire d’une fille qui se fait violer, répondit Jordane
-Vous pourriez pas chanter quelque chose de plus joyeux?

Les deux jeunes se regardèrent avant d’hocher la tête négativement. Le mère haussa les épaules et sortie de la pièce pour allez voir se que fabriquait les triplet car ils étaient trop silencieux à son goût. En passant devant sa propre chambre, elle aperçut Patrick en pleine Lecture. Elle s’approcha doucement avant de crier :

-Tu te caches?
-AAAAHHHH! Tu m’as faite peur
-C’est quoi tu lis?
-ça, dit-il en lui montrant un papier, je l’ai trouvé par terre.
-Heille! C’est mon acte de naissance!
-C’est pas le tien c’est celui d’Alexiane Cartier!
-Ben c’est moi aussi!, dit-elle en se lançant sur Patrick.
-super, ça fait un nom de plus à ma liste!
-Hein?
-Je cumule les prénom en –Ane. À date j’ai : Viviane, Stéphane, Jordane, Ariane et je rajoute Alexiane!
-Y te manque Lauriane.
-Hein? J’en connais pas.
-Désolé, j’ai faite erreur sur la personne…ayoye!
-Ben oui niaiseuse! Tien toi plus solide!

En effet, Alex, qui était rester accroché au bras de Patrick, venait de se lâcher et avait tombé par terre. Elle se releva et après un légère tentative de le faire tomber par terre à son tour, sortie de la pièce pour allez voir les triplet.

*************************************************************

Charlie rentra chez elle après la super fête d’après mariage. Elle tenait toujours le bouquet que Viviane lui avait donné et le fixait en repensant à ce que celle-ci avait dit. Lorsque Mathieu rentra à son tour, il la pris et l’assis sur le comptoir pour l’avoir à égalité des yeux.

-En tout cas princesse, J’en est appris des pas pire sur toi aujourd’hui.
-appel moi pas princesse
-À vos ordre ‘cesse
-Tu es dont ben niaiseux.
-Niaiseux sa rime avec Mathieu.

Charlie sourit

-Comme ça, tu es… où plutôt, tu étais none.
-Ah, j’ai oublié de te le dire
-Merci bien, c’est super, dit Mathieu en faignant d’être fâché.
-Allons Mathieeeeu!, s’exclama Charlie sur un ton amadouant, Tu t’imagine un peux la réputation que sa peux te faire? Mathieu Tranchemontagne-Lafortune, le gars qui réussit à séduire les vieilles filles renforcé.
-Mais je veux plus en séduire d’autre moi.

Charlie sourit à nouveau avant de l’embrasser

-Je te donnes une semaine avant que tu dise le contraire, dit La sœur Brown
-J’ai vu pire. J’ai déjà connu une fille un jour, à son accouchement, elle voulait rien savoir si j’avais ma stagiaire dans la pièce.
-ouais mais la stagiaire voulait sa mort, c’est pas pareil.
-C’est sur. Ça fait tellement longtemps que je cours après toi que est pas peur, je te laisserais pas te sauver après une semaine.
-Fait moi confiance. Quant tu vas voir ce qui se passe dans le clan Spitfire~Patenaude~Brown~Cartier, tu vas te sauver. Une qui meurt et qui ressuscite, l’autre qui est aveugle et que tu jour au lendemain vois de nouveau, une qui tombe enceinte à cause d’un sac… et je te défends de penser croche! Le quatrième gère les prophétie d’un arrière-grand-père paranoïaque et la dernière qui est juste bonne pour réconforter le monde.
-C’es toi sa la dernière?
-ouais
-Ben tu vois! J’ai la plus plate du clan alors c’est déjà moins pire
-Ben merci.
-C’est une joke voyons! De toute manière, je vais m’habituer et je veux plus en entendre parler. Si faudrait que je me sauve sous prétexte qu’il y a un peu d’action, je serais pas digne de toi, conclut Mathieu.

************************************************************

Viviane verrouilla la porte de la petite chambre qu’ils avaient loué et s’assit sur le lit.

-C’est sur que c’est pas grand chose, dit Stéphane qui était debout devant elle.
-C’est pas grave, il y a du positif, dit Viviane en souriant, C’est petit alors je suis sur de toujours t’avoir dans mon champ de vision. En plus, on est seul.
-Ça faisait combien de tant qu’on avait pas été vraiment seul?
-C’est avant la naissance de Jord’ je pense. Autrement dit, trop longtemps à mon goût.

Stéphane sourit. Viviane lui pointa alors quelques chose derrière son épaule. Il se retourna et la jeune femme lui sauta dessus****

-C’était supposé faire mal?
-Ça va finir par, Je te lâche plus.
-Et moi je vais commencer à dormir sur le dos.

Il se coucha, étouffant par le fait même Viviane.

-Arrête, tu me fais mal!
-lâche-moi…
-O.k! O.K!

Le jeune homme se contenta de se retourner une fois qu’elle l’eut finalement lâché Et l’embrassa. Viviane éclata de rire. C’était un rire nerveux.

-Qu’est-ce que tu as? Demanda Stéphane
-Je trouve sa tellement ironique
-Quoi?
-Qu’on soit arrivé au Mariage. Dire que n’importe qui d’autre, je l’aurait tué et toi, j’était morte de peine.
-On est vraiment obligé d’en parler?
-oui, dit-elle en s’assoyant.

Stéphane, assit également, soupira. Il n’aimait pas en entendre parler.

-Écoute Sté’, C’est important pour moi de comprendre. Avant ce l’était moins mais là ce l’est parce que je me rend compte que Jordane à été faite la journée où je pardonnais l’impardonnable.
-C’est simple, tu t’es souvenu de qui j’était vraiment. Écoute, je t’ai frappé cette journée là et j’aurais jamais du. J’ai été plus que salaud ce jour là, j’en suis conscient et tu peux pas savoir comment je m’en veux.
-mais pourtant…
-Tu es humaine Viviane. Qu’est-ce qui explique qu’Alex sois tombé en amour avec Pat’ même si elle savait qu’il risquait de lui faire de la peine? L’être humain est naïf.

Viviane se colla contre Stéphane. Il était rendu plus froid. Elle avait été consciente des risque qu’elle prenait en abordant le sujet mais, pour elle, c’était important.

-Tu t’en veux hein?
-Qu’est-ce que tu pense?
-Arrête, dit-elle en l’embrassant, je sais que c’est difficile mais fait le pour moi. Arrête de t’en vouloir. Tu m’as faite plus de bien que de mal en huit ans et demi parce que mise à part cette semaine là, tu as été, et tu es toujours, un chum super. Pendant près de trois ans, tu as été ma lumière, la raison pourquoi je me décourageait pas. Le pourquoi je voulais revenir à la vie. En plus tu as eu le courage de venir me voir, tu m’as éviter la mort et tu m’as faite reprendre mon poids normal.
-Jordane
-Hein?
-Le poids que tu as repris, c’est celui de ta grossesse que tu as jamais perdu. C’est 55 livre que tu as pris, pas dix.
-J’aurais le goût d’en prendre 55 autre…
-Tu veux rire?
-Si tu veux, j’aimerais sa. Pour se qui est de cette fois là, oublie sa. Moi en tout cas, c’est déjà faite.

Stéphane passa machinalement sa main dans les cheveux de Viviane.

-Je vais faire un effort pour oublier sa, promit-il.

Même si elle voyait qu’il était sincère, Viviane Spitfire voyait bien que les étincelle dans ses yeux n’était pas revenu. Elle releva sa manche et lui montra son poignet avec son fameux foulard toujours noué autour.

-Tu vois ça? C’est le signe que je veux vivre et sa, continua-t-elle en lui montrant son anneau de mariage, ça va avec et ça veux dire que c’est avec toi que je veux continuer à vivre. Je veux vivre dans le présent, Stéphane, dans le présent et non dans le passer.
-Et toi, dans le présent, tu m’as pas dit que tu voulais prendre 55 livre?
-bingo.

Stéphane prit Viviane par la taille et la colla contre la mur pour l’embrasser. La jeune Spitfire ferma les yeux et se laissa emporter par l’ivresse d’un amour qu’elle avait tout d’abord cru impossible².

À suive… Dans réputation3: la ligné féline







*pour ceux qui on pas compris encore : Charlie Brown… Peanut… je peux pas être plus clair je crois
** clin d’œil à une petite fille de l’école des fan qui m’avait traumatisé en disant sa. Mais amis on du m’entendre dire sa pendant 3 semaine après.
*** C’est la chanson : pourquoi moi, parole : Alex Rousseau, Musique( même si vous l’entendez pas) : Louis Vincent-Houles, Nicolas Dubé et Marie-Claude P.
**** Tel père, tel fille
² phrase de Calibre Nicolas Dubé trouvé par moi-même. C’est la phrase dont je suis le plus fière dans ma fic au grand complet